Macron menace l’Italie de « conséquences » si la femme Meloni continue de n’accepter que 75% des migrants clandestins

La rédaction
Démocratie Participative
13 novembre 2022

 

C’est ce que je disais la semaine passée lors de l’affaire Grégoire de Fournas : Macron a refermé le piège sur lui-même en chassant le député RN de l’Assemblée pour faire le malin sur Twitter pendant 24 heures.

Il ne peut plus que soutenir l’invasion totale.

La femme Meloni a accueilli deux bateaux de Soros et autorisé le débarquement de leur cargaison de déchets raciaux en Italie, mais ce n’est pas encore assez.

Le gang macroniste exige qu’elle capitule totalement.

Le programme d’immigration totale se matérialise sous nos yeux.

Macron préfère déclencher une nouvelle crise diplomatique avec l’Italie plutôt que de simplement arrêter les navires des ONG de Soros et demander à Frontex de faire le travail qu’il est censé faire.

Il faut dire que le boss de Frontex a été limogé pour transformer cette structure en agence de voyage pour migrants clandestins.

Le vieillard sénile Borrel, qui représente l’inexistante « diplomatie de l’UE », a mis carte sur table.

Le Grand Remplacement n’est pas un choix, c’est une obligation.

Comme de juste, c’est un socialiste espagnol, c’est-à-dire un marxiste aligné sur l’oligarchie financière.

L’avantage du blocage partiel de l’Italie, c’est que le gouvernement français ne peut plus pratiquer la politique du fait accompli. Jusqu’à présent, il laissait venir les clandestins par l’Italie tout en émettant des OQTF de l’amour pour divertir la galerie.

Le passeur Cédric Herrou est la guest star du festival antifa de Cannes, un évènement de l’oligarchie française.

C’est la véritable politique de l’État français.

Le gouvernement français doit désormais assumer sa politique migratoire réelle et c’est ça, justement, qui plonge Macron et sa clique dans une rage folle.

Le gouvernement français procède toujours hypocritement, car sa classe politique a peur du peuple. Le cirque covidiste l’a parfaitement démontré, avec la technique du voleur chinois que le gouvernement français emploie systématiquement.

« Oui, mais non, enfin peut-être, non, pas du tout, oui, en fait. »

Maintenant les autorités doivent organiser l’arrivée des navires sous le nez des Français écrasés par l’inflation et l’assumer.

C’est le pire scénario pour n’importe quel dirigeant français.

Un dirigeant français ne veut jamais pouvoir être tenu pour responsable de quoi que ce soit.

Ce n’est donc pas le fait que l’Italie bloque l’arrivée de migrants dans l’absolu qui suscite la crise, mais que Macron doive assumer face à l’opinion publique française d’être responsable de chacune de ces entrées sur le territoire français, donc de tout ce qui peut arriver avec une de ces OQTF.

Et ces OQTF sont aussi stables que de la nitroglycérine.

Les flics peuvent surveiller 200 de ces migrants clandestins s’ils sont enfermés dans un hôtel de luxe, mais pas des milliers si les navires de Soros décident de revenir à Toulon. Il suffit qu’un seul de ces musulmans flottants surine n’importe qui pour que Macron se retrouve avec une crise politique majeure sur les bras.

L’axe narratif de sa clique « mais c’est aux Italiens de les prendre parce qu’on n’en veut pas, mais il faut en vouloir parce que les droits de l’homme » est intenable.

S’il les veut et les aime, il doit les accueillir avec enthousiasme.

S’il n’en veut pas, il ne peut pas accuser l’Italie de ne pas en vouloir davantage.

Or, c’est ce que cet imposteur essaie en ce moment même : ne pas les accueillir lui-même pour ne pas faire exploser l’opinion publique, exiger que l’Italie fasse exactement ça, et ensuite les accueillir en douce via la frontière franco-italienne pour quand même les avoir et les imposer aux Français.

C’est ce qui gouverne la France.

Je veux que les ONG de Soros continuent leur splendide travail.

Elles sont en train de préparer le terrain à la chute de Macron.

Imaginez un peu qu’un de ces migrants de la tolérance venu par un de ces navires fasse ce que font toujours ces migrants : égorger un Blanc en hurlant « Allah Akbar ».

Imaginez un peu.

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