Macron essaie de parler de ses machins à Trump qui lui répond en parlant du temps qu’il fait

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 août 2019

 

Trump a finalement accepté de venir passer un week-end à Biarritz.

Il a fait part de la seule chose qui puisse importer durant toute la durée de ce sommet du G7 : il fait beau.

Malgré le numéro de Macron l’insignifiant avec son déjeuner, c’est d’ailleurs le seul truc qu’il a dit à cette tanche : « Il fait beau ».

Parler météo avec Macron est la seule chose rationnelle à faire.

Qui voudrait parler de choses sérieux avec ce sous-Trudeau idiot et pompeux.

Pour avoir l’air d’être utile, le gouvernement français essaie de faire de ce week-end estival l’occasion d’appeler à la censure totale de l’internet occidental.

Apparemment, pour sauver les musulmans.

Europe 1 :

Le sommet organisé en France devrait être l’occasion de faire signer aux acteurs du secteur une charte « pour un internet libre et ouvert », assure l’entourage d’Emmanuel Macron.

« La Charte pour un internet libre et ouvert », tel est le nom du texte que la France s’apprête à faire signer aux géants du numérique. Des mois de négociations ont été nécessaires pour obtenir des engagements sur la transparence, la lutte contre la haine sur internet, le cyber-harcèlement ou le terrorisme en ligne, dans la lignée de l’appel de Christchurch.

Lors de son adresse aux français, le chef de l’état a évoqué ce texte en promettant des « initiatives en termes de numérique ».

Initialement prévue ce vendredi, en présence des patrons du secteur et du Président Macron, l’événement avait disparu de l’agenda officiel. Selon nos informations, longtemps un doute a plané sur la participation réelle de groupes comme Google ou Facebook. Une pression de Donald Trump était évoquée.

L’entourage d’Emmanuel Macron dément et affirme que la signature devrait effectivement intervenir lors du G7 de Biarritz. « Ce sera une signature dématérialisée » explique l’un des acteurs de ce dossier.

Une charte « pour un internet libre et ouvert » qui vise à censurer le net avec l’aide de Google, Microsoft et Facebook, je ne crois pas qu’il y ait plus orwellien.

Il fallait bien toute l’arrogance de la bureaucratie communiste française pour revendiquer l’initiative d’un programme décidé depuis longtemps par le cartel de la Silicon Valley.

« Tout le monde signe, c’est une très bonne nouvelle », se félicite Sébastien Ménard, Conseiller en charge de la Stratégie de Qwant, en charge du G7 Numérique. Google, Facebook, Microsoft mais aussi SnapChat ou Twitter feraient donc partie des signataires.

Qwant, le fameux moteur de recherche qui garantit votre vie privée mais dont la seule fonction réelle consiste à servir de relais à la DGSI.

Mais reste une incertitude : le Président américain Donald Trump, qui a refusé de signer l’appel de Christchurch, après l’attentat survenu en mars en Nouvelle-Zélande, va-t-il apposer sa signature sur ce texte ? « Il a longtemps été réticent, mais les tueries de masse aux USA changent la donne », dit-on à Bercy.

La charte sera notamment abordée lundi lors d’un déjeuner de travail avec les chefs d’Etat du G7.

Je ne sais pas ce que Trump va faire.

La logique voudrait qu’il demande à Macron de lui apporter un thé glacé pendant qu’il regarde la mer.

J’imagine mal un président américain discuter numérique avec un type qui dirige l’état qui a créé le site de Pôle Emploi.

Donc, non, normalement Trump devrait se contenter de prendre un thé glacé en disant à Macron qu’il fait beau.