Captain Harlock
Démocratie Participative
20 juillet 2018
Macron est en pleine débâcle. Se croyant fin en recrutant des nègres et des crouilles de banlieue, il fait désormais face aux conséquences de leurs agissements, pourtant prévisibles pour qui a deux sous de jugement.
Ce bougnoule était un bougnoule des plus communs. Il déambulait armé, en toute tranquillité.
Le quotidien rapporte ce 19 juillet l’anecdote suivante : en novembre 2016, alors qu’il assure, déjà, la sécurité du candidat Emmanuel Macron pour le compte d’En Marche!, Alexandre Benalla est victime d’une crevaison en scooter.
Devant des photographes qui lui portent assistance, il déclare qu’il a oublié une arme dans le coffre de son deux-roues. L’un des photographes présents, Fabien Klotchkoff, témoigne : «Benalla m’explique que sa demande d’autorisation de port d’arme est en cours, c’est pour cette raison qu’il dissimule son arme dans la selle du scooter.»
Non seulement Benalla était déguisé en flic mais il était couvert par le vieillard cacochyme Collomb, comme on vient de l’apprendre.
#AffaireBenalla On apprend que #GerardCollomb était au courant dès le 2 mai. Chaque minute qui passe rend plus impérieuse, plus urgente une explication du ministre de l’Intérieur devant l’#AssembléeNationale #AssNat pic.twitter.com/PvJYoIsAOk
— Sébastien Jumel (@sebastienjumel) 20 juillet 2018
Collomb a ensuite fait tout nettoyer, sur ordre de l’Elysée.
Europe 1 :
Trois policiers, dont deux commissaires, ont été suspendus jeudi soir dans le sillage de l’affaire Benalla. Ils sont soupçonnés d’avoir extrait des images des caméras de vidéosurveillance du plan de protection de la Ville de Paris, qui montrent la scène de violence place de la Contrescarpe sous un autre angle que celui jusque là disponible avec la vidéo amateur.
D’après les informations d’Europe 1, il s’agit d’un contrôleur général à la Préfecture de police, un commissaire présent place de la Contrescarpe mais qui n’aurait pas eu la responsabilité d’Alexandre Benalla, ainsi que d’un commandant chargé des relations avec l’Élysée. Ces deux derniers sont soupçonnés d’avoir respectivement copié puis transmis la vidéo à Alexandre Benalla.
Macron ne brille guère par sa fidélité et l’arabe a été jeté sous le train dans l’urgence.
L’Elysée va licencier Alexandre Benalla >> https://t.co/2j9sZamXXs pic.twitter.com/tjxbuGWtJ9
— Les Echos (@LesEchos) 20 juillet 2018
Je ne serais pas étonné que ce bougnoule se mette à bavarder.
La partie intéressante tient dans le fait que Macron a recouru à des bougnoules de banlieue pour tabasser du syndicaliste un 1er mai.
Les gauchistes vont devenir hystériques et totalement paranoïaques.
Ce Benalla a aussi tabassé une gonzesse, ce qui devrait exciter un certain nombre de féministes.
1er mai, à la place de la Contrescarpe. Dommage qu’on ne parle pas aussi de cette jeune femme qui s’est fait violenter, elle aussi, par Alexandre Benalla avant que ce dernier s’en prenne à son ami. #AffaireBenalla #MyFirstTweet pic.twitter.com/IZpon8MnkD
— Sonia B-C (@scarletpolyglot) 19 juillet 2018
Bref, le fait que Collomb et Macron aient couvert un truc de ce genre permet à la plèbe de voir ces gens pour ce qu’ils sont et avec qui ils fricotent.
Pour ne rien gâcher, les flics vont sérieusement rager de se voir traînés dans la merde alors qu’ils ont tenté, après coup, d’arranger les bidons de cette buse de Macron.
Je suis d’avis d’exiger la tête de Collomb. C’est une cause commune possible avec l’extrême-gauche.
Ce vieux maçon socialiste doit expier pour les persécutions dont il se rend coupable contre la résistance autochtone.