Captain Harlock
Démocratie Participative
02 janvier 2020
Ce disque rayé de la « lutte contre le communautarisme » à la veille des élections.
Il s’agit de trois lignes, dans son discours du 31 décembre. « Je vois trop de divisions au nom des origines, des religions, des intérêts. Je lutterai avec détermination contre les forces qui minent l’unité nationale et dans les prochaines semaines je prendrai de nouvelles décisions sur ce sujet », a fait valoir Emmanuel Macron, lors de ses vœux aux Français. Que revêt cette déclaration allusive ?
Comment peut-on être aussi idiot ?
Ou accepter de faire semblant d’être aussi idiot ?
Soit la France est un état multiracial et multiconfessionnel qui organise son propre repeuplement par les masses venues du tiers-monde, auquel cas la division est inéluctable.
Soit c’est un état homogène donc une nation.
C’est l’un ou l’autre.
Se lamenter sur les divisions ethniques et religieuses tout en ouvrant les vannes de l’invasion relève du déséquilibre psychiatrique.
« Il a confirmé qu’il aurait une prise de parole sur la lutte contre le communautarisme », décrypte un conseiller ministériel. À ne pas confondre avec un discours sur la laïcité, thème sur lequel le chef de l’Etat est, aussi, attendu. Dans la foulée de son discours lors du Congrès des maires en décembre, suivi par l’envoi d’une circulaire du ministère de l’Intérieur sur « la lutte contre l’islamisme et le repli communautaire » aux préfets, un plan comprenant des mesures de prévention et de lutte contre le communautarisme, balayant les différents champs ministériels, est sur le métier. Le chef de l’Etat, qui a, dit-on, « beaucoup consulté », devrait très probablement le présenter avant les municipales, même si ce calendrier n’est pas gravé dans le marbre.
Je suis certain qu’une « prise de parole » de Macron devrait grandement contribuer à réduire le fossé du QI entre les 50 millions de Français de race blanche et les 16 millions d’allogènes venus du tiers-monde officiellement recensés en France en 2017.
Après un discours musclé de l’Oulema Emmanuel Macron sur le thème des « faux musulmans qui lisent le coran de travers » parce que « l’islam est compatible avec les valeurs de la République » – comme la Gay Pride -, tout devrait rentrer dans l’ordre.
En coulisses, on planche. Les ministres concernés ont, selon une source gouvernementale, en tête « de lui remettre une copie claire d’ici fin janvier ».
Vous m’en direz tant.
En décembre, Christophe Castaner (Intérieur) et son secrétaire d’Etat Laurent Nuñez, ont ainsi réuni en interministérielle leurs collègues en charge de l’Education nationale, de la Justice et de la Politique de ville. Objectif affiché : trouver les moyens pour lutter contre la déscolarisation, être plus offensif sur le plan des infractions pénales et troubles à l’ordre public, et enfin veiller à la mixité sociale ainsi qu’à la présence des services publics. « Tous les leviers doivent être actionnés. Il nous faut aller plus loin, agir plus en profondeur, embrasser le problème plus largement », plaide-t-on au ministère de l’Intérieur.
Castaner « travaille » aidé du maghrébin d’Andalousie.
Nous voilà sauvés.
« Déscolarisation » : les bougnoules et les nègres qui nous affligent par millions ont simplement raté des cours.
On se demande d’ailleurs pourquoi. Peut-être parce qu’ils préfèrent vendre de la came et violer des Blanches.
Autre problème, « la mixité sociale » (raciale, donc). On en a pas assez mis dans les communes où vivent les Blancs, ce qui peut être corrigé par une politique encore plus ambitieuse de ventilation raciale systématique.
Pardon, « une politique de peuplement ». Là encore, du nouveau de chez nouveau.
Que des mesures révolutionnaires, inédites, ambitieuses qui vont enfin résoudre la question raciale avec encore plus d’argent volé aux contribuables français.
Parce que l’argent comble bien évidemment le fossé génétique.
Le ministre des Collectivités locales, Sébastien Lecornu, travaille, lui, sur la façon d’ empêcher les maires de mener des politiques communautaristes, une fois élus, autour de trois axes : « organisation des services publics, pouvoirs de police du maire, financement des associations », et sur « le contrôle par les préfets de la légalité des mesures prises par un élu ».
Je crois que c’est la partie la plus ironique : empêcher les politiciens d’acheter les voix des maghrébins en les arrosant de subventions.
LREM va se lancer avec détermination dans ce projet, c’est sûr.
Vu la fermeté de Macron à Mayotte où l’empereur des nègres a promis des milliards d’euros aux sauvages musulmans du crû, je suis certain qu’il va serrer la vis chez leurs congénères de banlieue.
Ce sujet, confie un conseiller du gouvernement, « le président veut le porter lui ». Pourquoi, alors même au sein de la majorité, certains admettent que « ce n’est pas la principale préoccupation des Français »? « Cela renvoie à l’identité française, à l’unité de la nation », justifie un conseiller ministériel. Tandis que la majorité se déchire sur ces questions il s’agit aussi, bien sûr, de préparer la suite. En témoigne le ton régalien donné à dessein par Macron à sa rentrée, notamment par la fermeté de son discours sur l’immigration, mais passé sous les radars pour cause de grève record contre sa réforme des retraites.
Macron n’entend rien faire sur l’immigration ou l’islamisme.
Concrètement, j’entends.
En revanche, il veut une opération de communication qui fasse suffisamment illusion dans la perspective de 2022 pour paraître crédible vis-à-vis des électeurs réactionnaires.
Mais l’ennui, quand vous recrutez des transfuges du Parti Socialiste, des algériens, des nègres ou des bobos comme l’a fait Macron, c’est que ces gens n’ont aucunement l’intention de chercher à séduire, même le temps d’une campagne, les Blancs qu’ils haïssent de toutes leurs fibres.
S’ils veulent bien obéir à toutes les consignes de Macron sur les questions fiscales, économiques ou autres, ils refuseront catégoriquement de se laisser entraîner dans une manoeuvre qui nécessite de faire semblant de titiller la vermine immigrée.
Surtout si elle est musulmane.
C’est biologiquement, instinctivement au dessus de leurs forces.
Du coup, Macron va sûrement affronter une fronde interne comme lors du drama bidon sur la déchéance de nationalité des double nationaux djihadistes sous Hollande.
Mesure que ce flan n’avait même pas réussi à faire passer.
« De manière cynique, il ne faut pas laisser la droite s’emparer du sujet. Il faut que le président puisse avoir des propositions face à Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Bruno Retailleau. Et en cas de duel avec Marine Le Pen, ces sujets seront dans le débat public », observe un élu LREM, pour qui, pas de doute, « Macron veut renforcer cette dimension en vue de 2022 ». « Le président veut pouvoir faire des annonces un peu concrètes sur le communautarisme, avec les municipales qui arrivent », croit savoir un député LREM au fait du dossier, quand un autre lâche : « ça ne fait pas l’ombre d’un doute ». Dans les couloirs du gouvernement, certains évoquent « un plan global », présenté avant les municipales.
Voilà, yorarien.
Il s’agit juste de pouvoir bluffer face aux autres bluffeurs comme cette merde molle de Xavier Bertrand ou Harry Potter, j’ai nommé François Baroin.
La démocratie juive, c’est pire que le SIDA.
Si tous ces politiciens finissaient dans un tribunal pour répondre de leurs crimes et que j’étais l’avocat chargé de les défendre, la ligne que j’adopterais serait claire.
« Mes clients n’ont pas inventé ce concept bizarre qui veut qu’au dessus d’un certain nombre de voix on peut faire n’importe quoi avec l’argent volé par le fisc. Si vous voulez juger quelqu’un, il va falloir également convoquer les dizaines de millions de gens qui ont voté pour des bandits en toute connaissance de cause, décennie après décennie ».