Lyon 3 : insurrection antijuive contre la venue de Yaël Braun-Pivet

La Rédaction
Démocratie Participative
08 novembre 2024

 

Bonne nouvelle à l’université Lyon 3 où une violente émeute antijuive a éclaté après l’annonce de la venue de Yaël Braun-Pivet, président de la Knesset délocalisée en France occupée.

La présence de cette partisane de l’extermination de la population palestinienne a légitimement fait exploser de colère les étudiants.

« Mort aux juifs ! Palestine libre ! » a-t-on entendu dans la foule révoltée.

Les juifs, décidément, jouent de malchance.

Jadis, Lyon 3 était la seule université où l’on trouvait des professeurs blancs et professionnels. Ceux-ci, ciblés comme défenseurs de la culture aryenne, furent sauvagement purgés par la juiverie à la fin des années 90 afin de faire de Lyon 3 un bastion antiblanc.

C’est si connu que même Wikipédia en donne le détail :

L’Université Jean-Moulin-Lyon-III est fondée en 1973 à la suite d’une scission avec l’Université Lyon-II ; la scission est largement définie par les affinités politiques des enseignants-chercheurs, ceux appartenant à la droite radicale rejoignant Lyon-III2. Plusieurs doyens de la nouvelle université, notamment André Decocq et Jacques Goudet, sont originaires de l’UNI.

Dans les décennies suivant la fondation de l’université, la présence d’enseignants d’extrême-droite au sein de l’université, ainsi Bruno Gollnisch ou Pierre Vial, est très critiquée, notamment par les associations étudiantes comme l’association Hippocampe et l’UEJF ; l’Institut d’études indo-européennes est particulièrement attaqué par les associations. L’université accueille également Jean Varenne, cofondateur du GRECE, et Bernard Lugan, historien africaniste d’extrême-droite.

Plusieurs affaires en particulier attirent l’attention de l’opinion publique sur l’université. En 1985, Henri Roques, militant d’extrême-droite proche du négationniste Robert Faurisson, soutient à l’Université de Nantes sa thèse dédiée au témoignage du SS Kurt Gerstein, dans laquelle il nie l’existence des chambres à gaz ; son jury de thèse est présidé par Jean-Paul Allard, militant du groupe intellectuel de l’extrême droite GRECE et enseignant à Lyon-III. La thèse est invalidée en 1986. En 1990, Bernard Notin, maître de conférences en économie à Lyon-III, publie un article raciste et antisémite dans la revue Économies et sociétés ; il sera interdit d’enseignement pendant un an. La même année, Jean Plantin soutient à l’université un mémoire dédié à Paul Rassinnier, un des fondateurs du négationnisme en France, sous la direction de Régis Ladous, suivi en 1991 d’un mémoire de DEA niant les assassinats commis par les nazis dans les camps de concentration, sous la direction de Yves Lequin ; l’attention médiatique est attirée sur ces deux mémoires en 1999, aboutissant à la démission des deux encadrants et à l’annulation de ses titres disciplinaires en 2001.

Si les critiques se focalisent sur l’université Lyon-III, ces différentes affaires se déroulent dans un contexte global de développement de l’antisémitisme et du négationnisme dans les universités françaises ; ainsi à l’université Lyon-II où officie le négationniste Robert Faurisson, ou à l’Université de Nantes où Henri Roques a soutenu sa thèse.

Peu après l’affaire Plantin, le 15 novembre 2001, Jack Lang, ministre de l’éducation nationale dans le gouvernement Jospin, annonce la création d’une commission pour « faire la lumière sur le racisme et le négationnisme qui ont pu trouver leur expression au sein de l’université Lyon-III » ; le travail de la commission commence le 11 février 2002.

Le pédophile juif Jack Lang, valeur sûre de la gauche socialiste

La présidence de la commission est confiée – après plusieurs refus – à l’historien Henry Rousso, inventeur du terme « négationnisme » dans La France de Vichy en 198717. Rousso s’entoure d’une équipe de spécialistes : Annette Becker, Philippe Burrin et Florent Brayard. De plus, Pierre-André Taguieff et Daniel Filâtre en ont fait partie à l’origine.

Accessoirement, Rousso est un juif d’Égypte.

Mal accueillie par le président de l’université, la commission rend ses travaux le 5 octobre 2004. Le « rapport Rousso » revient notamment sur les affaires Roques, Notin et Plantin, mais se refuse à qualifier l’université Lyon-III d’université intrinsèquement et structurellement « facho », pointant d’une part la minorité des enseignants d’extrême-droite, d’autre part le travail mené par les associations étudiantes et les enseignants contre le racisme et l’antisémitisme.

Derrière cette cabale, le maire de Lyon de l’époque, le juif Michel Noir.

Au même moment les Klarsfeld avaient organisé un numéro de persécution judiciaire effrayant contre Klaus Barbie, héros de la résistance antijuive à Lyon.

Les « associations étudiantes » qui ciblaient Lyon 3 se résumaient à l’UEJF, bras armé de la juiverie dans les universités françaises et désormais partisane du génocide en Palestine.

Aujourd’hui, tout le monde sait de quoi il retourne à propos de cette vermine.

Dans le même temps, le rapport pointe la tolérance des équipes dirigeantes aux idées d’extrême-droite, la faiblesse des sanctions prises à l’encontre des enseignants négationnistes (à Lyon-II comme à Lyon-III) et la complaisance de l’établissement pour des travaux universitaires de faible qualité, ainsi des travaux de Roques ou Plantin.

Dans la conclusion du rapport, la commission plaide pour la mise en place à l’université « de mécanismes d’alerte, de réflexion et d’éventuelle résolution des problèmes, en essayant de les circonscrire dans un premier temps au sein de l’université, et en évitant les effets de scandale ou la pression extérieure ».

Les associations et syndicats étudiants Hippocampe, UNEF et UEJF se félicitent de la publication du rapport mais y regrettent l’absence de « solution politique crédible ».

Lors d’une conférence de presse donnée à la suite de la publication du rapport, Bruno Gollnisch, enseignant de l’université, ancien membre de l’institut d’études indo-européennes et cadre du Front national, qualifie la commission de « police de la pensée », met en cause la neutralité de Rousso en évoquant sa judéité, et relativise le nombre de morts causés par la Shoah. Dans plusieurs interviews données dans les médias dans les jours suivant cette conférence de presse, il remet en cause le rôle des chambres à gaz dans l’extermination des Juifs. En octobre 2004, il est suspendu pendant trente jours pour ses propos par l’Université de Lyon-III, qui applique en cela les préconisations du rapport Rousso ; en février 2005, il est suspendu de ses fonctions d’enseignant par arrêté du ministère de l’enseignement supérieur, décision confirmée en 2006 par le CNESER puis en 2008 par le Conseil d’État. Réintégré à l’université en 2011, il prend sa retraite l’année suivante.

À présent, les choses vont mieux.

Les juifs paient par là où ils ont péché.

Totalement grand-remplacée, l’université est un bastion du Hamas.

Les derniers tocards enjuivés de l’UNI gémissent comme des femmes tandis que les partisans d’Adolf Hitler applaudissent chaudement ce retournement spectaculaire de l’histoire.

Il arrive que le diable porte Pierre, comme dit le dicton.

Sur la question de la lutte contre les juifs, il faut être résolument flexible et pragmatique.

Peu importe l’identité de celui qui met le juif dans le train tant que le train part à l’heure !

Le juif Jakubowicz est éploré.

Il n’y a pas si longtemps, il fêtait la purge des nationalistes dans les mêmes lieux. Lui et ses congénères l’assuraient : la bataille contre l’homme blanc était gagnée, les juifs allaient régner pour mille ans.

Mais le fait est là, la « victoire » s’est évaporée : les trains arrivent en gare, n’en déplaisent aux serviteurs zélés des youtres.

La chute des juifs approche désormais à grands pas.

Nous vivons une grande époque, l’époque de la défaite finale des juifs à l’échelle planétaire.

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