Le Libre Panzer
Démocratie Participative
29 décembre 2018
Macron, fourrier des juifs, ne fait jamais rien au hasard. Et lorsqu’il décide de dilapider l’argent des Français, les juifs doivent par obligation avoir leur part.
L’architecte d’intérieur Isabelle Stanislas a été choisie par l’Elysée pour la nouvelle décoration de la salle des fêtes. Un lifting dans un camaïeu de gris, entre évocation du XVIIIe siècle et modernité.
Rien n’est jamais sélectionné par hasard dans cette république juive.
Même après plusieurs mois de travaux, « cela n’a pas été facile de s’approprier cet endroit, encore très habité par la mémoire de Cartier-Bresson, convient-elle. Les gens qui l’ont fréquenté parlent avec émotion des dîners auxquels ils ont été conviés chez lui. » Malgré la charge historique des murs, cette intuitive a fait dès les premières minutes confiance à ce que ce duplex atypique possède d’essentiel : la vue extraordinaire, mais aussi la luminosité, la circulation d’une pièce à l’autre, une qualité d’espace qu’elle a, très tôt, appris à aimer et à reconnaître, avant de chercher à la recréer.
« Enfant, je passais mes vacances avec mes parents dans un petit village à la frontière d’Israël et du Liban. Nous logions chaque année dans le même appartement, très simple, avec un sol en terrazzo, peu de meubles. C’est là que j’ai éprouvé pour la première fois cette impression d’équilibre parfait. » A des années de distance, c’est la même forme de dépouillement absolue qui la touche lorsqu’elle visite à New York la fondation Donald Judd.
Oy vey !
Il y a de la géométrie dans le tracé de vie d’Isabelle Stanislas. Une figure proche du scalène, ce triangle aux trois côtés inégaux. On le retrouve dans ses racines partagées entre le Maroc, la France et Israël. Dans son travail qui associe aménagement d’intérieur, architecture et création de mobilier. Dans son inspiration qui est faite d’un équilibre permanent entre le respect de l’histoire, l’audace de la modernité, et sa volonté de les réunir dans le fondamental et l’essentiel.
Pendant que le peuple crève sous les taxes, la juiverie se gave plus que jamais aux frais des Français.
Il est vraiment temps de traiter le cancer juif avec une chimiothérapie de choc.