La Rédaction
Démocratie Participative
24 novembre 2024
Encore un machin au Panthéon. Macron veut battre tous les records dans le domaine.
Ce sera un antifasciste juif, pour changer. L’entrée est interdite aux goyim.
Emmanuel Macron a annoncé samedi à Strasbourg que l’historien et résistant Marc Bloch, « l’homme des Lumières dans l’armée des ombres », assassiné par la Gestapo en 1944, allait entrer au Panthéon #AFP pic.twitter.com/2kQ4da6mxn
— Agence France-Presse (@afpfr) November 23, 2024
Pour son œuvre, son enseignement et son courage, Marc Bloch entrera au Panthéon. pic.twitter.com/GJrHoRCF3A
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 23, 2024
- Précédemment : Un cartel de juifs obtiennent de Macron que le terroriste rouge arménien Manouchian soit foutu au Panthéon
Comme avec Manouchian, ce sera un moment solennel de haine antiblanche, anti-française, une célébration symbolique de vengeance hébraïque. Macron espère qu’il rassurera la juiverie qui ne décolère pas face à son manque de soutien à « Israël ».
Actu.fr :
Emmanuel Macron a annoncé ce samedi 23 novembre 2024 à Strasbourg que l’historien et résistant Marc Bloch, « l’homme des Lumières dans l’armée des ombres », assassiné par la Gestapo en 1944, allait entrer au Panthéon.
« Pour son œuvre, son enseignement et son courage, nous décidons que Marc Bloch entrera au Panthéon », a déclaré le chef de l’État à l’occasion du 80e anniversaire de la Libération de Strasbourg, le 23 novembre 1944.
La France n’en finit plus d’être libérée. D’ailleurs, plus elle est libérée, plus elle est enchaînée.
J’ai arrêté de compter les étapes du tour de France de Macron du résistantialisme. Il y a passé toute l’année 2024. Il compte sûrement nous faire une apothéose le 8 mai 2025. Il les aura toutes faites, uniquement pour parader et s’écouter parler devant des parterres de vioques. Ils adorent ces conneries-là.
Aux combattants de la Liberté.
80 ans après, à Strasbourg. pic.twitter.com/WORe7BofD3— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 23, 2024
Prenez ce vieux con. Pratiquement centenaire, il aura consacré une vie entière à ne rien biter au film. Il est là, dans la bouillie de la France multiraciale, bougnoulisée, à déconner à plein tube. Il pourrait déconner pendant mille ans sans faiblir si la nature n’était pas plus économe de sa patience.
La Liberté, toujours. pic.twitter.com/IYvVxjCrnH
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 23, 2024
Si c’est une victoire, c’est celle de la race juive. Ce ne sont pas les quelques rares couillons de Français qui ont suivi le Grand Con replié à Londres qui ont gagné quoi que ce soit, si ce n’est une de leurs médailles en ferraille blanche.
Et justement, c’est le message de Macron : tout pour les juifs !
Marc Bloch a été un citoyen engagé, soldat des deux guerres mondiales, patriote, antifasciste, fervent républicain et résistant, mort fusillé en 1944 par les Nazis.
Merci à eux.
« Passionné de la République » et grand patriote qui a signé dans les années 1930 le manifeste des intellectuels antifascistes, ce juif athée, Poilu de la guerre 14/18, est à nouveau mobilisé en 1939. A sa demande, alors qu’il a 53 ans, six enfants et souffre d’une polyarthrite invalidante. « Je suis le plus vieux capitaine de l’armée française », disait-il.
En France, sous le régime républicain, on est vraiment patriote que si l’on est juif et marxiste.
Les autres sont louches.
Et en tant que juif, Bloch avait des billes dans l’affaire. La survenue des armées blondes guéries du venin de Judée avait de quoi plonger dans l’angoisse ce compagnon de route de l’URSS, paradis mondial des travailleurs.
Ce sang pétri de haine raciale pour l’autochtone coule intact dans les veines de sa descendance. Depuis 24 heures, elle hurle de joie et de colère.
Sa famille est juive, non pratiquante. « Marc Bloch n’avait foi qu’en une seule idée, la République », souligne auprès de l’AFP sa petite-fille, Suzette Bloch. Lui, disait qu’il ne revendiquait sa judéité que « dans un cas : en face d’un antisémite ».
Français plus français que les Français, mais tout de même juif, un tout petit peu, pudiquement, quand on les oblige.
Il ne viendrait jamais à l’idée d’un juif d’être juif.
D’ailleurs, ce sont les antisémites qui ont inventé les juifs.
En 1940, avec les lois anti-juives de Vichy, il est exclu de l’enseignement avant d’être temporairement rétabli. C’en est fini quand les Allemands envahissent la zone libre en novembre 1942. Avec les siens, il se réfugie dans la maison familiale de la Creuse avant de faire une nouvelle fois le choix de cette France qu’il aime tant.
« Cette France », nous l’avons sous les yeux.
Elle est salopée par les juifs du sol au plafond.
La famille de Marc Bloch a salué sa panthéonisation, 80 ans après sa mort, à laquelle appelaient depuis longtemps responsables politiques et historiens. « C’est une très grande émotion et fierté. Il s’est donné corps et âme pour la liberté et contre le nazisme », a déclaré sa petite-fille Suzette Bloch à l’AFP.
Dans une lettre au président de la République, dont l’AFP a obtenu copie, la famille demande, au regard de son engagement, que « l’extrême droite, dans toutes ses formes, soit exclue de toute participation à la cérémonie » d’entrée au Panthéon.
Décidément, Marine Le Pen et Jordan Bardella n’en feront jamais assez.
« L’œuvre de ce patriote convaincu est profondément antinationaliste, construite contre le roman national et la réduction de l’histoire française aux frontières nationales », écrivent sa petite-fille Suzette Bloch et son arrière-petit-fils Matis Bloch, au nom des ayants droit.
Ha !
Voilà du patriotisme très solide, sans frontiériste !
Du patriotisme sans patrie !
C’est pratique le patriotisme sans patrie, ça permet de passer les frontières, justement.
Un peu par curiosité, j’aimerais interroger ces deux juifs quant à leur discours très ferme contre le « roman national » et les « frontières nationales » pour savoir s’ils le tiennent de la même manière au sujet de la colonie juive de Palestine.
Cette colonie est autrement plus fondée sur un roman que la France et ses frontières bien plus cruellement et sanguinairement gardées au nom de ce roman qui, d’ailleurs, ne puise pas dans l’athéisme, mais bien dans les divagations de la Torah.
Je crains, hélas, de ne jamais avoir de réponse à cette question.
J’imagine qu’il faut faire confiance aux juifs, aveuglément, et faire preuve de gratitude pour avoir fait triompher leur antifascisme armé en France.
Combien de juifs le régime républicain à l’agonie compte-t-il encore remiser au Panthéon ? Entre le Badinter, la Veil et le Bloch, les vieilles tripes de la Gueuse vont avoir du mal à racler les parois pour faire couler un peu du mince filet jaunâtre de la descendance d’Abraham dans les cabinets de la République.
Notez qu’on peut toujours aller récolter quelques vieux ossements d’un yid desséché depuis longtemps. Ce n’est pas ça qui manque en France, surtout à Paris.
J’innoverais volontiers dans le registre. Pourquoi ne pas murer des juifs vivants dans le Panthéon ? Ça nous changerait.
Je commencerais par Marek Halter.
Le JDD de Bolloré m’assure qu’il est un des esprits français les plus alertes et vigilants de l’époque, lumière tamisée de la raison.
Imaginez-le glapir, une fois la dernière pierre posée, implorant Shmuel et Habacuc.
Je suis sûr de pouvoir trouver tout un tas de gens séduits par mon projet.
J’en ai plein des comme ça, mais hélas les Français ne m’ont pas élu président de la République.
« Grand protecteur des arts et des lettres », voilà ma vocation.
On ne s’ennuierait pas, vous pouvez me croire.
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