La rédaction
Démocratie Participative
26 avril 2023
L’UE, c’est encore le juif Karl Popper qui en parle le mieux
Le gang démocratique européen est inquiet. En dépit d’une censure brutale sur l’ensemble de l’internet, les paysans continuent de dire des choses que leurs maîtres ne les autorisent pas de dire.
Heureusement, le politburo de l’UE prend les choses en mains et va micro-manager les entreprises de la Silicon Valley en temps réel pour procéder aux arrestations de complotistes.
Europe 1 :
La Commission européenne a dévoilé une liste de plateformes qui devront renforcer leur contrôle d’ici à la fin du mois d’août. Dans le cas contraire, les contrevenants s’exposeront à des amendes pouvant atteindre 6% du chiffre d’affaires mondial de leur groupe.
Bruxelles a dévoilé ce mardi une liste de 19 très grandes plateformes en ligne, incluant Twitter, TikTok et les principaux services d’Amazon, Apple, Google, Meta et Microsoft, qui seront soumises à des contrôles renforcés à partir de fin août. Ces entreprises, qui comptent chacune plus de 45 millions d’utilisateurs actifs dans l’Union Européenne, seront placées sous la surveillance de la Commission européenne et soumises à des règles renforcées, dont l’obligation d’un audit annuel indépendant pour s’assurer qu’elles luttent efficacement contre la désinformation, la haine en ligne ou les contrefaçons.
La « haine en ligne » est nom de code qu’utilise la mafia bruxelloise pour désigner les opinions interdites par le système et normaliser leur interdiction.
Sans la « haine en ligne », il n’y aurait par exemple jamais eu de contre-discours sur l’empoisonnement opéré par (((Pfizer))) avec l’appui de l’UE.
D’ailleurs, où sont les SMS d’Ursula ?
« Le compte à rebours a commencé pour ces 19 très grandes plateformes en ligne et moteurs de recherche », a déclaré le commissaire européen au Marché intérieur Thierry Breton. Il a rappelé qu’elles devaient se conformer pleinement aux obligations spéciales que leur impose la loi sur les services numériques (DSA), un règlement historique entré en vigueur mi-novembre dans l’UE.
Le tyran Breton doit finir devant un tribunal international.
Macron aussi.
Elles auront jusqu’au 25 août prochain pour se mettre en conformité. Les contrevenants s’exposeront à des amendes pouvant atteindre 6% du chiffre d’affaires mondial de leur groupe et, en dernier recours, en cas d’infractions graves répétées, à une interdiction temporaire d’exercer dans l’UE. Les 19 plateformes ont été désignées sur la base de leur nombre d’utilisateurs en Europe qu’elles avaient obligation de publier avant le 17 février.
Twitter, détenu par le milliardaire américain Elon Musk, et TikTok, propriété du géant chinois Bytedance, ont récemment alimenté les inquiétudes quant à leur aptitude à respecter la législation européenne. Thierry Breton s’est réjoui que Twitter ait accepté de se soumettre à un test de conformité qui aura lieu « fin juin » à San Francisco. Il a précisé que TikTok s’était également dit intéressé par ce soutien proposé par la Commission à tous les acteurs concernés.
La liste dévoilée mardi comprend en outre cinq services du géant Google: moteur de recherche, cartographie (Maps), magasin d’applications (Play Store), vente en ligne (Shopping) et vidéos (YouTube). Elle inclut aussi les réseaux sociaux Facebook et Instagram du groupe Meta, ainsi que le moteur de recherche Bing et le réseau social professionnel LinkedIn de Microsoft. Sont également concernés Apple, via son magasin d’applications AppStore, et le géant de la distribution Amazon.
AliExpress, branche logistique du géant chinois du commerce en ligne Alibaba, le réseau social Snapchat, le service de partage de photos Pinterest, l’encyclopédie en ligne Wikipedia et le champion européen de la vente en ligne de mode Zalando complètent la liste.
Considérées comme ayant « une importance systémique » et des « responsabilités particulières » en raison de leur taille, elles seront placées sous la supervision directe de la Commission européenne et devront procéder elles-mêmes à une analyse des risques liés à leurs services en matière de diffusion de contenus illégaux, d’atteinte à la vie privée ou à la liberté d’expression, mais aussi en matière de santé ou de sécurité publique.
Ces terroristes ne parlent jamais autant de liberté d’expression que lorsqu’ils veulent faire taire la plèbe.
Ils comparent aussi les opinions des paysans à des « risques ».
Les entreprises devront en outre mettre en place les moyens adéquats, notamment dans la modération de contenus, pour atténuer ces risques. Par ailleurs, elles auront obligation d’ouvrir leurs algorithmes aux experts de l’exécutif européen et d’offrir un accès à leurs données à des chercheurs agréés.
Ces règles, imposées aux seules très grandes plateformes, s’ajoutent à celles prévues par le DSA pour l’ensemble des réseaux sociaux, places de marché et moteurs de recherche quelle que soit leur taille. Les règles s’imposant à tous les acteurs deviendront elles effectives au 17 février 2024.
L’UE veut tout particulièrement pouvoir identifier les gens qui ont des opinions interdites par l’UE afin de les emprisonner.
Elles incluent l’obligation d’agir « promptement » pour retirer tout contenu illicite dès que la plateforme en a connaissance, ou l’obligation d’informer les autorités judiciaires quand elles soupçonnent une « infraction pénale grave ».
Pour autant que je me souvienne, depuis qu’elle existe, l’UE ne fait qu’interdire des choses.
D’une manière générale, la démocratie ne fait qu’interdire des choses, sauf pour les juifs et les homosexuels. Les deux sont liés, puisque la liberté des juifs et des homosexuels de détruire la société implique d’empêcher leurs victimes de se rebeller.