Captain Harlock
Démocratie Participative
25 juillet 2018
Après cinq jours de silence, Macron a finalement accepté de prendre position sur l’affaire de la milice privée que Benalla était en train de constituer à l’Elysée.
Le spectacle était assez sinistre, avec autour de lui tous les bras cassés de son « mouvement ». Macron, acculé, a résumé sa défense ainsi : « je ne suis pas au courant des détails, mais j’assume dans le principe. »
Il n’avait plus vraiment le choix.
Macron s’est certes dit « trahi » mais a poursuivi en disant qu’il restait tout de même fidèle à Benalla.
Ce soir, #Macron a fait applaudir #Benalla à la Maison de l’Amérique latine.
Tous ces gens en costume qui applaudissent un violent déguisé en policier, comme c’est émouvant. #AllonsChercherMacron pic.twitter.com/m7AlXM6p3h
— Antoine Léaument (@ALeaument) 25 juillet 2018
Il a ensuite demandé à ce qu’on « vienne le chercher », revendiquant la confrontation.
«Le seul responsable, c’est moi, qu’ils viennent me chercher», a lancé Emmanuel #Macron à ses troupes à propos de l’ #AffaireBenalla https://t.co/JNucf91DRQ #Benalla pic.twitter.com/Mwo1sLQUrG
— 20 Minutes (@20Minutes) 25 juillet 2018
Hélas, avec sa voix de minet et sa rombière, Macron peut difficilement passer pour Bonaparte.
Pour que Macron tienne tant à Benalla, c’est qu’il avait noué plus que des rapports amicaux avec ce maghrébin. Je ne parle pas ici de relations sexuelles mais de l’émergence d’une vraie relation à caractère personnel et politique qui commençait à se traduire par la privatisation de l’Elysée.
Accumuler aussi vite autant de pouvoir lorsque l’on est un maghrébin de 27 ans ne s’explique que par une alliance politique qui dépasse les fonctions habituelles des personnes en charge de la sécurité d’un président.
Mon explication, à ce stade, est la suivante : Macron ne fait aucune confiance à la Police ni à l’Armée. Le seul fait d’être entouré, en permanence, de policiers et de gendarmes appartenant à des administrations recelant d’opposants potentiels exacerbe sa paranoïa. Il craint d’être espionné pour le compte de factions hostiles.
Macron a donc conçu, en concertation avec Benalla, un plan visant à constituer une garde privée qui aurait remplacé policiers et gendarmes à la présidence. Certes, il y aurait toujours eu ici et là des flics, mais cette garde aurait été exclusivement recrutée en dehors des cercles professionnels de l’Etat.
D’ailleurs – et c’est exceptionnel – les flics ont commencé à balancer les informations sur ce plan au Sénat.
Cette déclaration du secrétaire général de l’unité police FO au Sénat est sans doute l’élément le plus important dans cette « affaire » Benalla. #barbouzes pic.twitter.com/KMJhcjHIES
— Antoine Lévèque (@Antoine_Lvq) 24 juillet 2018
Il est évident, avec un maghrébin à la tête des opérations, que des hommes de main musulmans provenant des banlieues auraient été recrutés, le tout sur fonds secrets.
Cette garde et ses auxiliaires secrets auraient eu pour mission de collecter toutes les informations sur les opposants de Macron voire, pourquoi pas, d’en neutraliser certains.
C’est ce qui explique pourquoi policiers et gendarmes ne font guère d’efforts pour dire tout le bien qu’ils pensent de celui qui devait mettre en oeuvre leur évincement.
Affaire #Benalla : » Je n’ai jamais vu une arme à la ceinture d’un adjoint au chef de cabinet, à l’époque de @fhollande« , affirme Éric Bio-Farina, Commandant militaire de l’Élysée. #DirectAN pic.twitter.com/sG1XgdY2KJ
— LCP (@LCP) 25 juillet 2018
La conséquence immédiate de tout cela, c’est que Macron va nourrir encore plus de méfiance envers la Police et l’Armée dont il redoute visiblement le pouvoir et la proximité.
Macron a évalué la situation et va jauger de la résistance dans l’opinion publique. Il veut voir s’il y a de l’agitation de rue, notamment à l’initiative de l’extrême-gauche. Si rien ne se forme, ce qui est très probable, ce sera l’heure des représailles.
Macron est particulièrement vaniteux et le moindre commentaire critique formulé jusqu’ici à l’endroit de Benalla sera perçu par lui comme un défi à son autorité. C’est précisément pourquoi il a refusé de renier l’arabe hier.
Le GSPR peut s’attendre à une purge : jamais Macron ne rentrera dans le rang, bien au contraire. Et il ne va certainement pas continuer à voisiner avec des gens qui ont alimenté ses opposants en informations sur le cas Benalla.
Je dois dire que ce n’est par respect pour cette clique de parlementaires qui s’agite actuellement ou par déférence vis-à-vis de la Gueuse que je déplore l’action de Macron. C’est parce qu’elle vise à conforter cet agent des juifs en tentant de démanteler les derniers restes de ce qui peut gêner ses projets. Le tout en s’entourant de sales arabes et en les plaçant au coeur de l’Etat.
L’Etat Français deviendrait, plus encore qu’aujourd’hui, une machine à anéantir la population de souche française.
Mais, le Diable pouvant porter Pierre, c’est peut être l’opportunité indirecte de voir cette république imploser un peu plus.
Tout ce qui peut nous débarrasser de cette république judéo-maçonnique est à prendre et à exploiter.