Captain Harlock
Démocratie Participative
08 juin 2019
La ville fasciste doit être blanche, immaculée, sans souillure
Je me réjouis de la mort de ce terroriste.
La victime s’est retrouvée coincée sous un énorme bloc de béton. Un pan du mur antibruit du périphérique est tombé dans la nuit de jeudi à vendredi à Bron, près de Lyon, sur deux tagueurs, causant la mort de l’un d’eux et blessant grièvement l’autre. Un troisième homme, présent à leurs côtés au moment de l’accident, s’en est sorti indemne, indique ce vendredi la police.
L’effondrement, survenu rue des Essarts, s’est produit alors que l’un des trois jeunes venait de se hisser puis de s’asseoir au sommet du mur. Un bloc d’une tonne de béton s’est soudainement descellé. L’homme, coincé sous le pan de mur, était déjà mort lorsque les secours sont parvenus à le dégager à l’aide d’un engin de levage.
Son ami a été touché au niveau de la jambe, ajoute la police lyonnaise. Ce dernier a été pris en charge à l’hôpital Edouard Herriot. Le parquet de Lyon a demandé une autopsie.
C’est la main d’Apollon qui a guidé ce bloc de béton pour écraser ces deux blattes.
Il y a beaucoup de choses pour lesquelles j’appellerais volontiers à la clémence et à la magnanimité.
Le tagage des villes d’Europe n’en fait pas partie.
C’est probablement la marque la plus visible de déchéance culturelle après la présence extra-européenne elle-même.
Je dois dire que le périphérique parisien est une des vues les plus laides et les plus repoussantes qu’il m’ait été donné de voir.
Le tag contemporain est un pur produit du ghetto nègre américain.
On peut évaluer la négro-sémitisation d’une ville occidentale à la densité du nombre de déjections visuelles de ce type qui s’étalent sur ses murs.
Et non, ce n’est pas de l’art
Au reste, un tag est d’abord et avant tout le moyen pour un sous-homme de marquer un territoire. Là où un gauchiste blanc voit une « performance artistique », les allogènes y voient le moyen de dire en toutes lettres que le territoire concerné leur appartient.
Comme les chiens.
Ou les rappeurs nègres qui exhibent leurs putes blanches.
Grâce au socialisme mitterrandien et au juif Jack Lang, ce sous-production négroïde est devenue un élément central de la culture officielle du régime en France.
Des sommes énormes sont alloués par les municipalités à une flopée de tagueurs pour qu’ils promouvant l’idéologie dominante.
C’est-à-dire l’idéologie antiblanche.
Ceci dit, je serais malhonnête si je disais que les nègres ou les maghrébins sont les seuls à souiller nos villes de ces saloperies.
Un nombre important de Blancs destructurés, généralement camés, adorent se livrer à ce type d’activisme antisocial.
Déféquer spectaculairement sur les biens d’utilité commune est une façon de refuser de s’intégrer socialement en faisant brutalement irruption dans le champ visuel de ceux qui sont intégrés dans l’ordre social.
Et de faire de cette désocialisation un style. Ce n’est pas une surprise de retrouver la gauche dégénérative faire de l’esthétisation du nihilisme et de l’anarchie une forme d’art factice.
Aujourd’hui, dans cette anti-société sémitisée, tout ce qui exprime une forme de désocialisation est promu par le système.
Evidemment, au plan purement technique, ceux qui sont mis en avant sont ceux qui parviennent à montrer une certain maîtrise de la couleur voire du trait. Mais pour une réalisation pouvant faire illusion auprès d’une masse zombifiée, 10,000 autres tags informes maculent les ponts, les échangeurs autoroutiers, votre maison.
Imagine-t-on consentir à exposer 10,000 horreurs graphiques dans un musée pour avoir le droit d’admirer un Vermeer ?
Seule une cervelle rongée par l’hébraïsme peut concevoir les choses de la sorte.
Une seule sorte de tags peut avoir de l’intérêt.
Curieusement, ce sont les seuls que ce même système ne tolère pas.
Un état digne de ce nom doit rééduquer avec dureté les éléments antisociaux qui se livrent à de telles attaques contre la paix spirituelle du peuple. Ce qui ne peut passer que par l’internement et le travail manuel lourd sur une longue durée.
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