Captain Harlock
Démocratie Participative
14 octobre 2019
Macron se prenait pour le grand leader des kurdes il y a 48 heures.
Je condamne avec la plus grande fermeté l’offensive militaire unilatérale qui est en cours en Syrie. J’appelle la Turquie à y mettre un terme le plus rapidement possible. La Turquie fait courir un risque humanitaire à des millions de personnes.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) October 10, 2019
Il doit fuir la queue entre les jambes aujourd’hui.
#Syrie Comme les États-Unis, la France retire ses Forces spéciales face à l’offensive turque.
« Des mesures seront prises dans les prochaines heures pour assurer la sécurité des personnels français militaires et civils présents dans la zone » a annoncé l’Elysee cette nuit.— jean-do merchet (@jdomerchet) October 14, 2019
Avec les troupes syriennes appuyées par les Russes qui remontent vers la frontière turco-syrienne et le départ précipité des troupes américaines décidé par Trump, la buse qui sert de président à la France a encore ajouté l’humiliation à l’échec.
Il aurait dû se taire et sortir discrètement de Syrie, sans fanfare.
Mais c’est plus fort que les homosexuels du Quai d’Orsay et de l’Élysée : après des cris d’orfraie dans les médias et à l’ONU, ils réalisent qu’ils n’ont rien sur place qui puisse faire illusion ne serait-ce qu’une minute.
D’ici quelques jours, la Syrie sera presque totalement libérée.
Les ploutocraties à la solde de l’Amérique juive ont mordu la poussière.