Captain Harlock
Démocratie Participative
15 mars 2021
Nous sommes lundi et le soleil se lève une nouvelle fois sur la France. L’occasion ici de commencer cette semaine en poésie.
Samedi dernier à Mably, dans la région lyonnaise, un fier sénégalais réaffirmait son droit de propriété sur une Française en l’égorgeant dans son lit après avoir découvert que la garce avait opté pour son « meilleur ami », un autre wolof, peul ou malinké probablement plus entreprenant que l’amoureux éconduit.
Et en islam, l’amour est certes chose sérieuse.
Nous avons désormais le nom de cette Française si représentative de cette nouvelle strate raciale que l’on appelle les narbonoïdes. La princesse de Narbonne s’appelle justement Aurélie Amar, patronyme fleurant bon l’Algérie.
Le phénotype nous rappelle que nombreux sont les algériens qui ont pour ancêtres des nègres.
PSG crépu
La robe du bled qui va bien
La mère d’Aurélie est une Française de souche qui avait déjà montré une appétence pour le Grand Sud en se foutant à la colle avec un blédard. La dynastie fondée, le processus se poursuivit, toujours plus méridional, en se fixant sur le Sénégal.
Le processus a toutefois été stoppé net.
« C’est en ouvrant la porte de la chambre que les policiers ont découvert la jeune femme sur le lit, étendue sur le dos et manifestement tuée de plusieurs coups de couteau au cou et à la carotide », a indiqué au Figaro Abdelkrim Grini, le procureur de la République de Roanne. Deux couteaux tachés de sang ont par ailleurs été retrouvés à proximité du lit où gisait la victime. « L’une de ces armes avait la lame cassée en deux, ce qui laisse imaginer la violence des coups portés à la victime », a souligné le magistrat. Et d’ajouter que « l’intention de tuer ne fait aucun doute ».
D’après les premières investigations, le crime aurait été commis entre 2h30 et 5 heures du matin. « Des voisins ont expliqué avoir entendu des cris qui pourraient s’apparenter à une dispute de couple », a expliqué le procureur de Roanne. Dans l’appartement de la victime, aucune trace de lutte n’a par ailleurs été relevée. « Tout laisse à croire que le crime s’est déroulé sur le lit de la victime. »
Selon la mère de la disparue, sa fille de 32 ans entretenait une liaison avec le suspect depuis sept mois environ mais tous deux étaient séparés depuis deux mois. La jeune femme, originaire de la région Roannaise, était venue en aide à cet individu qui vivotait depuis son arrivée en France il y a peu de temps. Le procureur a précisé de son côté qu’il n’y avait pas d’antécédents de dispute ou de main courante déposée par la victime à l’encontre de son meurtrier présumé.
Lors de sa première audition en garde à vue ce samedi après-midi, le suspect a affirmé qu’il s’agissait d’un tragique accident et qu’il n’avait jamais eu l’intention de tuer son ex-conjointe, la considérant d’ailleurs comme sa femme. « Il explique avoir profité de l’absence de la victime pendant quelques minutes pour fouiller dans son téléphone portable. Il aurait alors découvert que cette dernière entretenait une relation avec son meilleur ami, ce qui l’a mis dans une colère noire et conduisant au drame que l’on connait », a indiqué M. Grini. « Au regard des premiers éléments de l’enquête et notamment le nombre de coups portés à la jeune femme, c’est une thèse qu’il est bien difficile de croire », a précisé le magistrat.
Qui sait ?
Toujours est-il qu’Aurélie Amar est morte de sa passion, dans son lit avec un gros nègre cannibale.
Les mystères de la Narbonnaise.