Capitaine Harlock
Démocratie Participative
22 février 2018
L’agresseur à la chambre à gaz a été mis en fuite avant qu’il ait eu le temps de refermer la porte.
C’est une agression d’une lâcheté inouïe qui s’est produite à Bron (Rhône), une commune de l’agglomération de Lyon. Un bébé âgé de 14 mois a été brûlé au white-spirit par un agresseur non identifié. La victime, elle, est la fille d’un rabbin. C’est le journal Le Parisien qui révèle l’information, et selon les premiers éléments de l’enquête, il est encore difficile d’affirmer avec certitude que la motivation de l’acte soit antisémite.
Les faits débutent dans la nuit du dimanche 18 au lundi 19. Un individu se rend dans l’immeuble où réside la grand-mère de l’enfant qui gardait ce jour-là la petite avec elle. L’agresseur asperge alors la poussette, restée dans le hall, de dissolvant et la lacère.
Au matin, la malheureuse grand-mère, qui n’a rien entendu de l’attaque de la nuit, dépose la fillette dans son landau, sans réaliser que celui-ci est maculé de produit corrosif.
Partant promener la petite, la grand-mère ne réalisera qu’une heure et demie plus tard que la malheureuse fillette est brûlée au niveau du dos par le white-spirit. Une plainte a été déposée au commissariat par le père, un rabbin âgé de 35 ans. Toujours selon Le Parisien, l’homme aurait prétendu avoir des soupçons sur un voisin qui chercherait à lui nuire pour une raison qui n’a pas été dévoilée.
En l’état actuel de l’enquête, les policiers de Bron n’excluent aucune piste. Si l’acte antisémite cruel est évidemment dans les esprits, l’agression gratuite sans motif apparent, la querelle de voisinage ou une simple dégradation de la part d’un inconscient restent des hypothèses possibles.
La fameuse agression d’un bébé sans bébé, dans une poussette vide. Au white spirit, ce fameux « produit corrosif » que le dernier peintre utilise pour se laver les mains.
On ne compte plus les actes de barbarie commis contre des Blancs en France, du viol collectif au meurtre en passant par les assassinats de masse, mais qu’un de ces rabbins retrouve du white spirit sur une poussette et la totalité de l’arsenal médiatique se déchaîne.
C’est la démonstration par l’absurde que cette république est une tyrannie juive. La vie du juif y est d’une valeur officiellement supérieure à celle du bétail goy. La moindre anecdote est exploitée à outrance par cette juiverie qui s’exhibe avec une obscénité caractéristique.
Le juif hurle de douleur au moment où il frappe. Plus il étreint sa victime, plus il se répand en gémissements.
L’intérêt de ces histoires montées en épingle par la presse juive, c’est que chacun peut comprendre que le cinéma de Nuremberg relève de la même escroquerie sémitique, mais à l’échelle interstellaire.