Captain Harlock
Démocratie Participative
26 février 2021
Le passeport intérieur camouflé en passeport vaccinal va enfin être imposé aux goyim après la fausse annonce de rétraction du gouvernement il y a quelques semaines.
Il y a une grande différence toutefois : le nom du passeport vaccinal.
Ce sera « pass » au lieu de « passeport » et « sanitaire » au lieu de « vaccinal ».
Europe 1 :
Emmanuel Macron tiendra une réunion avec des membres du gouvernement la semaine prochaine pour préparer la mise en place d’un « pass sanitaire », qui ne sera pas un « passeport vaccinal », en vue de la réouverture des lieux culturels et des restaurants fermés par la pandémie de Covid-19, a-t-il annoncé jeudi.
Au cours d’une conférence de presse à l’issue de la première journée d’une visioconférence entre les 27 dirigeants de l’Union européenne sur l’épidémie de Covid-19, Emmanuel Macron a évoqué la possible instauration d’un « pass sanitaire ».
La mise en œuvre d’un tel instrument « va poser beaucoup de questions techniques, de respect des données individuelles, d’organisation de nos libertés », a expliqué le président, ajoutant : « Il faut [la] préparer dès maintenant techniquement, politiquement, juridiquement. »
Quand ces gens vous parlent de « respect des données individuelles », « d’organisation des libertés » et de « préparer politiquement » quelque chose, c’est que le plan de réduction en esclavage des goyim est déjà finalisé.
Le projet n’a rien à voir avec la vaccination. Le but est de contrôler les mouvements de chaque personne et de pouvoir interdire n’importe qui de déplacement ou d’entrée dans un lieu, privé ou public. La vaccination est le moyen de faire accepter à la population ce procédé.
Très vite, ce système de contrôle va intégrer de nouveaux paramètres comme « l’emprunte carbone » pour supposément faire baisser la température de l’air en 2300, quelque part en Mongolie extérieure. Si le système estime que vous vous déplacez trop, vous serez tout simplement interdit de mouvements. Petit à petit, vous ne pourrez plus aller nulle part sans que le gouvernement ne vous y autorise grâce à l’intelligence artificielle.
Un autre volet du projet consiste à permettre au système de vous autoriser ou non à rencontrer quelqu’un. Le ballon d’essai a été lancé en septembre. Le système a baptisé ce concept du nom de « bulle sociale ».
Tout ça sera intégré dans ce système de passeport intérieur que les juifs vendent actuellement aux goyim par la voix de Macron sous le nom de « pass sanitaire ».
Cela n’a rien d’un scoop.
Au mois de mai dernier, je criais sur tous les toits que l’Union Européenne prépare ce passeport intérieur depuis 2018. Je me rappelle qu’à l’époque, quand j’évoquais ce projet, certains me qualifiaient de semi-dément.
Et nous voilà en février 2021 et la présidence de la République, qui jurait encore récemment n’avoir aucun projet du genre, annonce entre la poire et le fromage que la décision est prise et que sa mise en place n’est plus qu’une question de temps.
Pour hameçonner la plèbe, le gouvernement utilise la carotte des restaurants, bars et concerts. C’est la gratification prévue pour le bétail docile. Les autres seront de facto exclus de cette nouvelle « société ».
C’est une bonne chose que d’être exclu de cette « société ». Seuls des animaux malades peuvent vouloir s’y intégrer.
Quel intérêt peut-il y avoir à sacrifier sa liberté pour aller dans un restaurant une fois par mois ?
En tout cas, les choses sont claires. Les hommes libres seront catalogués comme des parias dans ce système globaliste.