Capitaine Harlock
Démocratie Participative
08 mars 2018
Emmanuel Macron s’est rendu à la convocation qu’il avait reçu pour participer au dîner annuel du gouvernement d’occupation juif de France, j’ai nommé le CRIJF dont les juifs omettent d’ailleurs systématiquement le « J ». Pourquoi ? Par aveu, bien sûr, puisque cela donne : « Conseil Représentatif des Institutions de France ».
C’est à dire le gouvernement réel, celui derrière se cache le « J ».
La juiverie avait logiquement établi ses quartiers au coeur de l’ancien palais royal du Louvres, là où jadis des Français gouvernaient des Français. Ce n’est bien sûr pas un hasard, car c’est également là que Macron a été couronné Grand Shabbat Goy de France par ses maîtres, l’an passé.
Macron est reconnaissant mais n’a guère le choix, étant leur laquais.
LIVE l Dîner du Conseil Représentatif des Institutions Juives de France.https://t.co/Z8U5I0Gjv5
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) 7 mars 2018
Naturellement, les juifs se sont livrés à leur habituel exhibitionnisme pornographique doublé de leur traditionnel numéro d’extorsion : se répandant en larmes et en gémissements du haut de leur tyrannie pour mieux poser de nouvelles exigences.
Dans le flot de bruit hébraïque que nous avons entendu, nous avons pu relever quelques aveux assez intéressants. Le premier, le fait que le juif a parfaitement conscience de demeurer l’éternel élément étranger au sein du peuple qui l’accueille.
Le président du gouvernement juif a ainsi assuré être pris en étau entre les Français d’une part et certains envahisseurs musulmans ingrats vis-à-vis de leurs protecteurs sémites d’autre part.
C’est dans ce mauvais climat que l’antisémitisme prospère dans notre pays.
Plusieurs analyses lui ont été consacrées. Elles dessinent, toutes, un étau.
Nous, Français juifs, sommes à l’intérieur de cet étau qui nous écrase et qui nous fait mal.#DinerDuCrif— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 7 mars 2018
Le Pro-consul de la juiverie international en France a donné quelques détails.
Il y a d’abord ces Français qui, de gauche ou de droite, comprennent au moins partiellement le rôle dissolvant que jouent les juifs, en France et dans le monde.
Oui, ça fait mal quand nous sommes pris entre l’antisémitisme traditionnel surreprésenté à l’extrême-droite et l’antisémitisme antisioniste surreprésenté à l’extrême-gauche,#DinerDuCrif
— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 7 mars 2018
Et puis il y a ces musulmans radicaux, qui n’aiment pas non plus ces juifs.
Quand nous sommes coincés entre l’antisémitisme musulman très présent chez les 15 à 25 ans et le statut de cible privilégiée pour les terroristes islamistes.#DinerDuCrif
— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 7 mars 2018
En toute honnêteté, si ce n’était pour leur colonie palestinienne, tout irait bien entre les deux grandes branches de la prédation désertique.
Le gouvernement juif a également voulu parler de la littérature française, elle aussi antisémite, qui doit être rigoureusement expurgée pour que la France convienne vraiment aux juifs.
Car soyons clairs, ce que les Français veulent pour la France en France est parfaitement secondaire et en fait, sans intérêt.
Nous pensions le projet enterré. Mais Antoine Gallimard déclare ne pas avoir renoncé à la réédition de ces bréviaires de la haine. Je l’appelle à nouveau à abandonner ce projet porteur d’une insupportable incitation à la haine antisémite et raciste. #DinerDuCrif
— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 7 mars 2018
Et comme le juif n’aime pas la critique puisqu’il est exempt de fautes – surtout dans les pays qu’il exploite et saccage – il exige très légitimement une brutale répression contre ceux qui seraient en proie au doute. C’est-à-dire les Français sous occupation.
Il y a certes une législation pour assurer que la juiverie soit protégée par son régime, le régime républicain. Mais cela ne suffit pas, ne suffit jamais. Il faut aussi que cela s’étende à Israël à la faveur d’un droit d’exception.
La haine antisémite a une étrange capacité à se réinventer sous de multiples formes. Nous avons besoin, pour la combattre, d’une définition incluant toutes ses formes actuelles, y compris l’antisionisme et le négationnisme.#DinerDuCrif
— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 7 mars 2018
Et quel modèle peut mieux s’appliquer au bétail goy de France que celui qui a été imposé par la juiverie en Allemagne ?
Depuis janvier 2018 une loi allemande oblige les réseaux sociaux à retirer les contenus haineux sous 24 heures. (…)
Que la France s’inspire de cette loi ou qu’elle invente son propre dispositif, il est urgent d’assécher ce torrent de haine.#DinerDuCrif— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 7 mars 2018
La juiverie triomphante a pu se laisser à une proclamation solennelle : définir ce qu’est la France, selon sa modestie et sa discrétion coutumières.
Lorsque notre outil aura fait ses preuves, nous pourrons l’élargir au racisme, à la xénophobie, à l’homophobie, à la haine des musulmans et, aussi, à la haine de la France.#DinerDuCrif
— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 7 mars 2018
Et oui, Français, vous avez la haine de la France. Car les juifs sont ceux qui décrètent ce qu’est la France et ce que sont les intérêts français. Pas vous.
Ils décrètent aussi, par philanthropie, ce que sont les intérêts des musulmans ou des pédés.
L’impudence de cette race est sans limite. Elle s’arroge sans rougir la propriété d’une nation en son entier tout en se déchaînant pour la détruire en renforçant les positions de ses ennemis, à commencer par l’envahisseur nègre et mahométan.
Et par un tour de pilpoul infect, l’écoeurante juiverie fait du patriotisme français la marque de la « haine de la France ».
Bien sûr, seul le juif éprouve de la haine pour la France, cette terre de conquête dont il suce le sang et exploite sans vergogne le labeur, torturant avec sadisme la main assez idiote qui l’a nourrie.
En réalité, s’il y a une haine légitime, c’est envers la France juive, l’anti-France, c’est-à-dire la république juive d’occupation.
Cette juiverie est effectivement patriotique.
Il suffit de la laisser s’exprimer.
Et j’ajoute un vœu pour votre prochain voyage, que la France reconnaisse Jérusalem comme la capitale d’Israël.#DinerDuCrif
— Francis Kalifat (@FrancisKalifat) 7 mars 2018
La France est une colonie juive dont la capitale est à Jérusalem.