Macron veut légaliser l’internement à domicile des positifs au Covid sous contrôle policier, vaccinés compris

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 juillet 2021

Nous approchons des 40 millions de personnes ayant reçu au moins une dose de poison dans le but affiché d’empêcher quelques octogénaires déjà malades de mourir.

Ces 40 millions de personnes l’ont fait pour une seule raison : « retrouver leur vie d’avant ». Et partir en vacances.

Actuellement, tous ces gens soupirent après leur deuxième dose pour récupérer leur passeport sanitaire et pouvoir enfin boire une Desperados tiède dans une boîte de nuit où des femmes blanches en surpoids se collent à des noirs en sueur.

Sauf qu’il y a un hic.

Dans les prochains jours, quand ces gens vaccinés vont apprendre que les vaccinés seront prochainement internés à domicile s’ils attrapent le Covid19 pour empêcher les vaccinés d’être contaminés par les vaccinés, ils vont connaître un des états de détresse les plus intense de leur vie.

La Voix du Nord :

Dix jours. Parmi la batterie de mesures annoncées par le chef de l’État lundi soir, il en est une qui visiblement n’a pas eu le même écho que les autres. Selon l’article 4 du projet de loi sanitaire, l’exécutif prévoit à l’avenir dix jours d’isolement pour toute personne déclarée positive au Covid-19, sur le territoire national.

Dans le détail, l’article 4 prévoit que le malade – ou ses parents, dans le cas d’un mineur – soit notifié de son obligation d’isolement. De la même façon que sont actuellement notifiées les personnes arrivant d’un pays sur liste rouge, avec, donc, des contrôles aléatoires à la clé et un risque d’amende, précise Politico qui s’est procuré l’article. Interrogé sur le sujet hier matin sur BFMTV, le ministre de la Santé a confirmé que cette mesure fait partie des « pistes ». « Lorsque vous arrivez sur le territoire national, on peut prononcer un arrêté préfectoral d’isolement obligatoire mais lorsque vous êtes contaminé dans le pays, il n’y a pas de contrainte aujourd’hui », a justifié Olivier Véran, en concédant que la mesure est une idée complexe.

« On sait que ce n’est pas simple dans le droit français. On n’est pas certain que le Conseil d’État nous dise qu’on peut le faire. On n’est pas certain que le Parlement nous dise : « vous pouvez le faire » », a-t-il énoncé, avant d’argumenter : « J’ai des statistiques, qui ne sont que des statistiques : en Île-de-France, j’avais des chiffres du respect de l’isolement de personnes positives au Covid qui n’étaient même pas majoritaires. Or, il est nécessaire de respecter les mesures sanitaires lorsqu’on est positif ou cas contact parce que sinon tout ce que nous faisons est moins efficace ».

D’après Politico, cette mesure d’isolement obligatoire sur le territoire pourrait ne pas rester telle quel dans le texte de loi, parce qu’elle pourrait tout simplement être retoquée par le Conseil d’État. En tout cas, lundi soir, Emmanuel Macron a préféré annoncer l’isolement obligatoire pour les non-vaccinés en provenance des pays dits à risque.

Le Conseil d’Etat a tout ratifié depuis le début parce que n’est qu’un instrument du pouvoir depuis toujours. Là aussi, ce sera ratifié.

Comme j’ai l’habitude des ballons d’essai de Macron, il n’est pas impossible qu’il retire finalement cet article en juillet, permettant ainsi de mieux faire avaler les atrocités qu’il entend légaliser d’ici la fin du mois, pour mieux le remettre à l’automne lorsqu’il proclamera la vaccination obligatoire pour tous les goyim au prétexte du variant des chieurs de rue (encore appelé « Delta »).

Vous savez que cela va arriver. Vous le savez d’autant plus que le principe vient d’être validé pour les soignants et pompiers.

Mais même sous forme de ballon d’essai, les goyim déjà vaccinés vont commencer à réaliser qu’il n’y a aucun « retour à la vie d’avant » en vue. Les masques seront rapidement imposés à la rentrée, voire avant, et lorsque le prochain variant capable de battre le vaccin apparaîtra, tout recommencera : confinement, vaccination, etc..

C’est pour cela que céder un pouce de terrain face à cette conjuration globale menée par les oligarques de Davos, c’est rendre sa situation encore plus infernale 6 à 12 mois plus tard. D’autant que ces nouveaux variants placeront de facto les vaccinés dans un état de vulnérabilité tel qu’ils ne pourront pas refuser de se faire vacciner éternellement, sous peine de mort.

Lisez mon article sur ce dernier point :

Le virologue Geert Vanden Bossche alerte sur la façon dont la vaccination transforme les vaccinés en cibles privilégiées pour les variants

Mais peut-être que je délire.

Peut-être qu’assigner à résidence les vaccinés contaminés pour les empêcher de contaminer les vaccinés est logique.

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