Sigmar Polaris
Démocratie participative
01 avril 2022
Macron, le premier magistrat de France, est officiellement contre la légitime défense (qui est légale, en théorie).
Europe 1 :
Emmanuel Macron est contre la légitime défense. En déplacement ce jeudi 31 mars en Charente-Maritime pour défendre son bilan environnemental, le chef de l’Etat a réagi au fait divers qui a secoué la Charente, le département voisin, cette semaine. Un agriculteur de 35 ans, résidant à Longré, a été mis en examen pour meurtre, après avoir tiré mortellement sur un quadragénaire entré par effraction à son domicile vendredi dernier.
Selon les premiers éléments de l’enquête, cet agriculteur a tiré à deux reprises avec un fusil de gros calibre sur un groupe de quatre cambrioleurs entrés par effraction chez lui, tuant l’un d’eux, a indiqué Aude de Vallée, substitut du procureur d’Angoulême. Les faits se sont déroulés vendredi 35 mars entre 22h et 23h, alors que l’auteur des coups de feu était seul avec sa fille de 3 ans à leur domicile.
Emmanuel Macron a réagi en estimant que nous étions dans un « Etat de droit ». « Chacun doit avoir la sécurité et c’est le devoir de la puissance publique de l’assurer », a-t-il déclaré au micro d’Europe 1. « Mais, je suis opposé à la légitime défense. Donc ça, c’est très clair et c’est intraitable parce que sinon, ça devient le Far West. Et je ne veux pas d’un pays où prolifèrent les armes et où l’on considère que c’est aux citoyens de se défendre ».
Les envahisseurs sont déjà bien protégés par les juges et leurs armes.
Ce sont les Blancs qui ne doivent pas pouvoir se protéger. Ils doivent rester docilement sous le contrôle de l’état qui organise leur remplacement.
Le président de la République veut que les Français comptent sur la police et la gendarmerie pour assurer leur sécurité. « C’est aussi pour ça que j’ai décidé de créer 200 brigades de gendarmerie pour être plus présents sur le terrain en monde rural », explique-t-il.
L’agriculteur aurait dû compter sur la Gendarmerie pendant que les voleurs entraient chez lui pour le braquer.
S’il est mécontent, il n’avait qu’à être président de la république, il aurait eu des milliers de flics déjà sur place pour le protéger gratuitement.
Les politiciens ont peur de la colère de l’homme blanc, ils préfèrent le livrer avec sa famille aux animaux sauvages plutôt que de le voir reprendre les choses en mains.