Macron intensifie la turbo-négrification de la France (vidéo)

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
27 juillet 2017

 

Je sais, bien sûr, que ce n’est pas nouveau. Mais c’est désormais mis en scène en direct. La turbo-négrification de la France sous l’égide de Macron.

En résumé :

Notez que les arabes ont tendance à être dépassés par les nègres. Admirez ce splendide turban africain, à droite.

Il est des rappels nécessaires.

Pour couronner le tout, à mesure que la France subit l’effondrement de son propre peuple, l’État procède à l’ouverture de ses réservoirs de Nègres (ndlr en Afrique). Ainsi, un danger aux proportions inimaginables se dessine. L’idée de Nègres français, pouvant contaminer le sang blanc, servant de gardes culturels sur le Rhin contre l’Allemagne, est si monstrueuse qu’elle aurait été considérée comme délirante il y a quelques décennies encore.

Inévitablement, cette pollution du sang infligerait la plus grave blessure à la France mais seulement si les autres Européens demeurent conscients de la valeur de leur propre race.

La France est l’exemple classique de l’évolution d’une saine politique de gain territorial en son contraire, dès lors que les principes de conservation ethnique ne sont plus déterminants et que de soi-disants principes politiques les remplacent. Le chauvinisme français est parti d’un point de vue ethnique pour en arriver à négrifier son sang afin de seulement maintenir l’illusion d’une grande nation sur le plan numérique.

Qui en Allemagne veut attendre et espérer que, la France de plus en plus étrangère à toute forme de pensée rationnelle et claire, en raison de sa négrification générale, un jour fasse un pas envers l’Allemagne ? Non, la France esssaiera toujours, par tous les moyens, de nous blesser et de diviser notre peuple pour, finalement, parvenir à sa désintégration complète.

Cet extrait des « Propos de table » d’Adolf Hitler résume absolument tout. C’est le meilleur commentaire qui puisse accompagner cette vidéo de Macron, entouré de ses nègres. Ce jugement est un jugement d’évidence et il était fait à une époque où le commun des Français l’auraient cru absurde et outrancier.

En cela, la victoire allemande était une planche de salut : elle sauvait la France d’elle-même. Ou plus exactement, de ces élites infectées de principes égalitaires dégénérés. Une élite d’ailleurs gravement abâtardie.

Toutes les discussions que j’entends, en France, sur la « souveraineté » m’apparaissent comme de plus en plus répugnantes et oiseuses. Car cette « souveraineté » est une fiction. C’est le produit d’une arrogance ne s’appuyant sur rien de sain ni de fort, sur aucun élan créateur. Ce débat est le produit de stratèges en chambre recrutant des millions de nègres pour tenter de subjuguer une Europe blanche qui leur échappe. Une politique nihiliste et ridicule dont les proportions sont cependant terrifiantes.

Nous en venons à cette question : sauver les Français ou sauver l’état, l’administration française ? S’ils optent pour sauver leur peau, ils doivent voir plus grand que cette fosse sceptique républicaine dont la vocation est de devenir le marche-pied de l’Afrique et de l’islam en Europe.

En réalité, tout le monde se positionne déjà en rapport à ce paradigme bien que personne, ou presque, ne l’assume en public : pour ou contre la France bougnoulisée.

A ce stade, le « nationalisme français » et même le « patriotisme français » est une nuisance, une relique, un frein. Ce qui se comprend au plan psychologique n’en demeure pas moins contre-productif au plan politique. Car au final, ce « patriotisme » ne sert, en pratique, qu’à relégitimer un appareil d’état qui est depuis longtemps devenu une pieuvre se livrant au cannibalisme. C’est d’ailleurs la fonction même du cirque sportif, à l’instar de l’équipe de France : canaliser l’énergie nationaliste du peuple pour soutenir l’ignoble projet créole.

En somme, Jean Luc Mélenchon avait résumé en mars 2012 :

Dans quinze ans, compte tenu de notre démographie, nous serons plus nombreux que les Allemands. Dès lors nous, Français, serons la première puissance du continent et imposerons notre point de vue.

Ce que l’on résumera en image :