L’Union Européenne organise une simulation de cyberattaque contre les chaînes d’approvisionnement

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 janvier 2022

La narration covidiste est en train de s’effondrer sur elle-même sous l’effet du rhume omicron. La fuite en avant des gouvernements contre les non-vaccinés percute de plein fouet la réalité de ce variant inoffensif.

Le système en est parfaitement conscient et prépare ce qui ressemble à des plans alternatifs pour poursuivre les mêmes objectifs.

Bloomberg :

Les gouvernements de l’Union européenne commencent à participer cette semaine à une simulation à grande échelle d’une cyberattaque touchant plusieurs États membres.

L’exercice, d’une durée de six semaines, prévoit des attaques simulées sur les chaînes d’approvisionnement et des retombées socio-économiques dans d’autres pays. Au cours de la dernière phase des exercices, les participants devront coordonner les communications publiques et la réponse diplomatique à la cyberintrusion, selon des personnes au fait du dossier et des documents consultés par Bloomberg.

L’objectif est de tester l’état de préparation de l’Europe en cas de crise et d’améliorer la coopération entre les États membres, ainsi que l’efficacité de toute réponse commune.

Une « réponse diplomatique » suppose qu’une telle cyberattaque soit imputée à un état étranger.

De toute évidence, la Russie serait accusée.

On ne peut pas dire que ces gens soient très créatifs.

La simulation sera structurée autour d’une escalade progressive vers une attaque majeure. Elle s’inspirera d’incidents qui ont eu lieu, comme le piratage de SolarWinds, ou qui pourraient se produire de manière réaliste à l’avenir.

Tout cela intervient dans un contexte d’inquiétude quant au fait que la Russie pourrait coupler toute action agressive à l’égard de l’Ukraine avec des cyberattaques dirigées contre l’Occident.

Bien que l’UE dispose de divers outils pour sanctionner les cyberattaques, elle n’a pas encore de cadre pour coordonner efficacement une réponse commune à une crise majeure, selon l’un des documents consultés par Bloomberg.

C’est totalement fortuit si quelques semaines avant la pandémie de janvier 2020 le Pentagone avait organisé une simulation de pandémie globale.

L’Event 201.

Le Forum Economique Mondial de Davos s’en vantait sur sa chaîne YouTube. Davos est la seule organisation qui peut diffuser des théories complotistes sur YouTube sans être censuré.

Je le hurle sur tous les toits : le système occidental est ruiné. Le marché mondial des dettes souveraines peut imploser à tout instant, tout particulièrement le marché européen avec sa monnaie mal montée. Le système ne va pas attendre que cela se produise pour réagir.

L’effondrement du niveau de vie est inévitable. Pour éviter que les paysans ne se massent au pied de leurs châteaux, les oligarques et les politiciens doivent trouver une raison plausible de rationner à grande échelle la plèbe.

Le Covid19 a servi à mettre en place le système de contrôle des populations, le mythe du réchauffement climatique d’origine humaine permet de justifier la collectivisation du logement et des transports. Mais il reste la question immédiate du défaut des états-providence occidentaux. Placer les gens en quasi état de guerre avec le rationnement qui l’accompagne est le meilleur moyen de justifier le contrôle autoritaire complet des sociétés pour qu’elles ne se révoltent pas contre leurs dirigeants.

Une cyberattaque menée par l’UE contre elle-même permettrait de mettre en place ce rationnement tout en accusant un état étranger d’en être responsable, en l’occurrence la Russie.

Si l’arnaque du Covid19 a suffi à terroriser les masses occidentales stupides, une cyberattaque mise au compte de la Russie marchera encore mieux.

Il suffirait de comparer Poutine à Hitler et les boomers achèteraient le scénario à 1000%.

Ils ont acheté le scénario irakien, libyen ou syrien sur cette base.

Les Russes ne peuvent pas ne pas être informés des intentions de l’UE. Il n’est pas impossible que la posture récente de Poutine sur l’Ukraine soit le résultat d’une action préventive plus globale, les Russes s’attendant à des accusations de cyber attaques à grande échelle avec les sanctions économiques qui suivraient.

Poutine a une règle, qu’il dit avoir appris dans les rues de Saint-Pétersbourg : si le combat est inévitable, il faut frapper le premier.

D’un point de vue psychologique, c’est absolument exact.

Ce qui est certain, c’est que le système essaiera de mettre en place le Great Reset quoi qu’il arrive.

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