Macron offre l’asile à un terroriste rouge chilien

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 novembre 2018

La France, base de repli officielle du terrorisme rouge sud-américain.

TV5 Monde :

Le Chili a protesté vendredi contre l’asile accordé par la France à l’ancien guérillero chilien Ricardo Palma Salamanca, condamné dans son pays pour l’assassinat d’un des idéologues les plus importants de la dictature d’Augusto Pinochet, et demande au gouvernement français d’annuler cette décision.

Ricardo Palma Salamanca s’était échappé en 1996 par hélicoptère de la prison de haute sécurité chilienne où il purgeait sa peine à perpétuité pour l’assassinat en 1991 de Jaime Guzman, sénateur et théoricien du régime Pinochet (1973-1990), et l’enlèvement de Cristián Edwards del Río, fils du propriétaire du journal El Mercurio. Il avait été arrêté à Paris le 16 février après 21 ans de cavale.

L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra) a accordé l’asile à cet ancien membre du groupe de guérilla marxiste Frente Patriótico Manuel Rodríguez (FPMR), selon le gouvernement chilien.

« Le gouvernement chilien n’est pas d’accord avec la décision prise aujourd’hui par l’office français des réfugiés d’accorder l’asile politique à Ricardo Palma Salamanca », a déclaré le ministre de l’Intérieur Andrés Chadwick à des journalistes.

L’ambassadeur français au Chili a été convoqué pour lui faire part du désaccord du gouvernement chilien, a annoncé M. Chadwick, tout en enjoignant le ministre de l’Intérieur français Christophe Castaner à « annuler cette décision », contrevenant selon lui aux normes de la Convention de Genève sur l’asile et la protection.

Le président chilien Sebastián Piñera, lors de sa récente visite en France, avait dit à Emmanuel Macron que la volonté du Chili était « très simple, qu’il (M. Palma Salamanca, ndlr) puisse retourner là où il a été jugé et condamné pour un acte terroriste ».

Le groupe de guérilla FPMR, dont Ricardo Palma Salamanca faisait partie, était notamment à l’origine d’une tentative d’assassinat ratée contre Pinochet en septembre 1986.

Ce fameux FPMR n’est autre que la branche armée du parti communiste du Chili, formée clandestinement avec l’appui du Bloc marxiste-léniniste soviétique dans les années 70.

Cette décision ne peut pas avoir été prise sans l’accord de la Présidence de la République, surtout après la demande formelle d’extradition de la part du président chilien.

C’est l’OFPRA, l’organisation qui importe habituellement des nègres en France, qui a délivré ce statut de réfugié à ce terroriste rouge.

Outre l’évidente démonstration de ce que l’Etat Français est lui-même un état pro-marxiste, cette décision est aussi un signal évident envoyé à toute l’Amérique du Sud après la victoire de Bolsonaro : cette république juive en voie de bolchevisation est prête à offrir l’asile à tous les terroristes rouges du continent, une fois leurs crimes commis.

Et si on pave la voie à l’accueil de pareils égorgeurs communistes, c’est que l’on prépare des actions violentes nécessitant des points de repli solides.

Toute une série de pépitos communistes vont transférer une partie de leurs activités vers la France, à titre préventif. Cela offre aussi l’avantage pour cet état judéo-communiste de disposer d’une réserve d’auxiliaires pouvant mener des coups ici et là en cas de besoin.