Lucien Rebatet : une référence du racisme et de l’antisémitisme en France (Par René Fayard)

René Fayard
Démocratie Participative
29 mai 2018

 

Le paysage politico-littéraire français contemporain est pour ainsi dire assez navrant. À l’exception de quelques braves, qui s’attachent encore vaillamment à clamer ou écrire des vérités — et qui sont immédiatement poursuivis pour cela —, c’est le néant absolu, la sempiternelle diarrhée antiraciste et philosémite resservies à toutes les sauces, nous compressant absolument dans le moule du parfait petit républicain, « patriote » tout au plus, en soignant les formes sous peine de se faire taper sur les doigts par les officines judéo-métèques telles la LICRA, SOS Racisme et la kyrielle d’autres associations parasitaires ne subsistant qu’en traquant des Blancs souhaitant simplement exprimer une pensée, une opinion, avec une impudence qui ne cesse de croître et qui finira inévitablement par se payer un jour.

Qui eût pu, il y a un siècle en France, imaginer une telle situation, ubuesque, révoltante, dont le seul constat devrait scandaliser et soulever n’importe quel peuple encore désireux de vivre ? Le fait est que les Français, et avec eux un grand nombre d’Européens, n’ont plus conscience d’eux-mêmes, de leur race, de leur passé ni de leur avenir si les choses se poursuivent, économiquement, politiquement, et surtout démographiquement. Cette dégénérescence ne s’est pas faite en un jour, et progressivement la subversion égalitariste s’est implantée dans les esprits, jusqu’à atteindre l’omniprésence et l’omnipotence qu’on lui connaît désormais et qui fait tant de dégâts.

Toutefois, il n’en fut pas toujours ainsi. Et nous eûmes, en France, malgré l’ancienneté et la profondeur des maux qui l’ont rongée, un vivier d’hommes brillants intellectuellement, physiquement, authentiquement et pleinement racistes, conscients du péril juif, rejetant de tout leur être l’affreuse démocratie et le culte de la médiocrité. Lucien Rebatet fut de ceux-ci. Afin de mieux cerner les enjeux du passé et du présent — car les similitudes de sa conjoncture et de la nôtre sont nombreuses —, il convient de se diriger vers les bonnes références. Le principal ouvrage de Rebatet, Les Décombres, en est assurément une. Il ne s’agit pas ici de revenir sur le personnage de Rebatet, ni sur ce livre, qui constituent des indispensables que tout le monde devrait lire et relire, mais d’en tirer quelques extraits choisis parmi la multitude d’excellents écrits de sa plume, très à propos dans notre contexte actuel malgré leur relative ancienneté, ceci pour reposer des bases trop souvent trahies ou simplement oubliées par des pleutres, des incultes, des lâches et des malhonnêtes adeptes du judéo-droitisme ou de la réconciliation afro-bougnoulique, c’est selon.

Le premier extrait est issu d’un texte faisant office de suite aux Décombres, paru dans la récente réédition « Le Dossier Rebatet » et intitulé « L’Inédit de Clairvaux ». Facilement trouvable sur Internet, ce long texte n’a a priori pas été charcuté par les youtres et leurs laquais gauchistes, qui nous gratifient en revanche d’annotations d’une qualité informative variable. Rebatet était à cette époque emprisonné à la suite d’une vaste (((épuration))) dont il réchappa de peu, avec d’autres camarades. Son ami Robert Brasillach, notamment, connut un sort différent. Il imagine ici ce qu’il répondrait à ses détracteurs vilipendant son « hitlérisme », et résume son parcours, son émancipation des poncifs maurrassiens tout en rappelant des vérités essentielles.

« Mais c’est dit, vous êtes convaincu, mes mains sont pures. C’est donc mon cœur qui ne l’est pas. Un cœur hitlérien. Vous me permettrez d’examiner d’un peu plus près cet épithète. Je suis fasciste. S’il n’avait tenu qu’à moi, je l’aurais proclamé publiquement, depuis assez longtemps déjà. À force de me le corner aux oreilles, vos amis juifs et démocrates ont d’ailleurs beaucoup travaillé à m’ancrer dans cette conviction. J’entends bien que je suis fasciste au sens international, celui dont les Soviétiques ont fait un si large usage. Je suis fasciste parce que je ne crois pas au progrès moral, et encore moins à l’égalité des hommes, et qu’il faut bien se prononcer pour des régimes capables de remettre de l’ordre dans notre siècle, et que le libéralisme n’est plus à son échelle.

Je crois que le fascisme a restauré les principes éternels pour la conduite des hommes, les principes que l’on ne transgresse jamais impunément, et nos démocraties viennent d’en faire l’expérience. J’ai travaillé dix ans dans une maison où Mussolini faisait figure de modèle et trônait en effigie dédicacée devant le bureau du patron. Mais vous savez que dans cette même maison et dans le même temps, nous annoncions Hitler comme la bête de l’Apocalypse, nous vous conjurions, puisque vous étiez au pouvoir, de lui tordre le cou avant qu’il ne fût trop tard. Nous (note : à l’AF) étions des nationalistes à tous écrins. Nous nous gardions comme la peste d’une internationale idéologique, comme la vôtre. En voyant le 30 janvier 1933, au milieu de Paris-soir, la grande photographie de Hitler vainqueur, j’ai ressenti le même frisson et la même angoisse que vos amis les rabbins berlinois. Plus tard, je ne vous le cache pas, j’ai commencé à reconsidérer les canons de l’Action française, je me suis demandé si, tout compte fait, la seule solution pratique ne serait pas l’établissement d’une Internationale blanche, puisque l’autre Internationale faisait fi de toutes les frontières, comme la guerre d’Espagne l’a surabondamment démontré.

Vous autres, hommes de la Patrie humaine, de la social-démocratie ou de la démocratie chrétienne, vous ne pouvez concevoir l’énormité qu’une pareille pensée représenterait pour nous. C’était comme une infiltration de l’athéisme chez un sculpteur de Chartres. Je n’y ai jamais songé sérieusement et je ne sache pas que, depuis notre bord, quiconque soit allé jamais plus loin que moi. L’Internationale de Maurras s’arrêtait aux limites de la latinité. Nous dénombrions les forces de ce fameux bloc latin, nous déplorions qu’elles fussent si chétives. Mais la nature l’avait voulu ainsi.

« Pendant ce temps, vous découvriez la puissance de Hitler et il est devenu évident que vous cherchiez par tous les moyens à lui déclarer la guerre, avec dix années de retard sur nous, dix années perdues par votre faute, qui rendaient cette guerre effroyablement meurtrière et périlleuse. Je me suis demandé alors si un tel cataclysme était vraiment inévitable, s’il ne serait pas possible, plutôt que de se ruer à de telles horreurs, de s’entendre bon an mal an avec cet homme, et pour cela d’essayer de le comprendre d’abord.

Car vous ne me direz pas que vous avez fourni une explication de Hitler. Votre croquemitaine, votre Führer paranoïaque ne pouvait pas satisfaire des hommes sachant un peu d’histoire et de psychologie. D’aussi grossières caricatures sont provocantes pour le bon sens et le goût de la vérité. J’ai lu Mein Kampf, non pas d’un bout à l’autre, mais assez complètement… Vous vous récriez. Je n’ai pas vomi aussitôt devant ce fatras. Moi, un intellectuel plutôt « avancé » en somme, proustien, gidien, lecteur de Kafka et de Joyce, féru de Matisse et de Stravinsky ! Que puis-je avoir de commun avec cet illettré autrichien, avec Mussolini, cet instituteur romagnol qui sent son cours du soir et qui a mis des bottes à ses académiciens ? Bon, je ne vous dirai pas que je tiens Mein Kampf pour un chef-d’œuvre dialectique. Hitler n’a pas appris à disposer ses idées. Son livre est le livre d’un primaire, il est naïf, décousu, scolaire, filandreux. Mais j’aurais scrupule à condamner, au nom de ma culture, de mon raffinement, si vous voulez, des hommes comme Hitler et Mussolini.

Ces plébéiens, ces autodidactes sont plus sains que vous et moi. Ils ont des intuitions dont nous ne serions plus capables. L’autocritique ne les a pas stérilisés. Les classes sociales ont éclaté, l’élite se recrute partout. Hitler et Mussolini incarnent un génie populaire dont l’apparition ne devrait guère vous étonner, vous démocrates. Je le vois bien, cet Autrichien : sans maître, sans éducation, sans règles, se formant de bric et de broc, mais habité par ses idées, les dégrossissant à l’aide des bouquins qui lui tombent sous la main, les dévidant à sa manière. Dans ce capharnaüm, il y a force choses d’un très grand bon sens, qui témoignent d’une vue de la nature humaine autrement exacte et profonde que les poncifs quasi religieux de vos bonzes. À lire le Führer et le Duce après vos penseurs démocratiques, j’éprouve, je vous l’avoue, la même satisfaction intellectuelle qu’en sortant des successeurs de Georges Ohnet pour ouvrir le livre d’un romancier véridique.

Les idées des dictatures prennent racine dans la vérité, et ils y croient. Les principes de vos démocraties sont des toiles peintes, derrière quoi ces messieurs manigancent leurs comédies. Pour ceux de la troupe qui gardent foi dans ces barbouillages, ils sont vraiment bien à plaindre. Je comprends le langage des dictateurs parce qu’il répond à des réalités criantes. Chez vos démocrates, tous les mots, tous les gestes ne représentent plus qu’une espèce de liturgie mécanique. Elle n’a plus d’autre sens que les combinaisons qu’elle masque. Je suis fatigué de ce guignol qu’on voudrait nous faire prendre pour une messe. L’avènement des dictateurs plébéiens était inscrit dans votre école obligatoire et votre brassage social. Vous avez voulu ouvrir le pouvoir au peuple. Eh bien ! Benito, Adolf et l’oncle Joseph du Kremlin comblent vos vœux. Mais ils tout à fait oublié d’être démocrates, et vous auriez pu le prévoir. Car les gens du peuple entendent mal les abstractions.

Je ne rougis pas du tout, moi, intellectuel, d’étudier leurs méthodes, et souvent d’y applaudir, même s’ils les exposent dans une forme gauche et indigeste. La politique n’est pas un jeu de l’esprit. C’est une besogne assez terre à terre. On peut refuser de s’y appliquer, composer des films, écrire des romans d’analyse, étudier la peinture chinoise ou les primitifs toscans. Croyez que je préférerais de loin l’une ou l’autre de ces activités. Le tout est de savoir si un dilettante, un artiste, un écrivain peut depuis dix ans pousser assez loin l’insouciance ou l’égotisme pour s’affranchir de tout devoir politique. Je ne l’ai pas pu. Je ne vous contesterai pas qu’artistiquement parlant, la décomposition a ses charmes. Mais pour en jouir, encore faudrait-il être assuré qu’elle se prolongera autant que nous. Je ne pouvais plus jouir de rien, plus rien entreprendre dans une existence aussi précaire, sur un continent aussi menacé que les nôtres. Je suis entré dans la politique. Mais en y entrant, j’ai laissé mes délicatesses, mes nuances à la porte.

« Pour en revenir à Mein Kampf, ce livre maltraite la France à plusieurs reprises. Mais ces pages ne sont pas nouvelles. Elles n’ont pas empêché nos gouvernements de parler avec M. Hitler durant des années, alors qu’il ne restait plus qu’à s’expliquer à coups de canons si on les prenait à la lettre. Elles ne sauraient nous empêcher de parler avec lui aujourd’hui, où cette conversation est plus urgente que jamais et demeure notre seule arme. Et il nous est permis d’espérer, sans déraisonner, qu’en vingt ans M. Hitler a pu réformer ses vues sur la France. Le Hitler de Mein Kampf ne serait pas allé à Montoire.

« Que vous dirai-je encore, pour que ma confession soit entière ? Il y a un style hitlérien, mise en scène, musique, décor. J’y suis sensible, parce que je suis wagnérien depuis toujours, en me moquant des modes, qui sont plutôt antiwagnériennes, tant à Berlin qu’à Paris. Wagner m’a sans doute expliqué Hitler mieux que tout le reste… On n’est pas wagnérien sans avoir quelque goût pour le germanisme. Je publie volontiers ma germanophilie musicale. Vous m’accorderez qu’elle est prodigieusement répandue.

« Voilà mon hitlérisme. Nous n’avons jamais fait mystère que certains de nos principes coïncidaient avec ceux de Hitler. Quoi d’étonnant ? Croyez-vous qu’il y ait tant d’idées politiques qui courent le monde ? Il s’en faut de beaucoup que celles de Hitler soient toutes allemandes. Je ne sais rien de plus puéril, de pus ridicule que ces théoriciens français dont le souci principal est d’effacer de leurs définitions la moindre réminiscence des systèmes étrangers. Ils y parviennent assez bien, il suffit de triturer les mots et les concepts. Mais ils aboutissent ainsi à des constructions d’une irréalité bouffonne. »

Rebatet a assumé pleinement jusqu’au bout son soutien à Hitler, comme l’atteste son dernier article paru dans le numéro du 28 juillet 1944 de Je suis partout :

« Admettons que Hitler soit sur le point d’être vaincu. Mais que l’on songe alors aux efforts monstrueux sous lesquels il aura succombé (…). C’est le vaincu qui laisse les traces les plus profondes, qui met son empreinte à son siècle, qui modèle les idées et les régimes, qui a une postérité politique, spirituelle (…).En écrivant aujourd’hui ces lignes, je souhaite prendre date pour 1964 (…). J’admire Hitler. Nous admirons Hitler et nous avons pour cela de très sérieuses raisons (…). C’est lui qui portera devant l’Histoire l’honneur d’avoir liquidé la démocratie (…). C’est l’âme d’un chef d’airain dans un homme du peuple (…). Ces caractères de l’action hitlérienne nous avaient séduits ici, bien avant la guerre, et dès une époque où, aussi sincèrement que nous sommes aujourd’hui partisans d’une entente étroite de la France et du Reich, nous clamions notre inquiétude devant la remilitarisation de l’Allemagne, ce qui nous valait du reste à l’époque les sarcasmes du clan youtrophile prêt à exterminer aujourd’hui 200 millions de Blancs pour avoir la peau de Hitler. »

Nous sommes aujourd’hui en 2018, et de l’eau a coulé sous les ponts. Alors que l’extrême droite aurait dû depuis longtemps redécouvrir et embrasser les hommes de la trempe de Rebatet, leur racisme, leur antisémitisme et leur fascisme, elle s’est égarée dans des chimères marxisantes et stérilisantes, et dans un résistantialisme crétin auquel j’ai déjà consacré un bref article.

À Démocratie Participative, nous sommes plus que jamais décidés à enterrer définitivement ces pitoyables écueils républicains et insuffler aux esprits sains subsistant tant bien que mal en France souillée par la lèpre métèque la hauteur de vue des grands hommes qui nous ont précédés. Voici, pour conclure, un extrait du message de conclusion des Décombres, formulé à l’adresse des Français. Écrit en 1942, il est toujours, sur bien des points, criant d’actualité :

« La troupe existe donc. Elle a aussi ses guides. Du moins quelques douzaines d’hommes se flattent en France de tenir ce rôle et en font état. J’en connais plusieurs, qui portent les couleurs du nationalisme, les seuls dont je veuille parler ici. Mais les autres, d’où qu’ils viennent, peuvent faire les mêmes réflexions.

Je vis depuis des années parmi des nationalistes qui ont multiplié les preuves de leur intelligence. Nous avons le droit de revendiquer très haut notre place à la tête des révolutionnaires. Nous avons, les premiers, redécouvert l’antisémitisme pour aller aussitôt jusqu’au bout de ses conséquences. Nous avons été les premiers partisans de l’ordre neuf, et la canaille, qui pour une fois ne s’est point trompé, nous a suffisamment salués du nom de fascistes assassins. Nous avons vu s’écrouler sur nous de gigantesques montagnes d’insanités, nous avons dû traverser sans répit, les uns après les autres, des mascarets de sottises. Nous sommes toujours sur nos pieds, la tête claire, dans la bonne voie. Nos compas étaient bien réglés.

Nous avons fait les preuves de notre courage avant guerre, et bien plus encore aujourd’hui. Nous avions tout loisir de rechercher et d’obtenir de paisibles sinécures, de reprendre nos métiers en tournant le dos aux affaires politiques, en arguant la tristesse et la confusion des temps. Par amour de la France et de la vérité, nous nous sommes dressés contre l’opinion funeste mais quasi unanime du pays. Les plus ignobles injures, les plus sauvages menaces se sont abattues sur nous. Nous sommes les traîtres à exécuter, inscrits sur les listes noires de dix bandes. Notre combat n’est pas fictif. Il a ses morts. Tandis que les militaires, les gaullistes, les journalistes enjuivés étalent leurs grotesques fanfaronnades, nous attestons que des Français sont encore capables de bravoure civique.

Plus je vois la nécessité pour mon pays d’une révolution fasciste et plus je suis persuadé qu’elle ne peut s’accomplir sans nous, sans que nous prenions le pouvoir ou que nous y participions largement. Nous devons être le levier du fascisme. Tout nous y destine, et c’est un rôle admirable.

Mais nous avons à confesser nos fautes. Les meilleurs d’entre nous ont péché par dilettantisme. J’ai été, nous avons été, des intellectuels fins connaisseurs en politique, comme nous le sommes en peinture, en poésie, en cinéma. La politique, apprise par trop d’entre nous à l’école maurrassienne, a été le déversoir de nos dons littéraires, philosophiques, qui eussent trouvé ailleurs un plus durable emploi. Il est très beau de fignoler la cité future. Mais lorsqu’on en voit si bien le plan, pourquoi tant tarder à en dresser les murs ? La spéculation politique est superflue dans des années où le monde se reconstruit à toute vitesse. On a tout annoncé, tout dessiné, mais pendant ce temps, ce sont d’autres hommes que nous qui refont l’histoire, ils la feront moins bien peut-être parce qu’ils ne nous valent pas, mais elle est, et c’est cela qui compte. La politique n’est pas un idéal de la pensée. C’est avant tout la nécessité de nettoyer et de remettre de l’ordre chez soi. Cet art est assez sommaire. Celui qui cherche la perfection n’a qu’à lui tourner le dos, à s’enfermer dans sa chambre et à écrire des poèmes.

– Mais les libertés de l’esprit dont nous sommes politiquement les défenseurs ?

Ne voit-on pas que la France, que l’Occident ont abusé de ces libertés jusqu’à éreinter cet esprit, à le réduire en miettes ? Non, ne craignons rien. Pas d’amphigouris. Une cure de discipline est nécessaire. Il nous faut quelques bonnes grosses idées, solides et enfoncées comme des pieux. Le reste appartient à la littérature, où, pour ma part, je prise volontiers l’ésotérisme et la subtilité. »

Nous sommes les héritiers de ce combat pour la Race et sa pérennité. Il est plus que temps de mettre fin à ce cinéma sémitique qui nous force chaque jour à renoncer à nous-mêmes. J’exhorte donc les éventuels non-initiés à lire et promouvoir la bonne parole d’hommes de la trempe de Rebatet, plutôt que de se complaire chez de médiocres adeptes des circonvolutions antiracistes teintées d’un incurable gauchisme ou de figures judaïquement correctes dont le misérabilisme et le passéisme ont contribué à engendrer la situation mortifère présente. Plus que jamais, soyons des révolutionnaires racistes aguerris et intransigeants, l’heure n’est plus aux concessions et aux reniements.