Sigmar Polaris
Démocratie Participative
07 Avril 2020
En raison de la crise économique en Europe, l’Union Européenne a décidé de prendre les devants pour apporter sa ration de protéines quotidienne à la population.
L’industrie de l’élevage d’insectes attend de l’Autorité Européenne de Sécurité des Aliments de l’UE qu’elle approuve d’ici quelques semaines la consommation des vers de farine, des petits vers de farine, des criquets, des grillons et des sauterelles l’homme.
Cette décision devrait conduire à l’autorisation définitive de leur vente dans toute l’UE en tant que « nouvel aliment » dès l’automne, ce qui ouvrira des possibilités de production en masse d’une série de plats à base d’insectes qui seront vendus pour la première fois dans toute l’Europe.
« Ces plats ont de bonnes chances de recevoir le feu vert dans les prochaines semaines », a déclaré Christophe Derrien, secrétaire général de l’organisation industrielle Plateforme internationale des insectes pour l’alimentation humaine et animale.
« Nous pensons que ces autorisations constitueront une percée pour le secteur et nous les attendons donc avec impatience. Ils prennent le temps nécessaire, ils sont très exigeants en matière d’information, ce qui n’est pas mauvais. Mais nous pensons qu’une fois que nous aurons le premier nouvel aliment ayant reçu le feu vert de l’EFSA, cela aura un effet boule de neige ».
Aux yeux des principaux acteurs de l’industrie des insectes en tant que denrées alimentaires, le potentiel de leurs délices riches en protéines a été freiné par l’absence d’approbation à l’échelle de l’UE.
Le Royaume-Uni, les Pays-Bas, la Belgique, le Danemark et la Finlande ont adopté une approche permissive à l’égard d’une loi européenne de 1997 qui exige que les aliments qui ne sont pas consommés avant cette année-là obtiennent une autorisation pour les nouveaux aliments.
Ces autorités nationales ont décidé que la législation européenne ne s’appliquait pas aux animaux utilisés pour l’alimentation. En conséquence, on trouve une multitude de produits à base d’insectes dans les supermarchés britanniques, néerlandais, belges et finlandais. Environ 500 tonnes d’aliments à base d’insectes destinés à la consommation humaine sont produites chaque année.
Mais ces produits sont interdits en France, en Italie et en Espagne, entre autres pays. En 2018, une nouvelle législation européenne a cherché à apporter une certaine clarté. Elle stipule que les plats à base d’insectes doivent également faire l’objet d’une autorisation pour les nouveaux aliments.
Une période de transition a été instaurée pour permettre aux entreprises qui produisent déjà des aliments à base d’insectes de poursuivre leurs activités jusqu’à ce qu’elles aient reçu un jugement sur la sécurité des espèces avec lesquelles elles travaillent et l’approbation finale des institutions de l’UE.
En effet, des entreprises telles que Protifarm aux Pays-Bas, Micronutris en France, Essento en Suisse et Entogourmet en Espagne se prépareraient à intensifier leurs activités.
« Beaucoup de nos membres construisent des usines plus grandes, car la clé du succès est de faire passer vos entreprises à une échelle supérieure et de produire en masse. Et c’est déjà le cas », a déclaré M. Derrien. « Nous nous attendons à ce que les prochaines années soient très intéressantes et, évidemment, les autorisations pour les nouveaux aliments nous aideront certainement ».
Il a ajouté : « Le type d’aliments va des insectes entiers en apéritif ou en collation aux insectes transformés en barres ou en pâtes ou aux hamburgers faits d’insectes. Nous pensons que les insectes destinés à l’alimentation sont une solution à certains des plus grands défis auxquels nous sommes confrontés sur la planète. Dans le contexte de ressources limitées, et la production d’insectes n’est pas trop exigeante, vous avez la capacité de produire des protéines de haute qualité. C’est une solution très prometteuse ».
Vous allez manger des insectes, que ça vous plaise ou non.
Ce n’est pas un problème d’être pauvre, affamé et surveillé par un état policier aux mains des juifs, il suffit que vous soyez convaincu que c’est pour le bien.
Le plus important est de vous défaire de vos habitudes passéistes à propos de la nourriture.
La presse de l’oligarchie juive est convaincue, comme BFM Drahi.
Les oligarques ne songent pas une seule minute à en consommer. C’est le privilège du prolétariat dans l’Europe de demain.
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