Captain Harlock
Démocratie Participative
02 décembre 2019
Les juifs veulent traquer les gauchistes blancs et les arabes « antisionistes ».
Des associations appellent les députés à ne pas voter la résolution «visant à lutter contre l’antisémitisme» proposée par le député Sylvain Maillard, accusée d’entraver la critique d’Israël. Un rassemblement est organisé devant l’Assemblée.
Enregistrée à la Présidence de l’Assemblée nationale le 12 novembre 2019, la proposition de résolution «visant à lutter contre l’antisémitisme» présentée par le député macroniste Sylvain Maillard fait l’objet de vives critiques alors qu’elle doit être soumise au vote de l’Hémicycle ce 3 décembre. Plusieurs associations appellent ainsi les députés à rejeter ce texte. Un rassemblement a lieu ce 2 décembre devant l’Assemblée nationale, durant lequel plusieurs organisations se rassemblent pour faire valoir leur point de vue. Sur place, notre journaliste a pu observer la présence de quelques dizaines de personnes, certaines arborant des pancartes pour l’occasion. «J’ai le droit de critiquer l’Etat d’Israël et sa politique», peut-on lire sur l’une d’entre elles.
«L’antisionisme est une opinion politique largement partagée par toutes les personnes qui refusent la manière dont l’État d’Israël se comporte vis-à-vis des Palestiniens», a notamment déclaré le président de l’Association France Palestine Solidarité .
De fait, les opposants à la résolution pointent notamment un passage qui assimile certaines positions antisionistes à de l’antisémitisme.
«Les actes antisionistes peuvent parfois occulter des réalités antisémites. Critiquer l’existence même d’Israël en ce qu’elle constitue une collectivité composée de citoyens juifs revient à exprimer une haine à l’égard de la communauté́ juive dans son ensemble […] De telles dérives font de plus en plus de l’antisionisme « une des formes contemporaines de l’antisémitisme », pour reprendre les mots du Président de la République. Pointer de telles dérives n’empêche par ailleurs aucunement la libre critique de la politique et des prises de positions des gouvernements israéliens», peut-on lire dans le texte disponible sur le site de l’Assemblée nationale.
«Notre groupe d’étude [sur l’antisémitisme] à l’Assemblée nationale portera une initiative forte dans les prochains jours pour que l’antisionisme soit reconnu et puni en France pour ce qu’il est : de l’antisémitisme !», avait déjà annoncé sur Twitter le député Sylvain Maillard le 16 février 2019, réagissant aux invectives adressées le même jour au philosophe Alain Finkielkraut, en marge du cortège de Gilets jaunes défilant à Paris à l’occasion de l’acte 14 du mouvement.
Et bien, je suis d’accord avec ce député macroniste.
L’antisionisme, c’est-à-dire la volonté de démanteler la colonie juive de Palestine, est effectivement de l’antisémitisme. C’est même la forme la plus récente et la plus opérationnelle de l’antisémitisme.
Les gauchistes sont assez mal à l’aise avec cette réalité car leur moteur premier est la haine de la race blanche avec pour contrepartie l’amour inconditionnel des peuplades non-blanches. Les juifs étant des sémites nomades, ils sont censés entrer dans la seconde catégorie : celle des gentils gens marron opprimés par les Blancs.
Mais comme ils assimilent, à raison, Israël au surmoi militarisé et capitaliste occidental, à une sorte de Vatican de l’Occident démocratique dont le bras séculier est l’US Army, les gauchistes blancs prennent fait et cause pour les arabes. C’est le grand paradoxe qu’affronte le seul état de la terre édifié ex nihilo sur l’antiracisme et la haine de la race blanche : il est considéré comme le plus pur produit du racisme blanc.
L’antiracisme historique auquel les gauchistes adhèrent pathologiquement étant fondé sur la religion de l’Holocauste, ils doivent tout de même vénérer les juifs.
Donc, pour eux, c’est compliqué. Il faut sans cesse chialer sur le pyjama rayé tout en appelant à détruire Israël.
L’Occident négrifié aux pieds des juifs : le projet sioniste
Pour moi, ce n’est pas du tout compliqué, n’ayant pas ce genre de tabous raciaux. Les juifs sont des ordures, universellement, qu’ils vivent dans une colonie israélienne de Cisjordanie ou qu’ils achètent et vendent des actions à New York. Ils le disent d’ailleurs eux-mêmes : la diaspora est strictement réductible à Israël et vice-versa.
Pas un jour ne passe sans que leurs organisations internationales n’agissent comme des excroissances du quartier général juif de Palestine.
Si en théorie cette idée d’interdire l’antisionisme me paraît excellente pour que les gauchistes prennent enfin le bouillon de la terreur judiciaire, en pratique je sais qu’aucun magistrat ne touchera à un seul de ces communistes pro-arabes.
Ça n’arrivera pas.
Des antifas comme Bernanos peuvent essayer d’assassiner des flics sans mêmes prendre des années de taule. Alors des vieilles Blanches à crouilles avec des keffiehs qui appellent à boycotter des oranges de Judée, autant dire que c’est une illusion.
Un bombardement sur Gaza ou une victoire de l’Algérie à la CAN, c’est la même
Parce que les juges sont eux-mêmes de gauche ou d’extrême-gauche et qu’ils sont idéologiquement acquis aux thèses misérabilistes de la divinisation de la mélanine.
Il faudrait vraiment qu’un pro-palestinien en fasse des tonnes pour finir condamné à 1000 euros d’amende. Et qu’il soit blanc comme un cachet.
Après, ça n’empêchera pas les juifs de se déchaîner contre les pro-palestiniens. Si cela permet d’étendre le front et d’accentuer la guerre civile entre sémites juifs et mahométans, je suis preneur.
Mais je ne miserais pas gros là dessus. C’est surtout un moyen pour Macron de se faire bien voir. Et encore, s’il donne le feu vert.
Je ne suis même pas sûr qu’il veuille donner le feu vert. Il y a trop de mahométans en France à ce stade, ça ne veut plus rien dire et les crouilles n’aiment pas que l’on fasse trop les yeux doux à Netanyahou.