La rédaction
Démocratie Participative
14 novembre 2023
Le soutien à Israël étant désormais bien huilé, si l’on peut dire, le régime peut donc reprendre ses activités normales avec une énergie renouvelée.
Accélérer le rythme migratoire, donc.
Dans la fièvre médiatique anti-arabe, quelques sénateurs de droite, égarés ou confus, avaient cru possible de cesser de soigner le tiers-monde pour plus d’un milliard d’euros par an.
Macron a remis de l’ordre.
Au contraire, on garde, on accélère !
Le JDD :
L’AME au cœur des débats. Mardi 7 novembre, le Sénat adoptait la suppression de l’aide médicale d’État (AME), dans le cadre de l’examen du projet de loi immigration. À la place de ce dispositif permettant aux étrangers en situation irrégulière de bénéficier d’un accès aux soins, la droite entend créer une aide médicale d’urgence (AMU), axée sur la prise en charge de certaines pathologies graves.
La droite avait une ambition : soigner les clandos quand même, mais différemment.
Ce n’est pas la droite pour rien.
Mais c’est déjà trop !
Ce mardi, la chambre haute a voté définitivement le projet de loi immigration. Pourtant, quelques heures avant ce vote solennel, le porte-parole du Gouvernement Olivier Véran est revenu sur ce débat, assurant que l’exécutif « n’a pas vocation à supprimer l’aide médicale d’État ». « On garde l’AME », a-t-il martelé au micro de France Inter, ce mardi, indiquant que « la majorité aura à cœur de revenir sur un certain nombre de dispositions introduites par les sénateurs », lors du retour du texte à l’Assemblée nationale.
Véran et Attal couchent ensemble
Le Gouvernement a donc pris position, alors même que le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, s’était pourtant dit « favorable » à titre personnel à la transformation de l’AME en AMU. « C’est un bon compromis qui allie fermeté et humanité », avait-il expliqué au Parisien, le 7 octobre. Près d’un mois plus tard, le locataire de la place Beauvau avait toutefois pris ses distances, assurant ne pas souhaiter que la suppression de l’AME « soit dans le texte qui ira à l’Assemblée nationale ».
Darmanin est plus occupé à lutter contre l’antisémitisme.
Le débat sur l’AME n’agite pas que le Parlement. Dans une tribune publiée samedi et citée par BFMTV, quelque 3 500 professionnels de santé se sont engagés à « désobéir » et à continuer de soigner gratuitement les malades en situation irrégulière, si l’aide médicale d’État venait à disparaître. Le ministre de la Santé Aurélien Rousseau avait alors dit comprendre ces médecins, assurant sur franceinfo que « le Gouvernement se battra pour qu’ils n’aient pas à exercer cette désobéissance ».
C’est extraordinaire, l’argent emprunté à la finance internationale, c’est sans limite de crédit.
Par contre, c’est à intérêts prohibitifs.
Quand il est question d’or, je me retourne vers le changeur juif Touati. Les juifs ont plein de défauts, mais ils savent compter et compter, c’est tout ce qui compte quand on parle de sous.
Macron s’endette plus que durant les confinements covidistes, quand il n’y avait plus d’économie française.
ALERTE : France : sur les 9 premiers mois de l’année, le déficit de l’Etat atteint un nouveau sommet historique de 186,12 milliards d’euros, soit 39,5 milliards de plus qu’il y a un an et 11 milliards de plus que le précédent record de 2021…
Formidable !#France #deficit pic.twitter.com/mvj3bpUiBr— Marc Touati (@MarcTouati) November 2, 2023
L’État va confortablement boucler un déficit de 200 milliards d’euros en 2023.
Dont 0,5% iront déjà aux soins des clandestins.
Depuis la crise financière de 2008, le niveau de vie en France stagne.
Mais pas la dette nationale.
Entre 2008 et 2023, la dette française est passée de 1,200 milliards à 3,050 milliards d’euros !
Tout ce fric est englouti par quelque chose, une sorte de trou noir.
Je n’arrive pas à mettre le mot sur ce que ça peut être.
Au hasard, je dirai les noirs et les arabes.
Évaluations nationales en classe de quatrième: pourquoi les résultats sont-ils aussi « inquiétants »?https://t.co/B9ZULp0Xd6 pic.twitter.com/x3C0pOaA2d
— BFMTV (@BFMTV) November 14, 2023
Pour que la catastrophe s’arrête, il faudrait simplement que l’État français ne puisse plus emprunter d’argent.
Qu’il fasse faillite.
Cette solution d’évidence est sous notre nez et changerait tout, du jour au lendemain.
Les juifs, qui contrôlent désormais la France plus étroitement encore que les États-Unis, n’ont sûrement pas envie de voir cela arriver, du moins pas avant que la mise en minorité des Blancs ne sera pas acquise.
L’argent va donc continuer de couler. Il sera toujours temps plus tard de saigner à blanc les survivants post-boomers.
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