La rédaction
Démocratie Participative
02 novembre 2022
Deux semaines après l’assassinat de Lola, ce dont nous avons besoin, c’est de plus d’immigration du tiers-monde.
C’est justement au programme.
De l’immigration clandestine patronale à marche forcée, qui s’intègre bien.
📰 Avec @GDarmanin, nous portons une réforme de l’immigration qui facilitera la vie et l’intégration des étrangers vivant et travaillant en France et garantira une meilleure application des règles par la police et la Justice.
Notre interview @lemondefr ⤵️ https://t.co/SJoOi4o4d4
— Olivier Dussopt (@olivierdussopt) November 2, 2022
C’est déjà la cas dans la pratique. Le gouvernement français n’expulse aucun clandestin, qu’il soit dealer, cas psychiatrique lourd ou larbin mobilisé par Uber Eats.
La convergence entre les gauchistes sans-frontiéristes et le capital est absolue sur ce sujet.
La bourgeoisie française adore ce mème du migrant afro-maghrébin courageux qui « lui n’est pas un profiteur », « contrairement à tous ces cas sociaux » de Blancs.
C’est encore plus vrai chez les boomers. Quand ils voient un migrant déguisé en cuistot, ils ont des étoiles dans les yeux.
Ils pensent au système de retraite enfin à l’équilibre.
Ce n’est plus un sujet de querelle.
La gauche radicale et les capitalistes hexagonaux font cause commune sur ce thème.
🗣️💬 « Nous avons des gens qui ne veulent plus faire le métier de restaurateur et d’autres qui préfèrent rester au chômage » Alain Fontaine, président de l’Association française des maîtres restaurateurs plaide pour la régularisation des travailleurs sans-papiers. #ApollineMatin pic.twitter.com/Nc2px8tdMB
— Apolline Matin (@ApollineMatin) November 1, 2022
Droitardé : s’il n’y avait pas de sans-papiers il n’y aura pas de dumping social
Moi : ok donc on régularise tous les sans-papiers
Droitardé : https://t.co/6n3JZwXNOC pic.twitter.com/8H5WxJzWtf
— PasDuhring (@PDuhring) September 2, 2022
Les gogols marxistes ont un problème avec le concept de flux et de stock.
Ils ont également un problème avec la distinction des hommes et des femmes.
Le salaire minimum légal n’a aucune importance dans un environnement où la BCE imprime de facto le cash dont les états ont besoin pour payer leur gabegie généralisée. L’inflation efface la barre. Si un salaire 2022 de 1,700 euros mensuel théorique (qui vaut un 1,200 euros 2017 pratique) ne convient pas à Jérémy, Mamadou le larbin régularisé le prendra.
Faire entrer des migrants « légalement » au rythme de 500,000 têtes par an met simplement en compétition le tiers-monde avec les travailleurs précarisés français dans une situation dynamique qui joue pourtant en leur faveur : le vieillissement de la population. Si demain on ferme les frontières, les travailleurs ont l’ascendant dans le rapport de force parce que le patronat doit attirer à lui les travailleurs, pas l’inverse. Politiquement, tout l’équilibre social serait bouleversé par cette contraction démographique et cette pénurie de main d’oeuvre, car la base dicterait les conditions. Les boomers et les parasites seraient laminés.
L’impression perpétuelle de cash sous forme de dette juive et l’immigration totale garantissent au système de maintenir la tête du travailleur blanc sous l’eau. Le niveau de vie s’effondre pour lui, mais les boomers maintiennent l’endettement et les gens marron fraîchement arrivés y trouvent leur compte.
Les gauchistes blancs se foutent de cette réalité, ils sont trop obsédés par l’anéantissement du prolétaire autochtone qui focalise toute leur haine.
Cédric Herrou et le MEDEF ne forment qu’une seule et même entité.
Le repeuplement est en marche.
La France de 2030, ce sera 20 millions de boomers en vacances permanentes, du tourisme et de l’immobilier en guise d’économie et 20 millions de larbins marron payés au noir pour essayer de faire fonctionner ça (vaguement maçons, vaguement cuistots, vaguement chauffeurs).
Les villes seront libanisées et sales, les coupures d’eau et de courant seront la norme.
Grenoble partout, avec des boomers qui diront, « et alors ? c’est partout comme ça ! »
Certes, il y a les juifs, mais la bourgeoisie française, de droite et de gauche, avec son amour de ses rentes, aura bien plus largement contribué au désastre racial.
Les juifs ont simplement exploité à outrance l’absence totale de scrupules de cette génération pourrie.
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