Leutnant
Démocratie Participative
28 Juillet 2020
On ne connaît pas l’origine des protagonistes, sûrement des Estoniens.
Actu17 :
Une trentaine de bacheliers s’étaient réunis dans une résidence privée pour fêter leur diplôme. La soirée a viré au cauchemar.
L’information qu’une fête était organisée dans une maison de l’Ouest lyonnais a fuité sur les réseaux sociaux, et le rendez-vous qui se voulait festif a totalement dégénéré, samedi soir. 150 squatteurs ont fait irruption au beau milieu de la soirée réunissant une trentaine de jeunes qui fêtaient leur baccalauréat, rapporte Le Progrès.
La petite fête avait pourtant débuté dans une bonne ambiance, mais les nouveaux bacheliers n’avaient pas repéré cet intrus, un « squatteur de soirée », appartenant à un réseau bien organisé. Le jeune homme était présent pour notamment vérifier l’absence de parents sur place, l’adresse précise du rendez-vous et le profil des fêtards.
Lorsqu’il a recueilli les renseignements indispensables à la prochaine étape, le jeune homme a transmis l’adresse et une photo du lieu sur les réseaux sociaux. Rapidement, 150 intrus ont débarqué.
S’en est suivi un pillage en règle de l’habitation, mais aussi des vols commis sur les jeunes bacheliers. Les intrus se sont emparés de bijoux, d’un ordinateur et d’autres objets de valeur présents dans la maison. Ils se sont également attaqués aux invités, fouillant leurs sacs et faisant main basse sur leurs smartphones et leur argent. Le cauchemar a pris fin lorsque les gendarmes ont été alertés par un voisin.
Dans le temps l’armée française devait intervenir en Afrique du Nord pour faire cesser les attaques de Barbaresques. Maintenant c’est à Lyon.
Les militaires de Tassin, Dardilly et Limonest sont intervenus en nombre, avec le renfort des Pelotons de surveillance et d’intervention (PSIG) de Lyon et Dardilly. Leur arrivée a interrompu le pillage et le saccage de l’habitation, ainsi que les vols. Les convives n’ont pas été victimes de violences physiques, mais le choc a été rude pour eux et leurs parents. Certains en sont sortis traumatisés.
Informé de cet événement, le président du conseil syndical du lotissement a voulu alerter les riverains. Dès ce mardi, ils recevront une lettre d’information sur cette nuit de cauchemar pour éviter que cela ne se reproduise.
Une lettre d’information devrait régler le problème dans cette ville tombée aux mains des écologistes.