Capitaine Harlock
Démocratie Participative
15 février 2018
Mais qui trouve-t-on, en permanence, à exciter la haine raciale contre les Blancs dans les couloirs des écoles ?
Lucienne Nayet Lerman, présidente du réseau Musée de la Résistance nationale en Béarn, fille de migrants juifs, a apporté un témoignage émouvant de l’histoire de sa famille devant les 67 élèves de 3e du collège Jean-Bouzet, leur directeur Jean-Pierre Cauquil, certains de leurs professeurs et des membres du personnel administratif, l’inspecteur d’académie, M. Bordenave ; la conseillère départementale, Marie-Pierre Cabanne, et quelques adultes intéressés.
Michel, le père de Lucienne, né en 1910, est enfermé très jeune, parce que juif, dans des ghettos en Ukraine, s’enfuit vers 1930 en Pologne où règne l’antisémitisme. Les bottes allemandes commencent à résonner sur le sol polonais. Michel, son épouse et leur fille aînée partent en France, le pays des droits de l’homme. Le père est arrêté sur dénonciation et sur ordre des autorités françaises, le 15 mai 1941, alors que son épouse est enceinte de Lucienne. Michel est interné dans les camps de Drancy, de Beaune-la-Rolande, de Pithiviers et mourra à Auschwitz. On découvrira plus tard son nom sur un mémorial parmi les personnes décédées à Auschwitz.
Le 4 août 1941, c’est la naissance de Lucienne à Paris, à l’hôpital Rothschild où un réseau de la Résistance parvient à cacher la mère et les filles à Pouzauges, petit village vendéen, dans une famille d’accueil, mais les deux sœurs sont séparées. Lucienne et sa mère vivront cachées pendant quatre ans : pas de bruit, pas de jeux, pas de chants ; il faut éviter d’être dénoncé. La solidarité d’un curé du coin sera salutaire. La France libérée, la famille rentre à Paris ; son ancien logement est occupé par d’autres personnes. La mère refait sa vie et la famille a enfin un logement acceptable.
À la mort de sa mère, en 1988, Lucienne entreprend des recherches pour élucider toute cette période. Chez elle, pas de rancœur, pas de haine, mais au contraire horreur du racisme, de l’antisémitisme, de la guerre, de la violence et un grand respect de l’homme et de l’espèce humaine. Pour elle, trois mots sont de véritables joyaux : liberté, solidarité, paix. Suivirent de nombreuses questions posées par des élèves et par des adultes présents. Un témoignage émouvant et instructif pour les élèves.
« Pas de haine », « pas de rancoeur ».
Mais un militantisme de tous les instants pour que la jeunesse autochtone ne se soulève pas face aux hordes islamiques qui déferlent sur la France et les exécutent.
Cette vieille youpine est gorgée d’une haine sémitique écumante et génocidaire.
Et son arme, comme toujours, est le mensonge pour porter la confusion dans les esprits de sa victime à son paroxysme. A charge, ensuite, pour les masses de nègres et de crouilles de faire ce qu’elles font naturellement : violer, voler, tuer, brutaliser.
C’est aussi l’occasion de mesurer toute la stupidité de ces curés amis de la juiverie qui ont pavé la voie de leur propre destruction en aidant les envoyés du Diable à s’infiltrer et établir leurs quartiers généraux en France.
Un seul exemple de ce qui arrive quand un de ces terroristes bénéficie de la bienveillance de gens assez idiots pour cela.
Ces terroristes juifs sont infiltrés partout, distillant le poison de la culpabilisation et la haine antiblanche dès qu’ils le peuvent.
Mais une mauvaise surprise les attend.