Captain Harlock
Démocratie Participative
25 février 2021
Les portes de l’Enfer sont ouvertes et elles crachent leurs légions de démons.
Stella a changé de prénom très récemment à Amplepuis, au nord-ouest de Lyon. Elle est une petite fille transgenre de 8 ans. Depuis toute petite, elle ne se reconnaît pas dans le corps dans lequel elle a été assignée à la naissance : celui d’un garçon. Les pédopsychiatres appellent cela la « dysphorie de genre ». Alors, en novembre 2020, ses parents et elle ont obtenu son changement de prénom auprès de l’officier de l’état civil. Depuis, Stella a enfin le sentiment de pouvoir s’épanouir et grandir comme une petite fille.
Nous sombrons dans la barbarie pure et simple.
Nous avons affaire à des pédophiles. Sexualiser des gosses de 8 ans relève de la pédophilie et la mère de cette petite victime est sans aucun doute possible impliquée dans des activités à caractère pédo-criminelles.
Je ne pense pas qu’une société arrivée à ce point d’avilissement mérite d’être sauvée. Elle mérite plutôt d’être intégralement anéantie avec tous les sous-hommes qu’elle contient.
Tout d’abord, rien de tout cela ne serait possible sans ces journalistes qui donnent à des femmes psychotiques la tribune qu’elles recherchent désespérément pour donner libre cours à leurs pulsions destructrices.
Dans 100% des cas, les journalistes qui le font sont des homosexuels qui salivent à l’idée de recruter un jeune éphèbe dans la secte des sodomites.
Si je parle souvent du fléau juif ici, il ne faut jamais oublier que les homosexuels constituent leurs associés les plus fidèles dans le mal et la corruption. Pour chaque juif, vous avez dix homosexuels damnés pour l’éternité qui travaillent à la perte du monde.
Ils sont partout et vous ne les reconnaissez pas, contrairement aux juifs.
Ce journal est certainement sous influence juive mais il est au moins autant sous l’influence des sodomites infernaux.
En filmant ce pauvre gosse, le journal « Le Progrès » l’a définitivement détruit – intentionnellement.
N’importe quel homme sait qu’il n’y a rien de pire, quand on est un petit garçon, que d’être assimilé à une fille. C’est pire qu’une malédiction. C’est la fin de tout espoir de pouvoir exister dans un groupe. Les garçons s’affrontent naturellement pour s’élever socialement et ce, dès la cour de récréation. Être assimilé à une fille, c’est renvoyer l’image de la faiblesse. Aucun gamine ne veut être associé à la faiblesse.
C’est le début de la marginalisation.
En le mettant en scène ainsi, les plumitifs sodomites du « Progrès » ont voulu refermer définitivement la porte derrière ce gamin. C’est-à-dire, en pratique, le condamner à la mort spirituelle pour pouvoir le sodomiser par procuration puis le condamner à la mort tout court.
Quant à la garce démoniaque qui sert de mère à ce pauvre garçon, c’est une des femmes les plus maléfiques que j’aie jamais vue. Elle jubile devant le spectacle de la destruction psychologique de son gosse. Le tout devant les caméras. Peu de femmes sont capables de donner à leur narcissisme une forme aussi radicale de cruauté exhibitionniste.
Ce gamin n’a probablement jamais douté de quoi que ce soit. Il s’est fait laver le cerveau par ces cinglés de parents qui auraient été internés il y a encore 30 ans.
Qu’est-ce qui pourrait mal tourné à 11 ans ?
La différence, c’est qu’aujourd’hui le système judéo-LGBT a besoin d’anéantir la famille blanche par tous les moyens. Promouvoir des malades mentaux est devenu la règle et le lobby des fiottes s’assure que ce soit appliqué dans le dernier département français.
Vous aurez aussi forcément noté une chose : ce genre d’expérimentation ne cible que les enfants blancs.
Tenter cette expérimentation avec des musulmans entraînerait une riposte immédiate.
Ce gosse est déjà un cadavre ambulant. Une fois le cerveau lavé par le LGBTisme transexuel, il a plus d’une chance sur deux, statistiquement, de se suicider.
La question, c’est quel gosse sera la prochaine cible des sodomites de la presse juive ?
*Merci à Rastadolf