Lyon : Une pute à nègres féministe veut détruire un bar à rhum « colonialiste », mobilisation !

Heinrich
Démocratie Participative
15 septembre 2017

 

Je suis encore en état de choc. Cette affaire m’a parue encore plus abjecte que ce que l’on m’en avait dit de prime abord. Une véritable tentative de détruire les vies de deux jeunes entrepreneurs de Lyon par la vaginocratie négrophile.

Une ignoble gauchiste en charge de commettre des « revues » de bars de la capitale des Gaules a décidé de détruire médiatiquement un bar à rhum qu’elle a identifié comme nostalgique de la colonisation.

Le Petit Bulletin :

Elle avait pourtant bien commencé, cette histoire. Lui et moi, on était fait pour s’entendre, c’était couru d’avance. Je rentrais de vacances, la tête dans les nuages, il était là, frais et dispo, prêt à me faire atterrir et revenir à la réalité en douceur.

Dès l’entrée, il m’avait séduite à coup de déco brute esprit récup’, de cocktails détonnants – le LPP Swizzle et The Epicurian sont idéaux pour contrer la canicule ou récupérer d’un jet lag –, et de mixtures improbables – la liqueur Falernum réalisée à partir de clous de girofles et de café, entre autres, est exquise.

Puis il a commencé à tenir des propos douteux.

« Mon nom, La Première Plantation, est une référence aux plantations de canne à sucre (le rhum en est issu) dans les colonies françaises. Je cherche à retranscrire l’esprit colonial, un esprit à la cool, une époque où l’on savait recevoir. »

Je suis restée interdite,  j’ai cru qu’il avait ajouté de la drogue dans l’un des cocktails, j’ai repris mes esprits et j’ai creusé. Peut-être avais-je mal entendu, finalement. Peut-être avait-il prononcé « l’esprit commercial » et que la chute de la pression atmosphérique dans l’avion avait eu raison de mon ouïe. Non. Il a persévéré. « C’était cool, la colonisation ? » me suis-je indignée. « Dans l’esprit, oui, carrément, ça représente une période sympathique, il y avait du travail à cette époque accueillante. » Je me suis offusquée : « et la partie esclaves, là-dedans ? ».« Ah, on a mis quelques photos dans les toilettes. » m’a-t-il rétorqué.

Des gouttes ont commencé à couler le long de mon visage – ce n’était pas la canicule mais un mélange de colère et de stupeur. J’ai quand même vérifié s’il n’y avait pas de caméra cachée – mon rédac chef est taquin –, il n’y en avait pas, j’ai payé, je suis allée me changer les idées à grand renfort de pintes et d’amis sur les quais, et je suis rentrée, la gorge nouée. Cette histoire qui avait si bien commencé avec des cocktails savoureux s’est mal terminée.

Tout d’abord, ce bar est un excellent bar.

Immédiatement, la meute s’est déchaînée contre l’établissement qui a ouvert en août. Les tenanciers ont tenté de désamorcer la haine de la vermine gauchiste, ce qui n’a bien sûr fait qu’accroître davantage l’agressivité de ces chiens.

L’auteur de l’article original s’appelle Julie Hainault, rebaptisée ici Julie la Hyène. En fait, c’est une grosse pute à nègre. Elle a été au lycée à Dakar, au Sénégal et une autre fiche indique « 6 ans à Kinshasa, République démocratique du Congo » et « 8 ans à Dakar, Sénégal ».

Inutile de vous dire ce que cela implique.

Son Instagram est inondé d’images de cafres.

« Gorée ».

Mieux :

Cette grosse pute vit du commentaire de la vie des autres. La plus parfaite incarnation de lq touriste babos éternelle.

Nous, citoyens participatifs, savons que le pouvoir de cette vermine ne repose que sur la terreur et l’intimidation, c’est-à-dire sur un énorme bluff qui consiste à convaincre leurs ennemis de leur dangerosité.

Est-ce que cette putain peut seulement effrayer quiconque ?

« J’ai genre surkiffé, tu vois. »

Si ce bar n’avait même pas réagi, il ne se serait tout simplement rien passé parce que cette grosse bourge de gauche névrosée n’a aucune prise sur lui.

Ce genre de femelles négrophiles croient pouvoir intimider l’homme blanc indéfiniment sans qu’une réaction ne survienne.

Le moment est venu pour cette traînée de goûter à sa propre médecine. La SA numérique doit se mettre en mouvement et faire comprendre à cette hyène puante que ce petit jeu est terminé.

Inondez son fil Twitter et sa boîte email de mèmes révolutionnaires :

@julie_hainaut

[email protected]

Il va sans dire qu’il n’y a ici, de notre part, aucun appel à la violence.

En fait, c’est un appel à la raison et à l’apaisement, à l’arrêt immédiat de la terreur par cette putain à nègre hystérique.

Un message de paix, en somme.