Macron agite la momie de la juive Halimi pour sacraliser l’élimination massive des bébés à naître

La rédaction
Démocratie Participative
09 mars 2023

 

C’est drôle, à chaque fois qu’il est question de tuer des enfants à naître en France, c’est sous la bannière d’une juive que c’est fait.

De là à y voir le fruit d’une guerre d’extermination menée par la race juive contre l’humanité blanche, il n’y a qu’un pas à franchir.

C’est d’autant plus ironique que la juive Bornstein fait passer sa loi sur les retraites à marche forcée et que cette loi ne s’explique que par l’effondrement démographique engendré par la génération la plus enjuivée et individualiste de l’histoire de France, celle des boomers assoiffés de croisières, de thalasso et de soins gratuits.

Ce système est à la fois déterminé à tuer autant d’enfants que possible et à engraisser les vieux aussi longtemps que possible.

Ces deux objectifs affichés se contredisent mutuellement. Soit il y a un système de retraites (et de soins) par répartition et il faut autant d’entrants (naissances) que de sortants (décès), soit il y a une société vaginocentrée où les femmes font mollement un enfant par femme pour s’éclater jusqu’à 40 ans et déclenche par contrecoup un effondrement démographique complet.

Vouloir les deux en même temps pour plaire aux femmes blanches et aux boomers ne peut qu’entraîner la rupture du système social et économique.

Nous en sommes à 30 avortements pour 100 naissances.

Statistique: Ratio d'interruption volontaire de grossesse (IVG) pour cent naissances vivantes en France de 2007 à 2020 | Statista

Les Françaises ont été sémitisées à outrance par les juives, ce qui nous donne ces succubes atroces en guerre contre la maternité.

Sauf qu’une femme qui ne veut pas d’enfants ne sert à rien.

Elles en sont donc venues à haïr génocidairement leur peuple pour lui préférer leurs chattes. La seule chose stable dans la tête d’une Française en 2023 est son accès imprescriptible à l’abattoir aux bébés.

Heureusement, tout vient à point à qui sait attendre. Le formidable système d’assistanat que ces femmes blanches plébiscitent et grâce auquel elles font n’importe quoi avec leur cul depuis un demi siècle disparaîtra avant la fin de la décennie.

Une fois l’endettement exponentiel impossible, plus de retraites, plus de soins gratuits, plus de CAF, un niveau de vie divisé par trois et pour toutes les femmes de plus de 35 ans sans enfants, la mort sociale. Dans un environnement où les enfants redeviendront le seul investissement fiable pour les gens qui souhaitent un soutien social quelconque, aucun homme en âge de fonder un foyer ne voudra d’une névrosée de plus de 35 ans en guerre contre la maternité.

Les jeunes filles commenceront à réévaluer très tôt le sens de leurs priorités et ce ne sera pas d’aller beugler dans la rue avec une pancarte ovarienne.

Ce à quoi s’ajoute l’environnement islamique qui sera autrement plus dense qu’actuellement, précisément à cause du différentiel démographique avec les femmes afro-musulmanes. Là aussi, jouer la pétasse de base ne sera pas socialement valorisé au quotidien dans la France de 2030.

Les femmes vont brutalement retourner à la cuisine sous la pression de l’environnement racial, religieux, social et économique. Avec cette date limite qui se rapproche rapidement, les plus jeunes peuvent encore échapper à la misère noire moyennant une correction rapide de leur comportement/stratégie reproductive. Suivra un long travail de repentance collective que les hommes devront superviser.

Il en faudra des siècles de lessives pour se faire pardonner les millions d’enfants assassinés.

Je propose un schéma de réparations identique à celui mis au point par Israël avec l’Allemagne. Devoir de mémoire, dédommagements financiers, etc..

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