Captain Harlock
Démocratie Participative
19 Février 2020
Macron a annoncé son grand plan contre l’islamisation.
Il consiste à faire payer les Blancs pour qu’ils se fassent islamiser.
Emmanuel Macron a dévoilé ce mardi à Mulhouse (Haut-Rhin) ses premières mesures pour lutter contre le « séparatisme islamiste ». Pour lutter contre « l’influence étrangère » le président veut notamment réformer l’enseignement en langues étrangères et contrôler la formation des imams.
Accompagné de plusieurs de ses ministres, Emmanuel Macron a détaillé une partie de la stratégie du gouvernement pour lutter contre le « séparatisme islamiste » et « les discriminations » ce mardi dans le quartier de Bourtzwiller à Mulhouse, l’un des 47 « quartiers de reconquête républicaine » de France.
Le postulat de départ est le suivant : si l’envahisseur mahométan nous envahit, c’est parce que les Français sont racistes envers eux et les « discriminent ».
Bref, c’est de la faute des Blancs xénophobes si l’invasion islamique est effectivement une invasion islamique.
« Le séparatisme islamiste qui détourne une religion est incompatible avec la République » a expliqué le président se défendant de proposer « un plan contre l’islam » qui « serait une faute profonde ».
Oui, l’islam n’a rien à voir l’islam.
C’est la bonne approche.
Quatre axes de travail guident l’action du gouvernement a-t-il ajouté : « reprendre le contrôle et lutter contre l’influence étrangère en particulier dans les écoles », « favoriser l’organisation du culte musulman », « lutter contre toutes les manifestations du séparatisme islamiste » et « permettre le retour de l’autorité républicaine dans des quartiers sensibles ».
De ces quatre « axes », un seul sera effectif : favoriser la conquête islamique.
Encore appelé, « organisation du culte musulman ».
Je suis convaincu.
Emmanuel Macron a notamment annoncé que le dispositif de cours facultatifs en langues étrangères dispensés par des enseignants désignés par les gouvernements d’autres pays (Elco) sera supprimé dès la rentrée 2020. « Le problème que nous avons aujourd’hui avec ce dispositif, c’est que nous avons de plus en plus d’enseignants qui ne parlent pas le français (…), que nous avons de plus en plus d’enseignants sur lesquels l’Education nationale n’a aucun regard », a justifié le président. « Je ne suis pas à l’aise à l’idée d’avoir dans l’école de la République des femmes et des hommes qui peuvent enseigner sans que l’Education nationale ne puisse exercer le moindre contrôle. Et nous n’avons pas non plus le contrôle sur les programmes qu’ils enseignent », a-t-il ajouté.
En résumé, le gouvernement français cesserait de recruter in situ des maghrébins pour enseigner un semblant d’arabe littéraire à des analphabètes de banlieue.
Concrètement, cela se traduira par leur naturalisation éclair afin de pouvoir dire que des « Français enseignent l’arabe à des Français ».
Bref des Français de papiers qui s’ajouteront aux Français de papiers.
C’est ce qu’on appelle une « reconquête républicaine ».
Neuf pays (Algérie, Croatie, Espagne, Italie, Maroc, Portugal, Serbie, Tunisie et Turquie) et « 80.000 élèves » par an, sont actuellement concernés par ces enseignements. Des négociations ont été engagées avec les pays concernés pour mettre fin à ce dispositif, qui sera remplacé, pour les pays avec lesquels le gouvernement trouve un accord, par des Enseignements internationaux en langue étrangère (EILE).
Bref la même chose avec un nom différent.
Il nous faut aussi « des mosquées financées de façon transparentes » et des imams « formés en France » qui « connaissent la langue et les lois de la République » a insisté le président de la République avant d’annoncer que la France allait progressivement cesser d’accueillir les 300 « imams détachés » envoyés chaque année par d’autres pays, comme la Turquie et l’Algérie. Ces religieux forment une petite partie du nombre d’imams en France – souvent bénévoles voire itinérants – officiant dans les 2.500 lieux de culte musulmans. Ce nombre n’est pas précisément connu mais est estimé à environ 1.800 imams.
Nous avons « demandé au Conseil français du culte musulman de formuler des propositions » sur la formation des futurs imams, « d’ici la fin du mois de mars » a indiqué Emmanuel Macron.
D’autres annonces détaillant la stratégie du gouvernement contre la radicalisation sont prévues après les élections municipales des 15 et 22 mars.
Voilà, nous allons financer l’invasion de manière « transparente » car jusqu’à présent, on ne savait pas du tout qui finançait la construction de ses casernes du djihad.
Si l’on ajoute les centaines de milliers de nouveaux mahométans qu’importe Macron annuellement, on peut donc être sûr que ce plan de conquête islamique fera sentir tous ses effets.