Captain Harlock
Démocratie Participative
26 Février 2020
Ceux qui sont nés avant les années 2010 peuvent remercier la Providence : ils ont pu vivre relativement libres.
Cette ère se referme pour laisser place à l’Europe bolchevisée.
The Intercept vient de publier une série de documents révélant le projet d’un groupe de dix polices nationales de mettre en place une base de données commune en matière de reconnaissance faciale. Ses opposants craignent une «surveillance de masse». Synonyme de big brother pour les défenseurs des libertés publiques, la reconnaissance faciale pourrait bien prendre une dimension européenne.
Le 21 février, le magazine The Intercept a en effet publié une enquête révélant qu’un groupe de dix polices nationales de l’Union européenne, dirigé par l’Autriche, militait pour la mise en place d’une base de données commune en la matière. A l’intérieur de la série de documents officiels que sont procurés le média lancé par Glenn Greenwald – ancien journaliste du Guardian à l’origine des révélations d’Edward Snowden – plusieurs textes examinent la possible révision du Traité de Prüm. Il s’agit d’un accord international de coopération autorisant les 27 pays membres de l’Union européenne à procéder à des échanges d’informations sur les profils ADN, les empreintes digitales ou encore les plaques d’immatriculation des véhicules.
La prochaine étape pourrait donc être l’ajout des données de reconnaissance faciale dans cette base commune entre des pays membres de l’UE. D’autant que le projet serait déjà bien avancé. The Intercept indique à ce sujet qu’un rapport a circulé en novembre 2019 chez certains élus et officiels de l’Union européenne.
«Surveillance de masse» ? «C’est préoccupant tant au niveau national qu’au niveau européen, d’autant plus que certains pays de l’Union européenne se tournent vers des gouvernements plus autoritaires», s’inquiète Edin Omanovic, directeur de l’ONG Privacy International, interrogé par The Intercept. Il craint que cette base de donnée ne serve pas qu’au travail d’enquête policière, mais glisse vers une surveillance de masse. «Il devrait y avoir un moratoire», estime-t-il. Autre source d’inquiétude, la possible connexion de cette base de données à un outil américain similaire, créant ainsi «une consolidation transatlantique massive des données biométriques», selon The Intercept.
Le grand oeil veut tout voir.
Il ne faudra plus longtemps avant que l’Union Européenne et ses différentes branches régionales puissent repérer n’importe qui en temps réel avec à disposition toutes les informations collectées sur lui.
Le système du crédit social va inévitablement être mis en place.
Sauf que ce sera un crédit social juif.
Le crédit social juif est fondamentalement différent du crédit social chinois : le premier est au service d’une race parasitaire qui veut détruire biologiquement les Européens tandis que le second est conçu pour renforcer la cohésion de la Chine comme bloc ethnique.
Le crédit social juif mettra donc tout en oeuvre pour repérer et neutraliser ceux qui en Europe défendent la cohésion raciale du continent, celle que les juifs cherchent à décrire.
En surveillant tout vos propos en ligne, en vous géolocalisant en temps réel et en vérifiant 24 heures sur 24 que vous êtes bien là où vos appareils disent que vous êtes, les juifs veulent être capables de vous liquider numériquement en une seconde en cas de violation des règles du Talmud.
Quand l’argent liquide sera supprimé, vous dépendrez de la crypto-monnaie gouvernementale pour faire des règlements. Débranché du système de paiement, vous serez mort socialement.
La comparaison entre les deux systèmes n’est donc que superficielle.
En novembre 2019, le gouvernement français avait évoqué le sujet de la reconnaissance faciale. Dans une interview au Parisien mise en ligne le 24 décembre, le secrétaire d’Etat au Numérique, Cédric O, était revenu sur le déploiement du programme Alicem (Authentification en ligne certifiée sur mobile) qui doit permettre une vérification sécurisée de l’identité sur l’Internet. «Pour l’instant, aucune date de déploiement plus large d’Alicem n’a été validée. Un travail de consultation est en cours par le Conseil national du numérique ainsi qu’une mission parlementaire. Il nous faut toutefois continuer à tester l’application afin de pouvoir proposer aux Français une solution d’identité certifiée en ligne à l’horizon mi-2021. Celle-ci devra permettre de s’identifier de manière élevée, c’est-à-dire d’accéder à des usages qui nécessitent de certifier l’identité de la personne qui est devant l’écran ou le téléphone portable», avait-il dit.
Ce chinetoque macroniste de Cédric O parle du système qui vise dans un premier temps à rendre obligatoire une carte d’identité numérique pour se connecter aux services gouvernementaux comme Pôle Emploi ou le Fisc.
Mais une fois le principe validé, il sera étendu à toutes les connexions numériques. Vous ne pourrez plus vous connecter au net, que ce soit via votre smartphone ou votre PC, sans votre carte d’identité numérique.
Lui sera adossé tout l’historique de vos connexions. Ce sera la fin de l’anonymat.
C’est-à-dire ce que réclament l’hyperclasse à cor et à cri.
⚡??FLASH – Des figures du #pouvoir et des #éditorialistes affidés profitent du scandale Griveaux pr prôner [encore] des restrictions aux #libertés publiques sur Internet. Sans que les mesures réclamées aient un lien avec le fond de l’affaire… (Marianne) https://t.co/7nO1U0tpzH
— Brèves de presse (@Brevesdepresse) February 18, 2020
Techniquement, le gouvernement juif vous accordera le droit d’utiliser un pseudonyme mais il disposera toujours de votre identité, le cas échéant.