Captain Harlock
Démocratie Participative
21 Janvier 2021
Comme prévu, Joe Biden est devenu le 46ème président des Etats-Unis. L’état profond a utilisé le prétexte d’une fausse insurrection pour boucler entièrement la capitale avec l’aide de l’armée et tenir le peuple loin de Washington.
Le risque d’une « insurrection » hier était nul dans la mesure où Trump s’est rallié à Biden le 6 janvier après avoir abandonné ses supporters qui s’étaient rassemblés à son ordre au Capitole. Le lendemain, Trump avait même annoncé que ses soutiens « paieraient » pour lui avoir obéi.
C’est d’ailleurs ce qui s’est passé puisque ses soutiens les plus déterminés sont désormais en prison pour avoir pris des selfies dans le parlement. Quand ils n’ont pas été abattus par les gardes de ZOG.
Il n’y avait donc aucun risque de troubles graves hier mais l’idée était de mettre en scène la reprise en main brutale du pays par l’oligarchie avec l’aide des agences fédérales comme le FBI et la CIA.
Biden a 78 ans et montre depuis déjà un moment des signes de sénilité. Il confond les gens, les lieux, oublie les noms et parfois insulte le public sans raison. C’est précisément pour ça qu’il a été choisi : il signera tout ce qu’on lui dira de signer.
J’insiste sur ce point car il est probable qu’il ne puisse pas terminer son mandat et que la mulâtresse Kamala Harris devienne présidente des Etats-Unis d’ici 2022 afin de finaliser la révolution raciale initiée par les juifs. Harris est une créature des juifs. Son mari est le juif Douglas Emhoff. L’idée des juifs est de s’assurer quoi qu’il arrive le soutien des masses non-blanches lors de la révolution néo-bolchevique qui démarre.
Harris pourra ainsi terminer le premier mandat de Biden et se présenter deux fois de suite, en 2024 et en 2028. Ce qui nous amène en 2032, date à laquelle où les Etats-Unis devraient avoir implosé en différentes régions sur le modèle yougoslave. Avec 300 millions d’armes en circulation.
En attendant, Biden lit difficilement les premières directives de sa présidence fantoche. Les juifs se sont assurés de parler franchement aux quelques 200 millions de Blancs vivant aux USA en leur annonçant leur destruction raciale.
« Un appel à la justice raciale… ne sera plus différé »
Dans son discours inaugural, le président Joe Biden déclare qu’il faut vaincre « la montée de l’extrémisme politique, de la suprématie blanche et du terrorisme intérieur ».
« A cry for racial justice… will be deferred no longer »
In his inaugural address, President Joe Biden says a « rise of political extremism, white supremacy, domestic terrorism » must be defeated https://t.co/hQBfBFbUvQ pic.twitter.com/eD0HCHbGib
— BBC Breaking News (@BBCBreaking) January 20, 2021
Laissez-moi traduire car vous ne parlez peut-être pas le yiddish.
Durant toute leur histoire, les Etats-Unis ont eu une composition raciale stable. Jusqu’à une date assez récente, l’Amérique était composée d’environ 90% d’Européens.
Il a fallu attendre la loi sur l’immigration et la naturalisation de 1965 du parlementaire juif Emanuel Celler pour que l’immigration du tiers-monde devienne la règle, déclenchant l’effondrement racial de l’Amérique.
Le tableau suivant est incomplet car il compte les pépitos d’Amérique du Sud dans la catégorie des « Blancs ». Mais il montre la stabilité raciale du pays jusque dans les années 80.
Le nombre de Blancs véritables est bien inférieur en 2021. Il se situe aux alentours de 59%, tous âges confondus.
D’ici 30 ans, les jeunes Blancs ne représenteront plus qu’un tiers de leur génération, annonçant la quasi disparition des Européens aux USA d’ici à la fin du siècle. Le pays sera alors une sorte d’excroissance afro-hispanique saupoudrée de dizaines de millions de migrants issus de toutes les ethnies de la planète.
Quand Biden parle de « vaincre la suprématie blanche », il ne parle de mettre en prison quelques membres du Ku Klux Klan. Il parle de s’assurer que la race blanche qui a fondé les Etats-Unis soit éradiquée une fois pour toute et remplacée par une population de métis et de nègres aux ordres des juifs.
Le seul fait qu’un président blanc déclare que son objectif est de détruire la race blanche suffit à démontrer qu’il est la marionnette d’une puissance non-blanche.
Imaginez un président chinois déclarer, le jour de son inauguration, qu’il ferait tout pour « vaincre la suprématie jaune en Chine ». Vous vous demanderiez qui a bien pu écrire ce qu’il est en train de lire et vous vous diriez qu’il y a 0% de chances pour que ce soit des Chinois.
Et vous auriez raison.
La seule composition du gouvernement de Biden suffit pour savoir qui organise ce génocide annoncé dès la première heure de sa présidence.
Les juifs ont besoin d’une marionnette blanche pour mettre en place cette révolution génocidaire qu’ils veulent depuis toujours. Le but ici est de reprendre la Maison Blanche tout en apaisant le bétail blanc centriste. Mais une fois fermement entre leurs mains griffues, les juifs se débarrasseront de Biden et le remplaceront par la mulâtresse Harris entièrement acquise à la cause du sémitisme.
La première étape va consister à s’assurer que plus jamais une majorité électorale portée par la classe moyenne blanche ne remette en question le pillage généralisé du pays par les oligarques.
La meilleure façon d’y parvenir est de naturaliser des millions et des millions de migrants clandestins.
Breaking : Au cours de ses premiers jours en fonction, le président élu Joe Biden prévoit d’envoyer au Congrès un projet de loi qui offrirait une voie d’accès à la citoyenneté à 11 millions d’immigrants qui se trouvent dans le pays sans statut légal.
Breaking: During his first days in office, President-elect Joe Biden plans to send legislation to congress that would provide a pathway to citizenship for 11 million immigrants who are in the country without legal status. https://t.co/z0ImiAT6OM
— Los Angeles Times (@latimes) January 16, 2021
Et d’en faire venir des millions d’autres.
Le Mexique se félicite de l’ordre de Biden d’arrêter la construction du mur frontalier
#BREAKING Mexico welcomes Biden order to halt border wall construction pic.twitter.com/16ruH2oRdJ
— AFP News Agency (@AFP) January 21, 2021
En vérité, le « mur » de Trump n’a jamais été autre chose qu’une farce.
Trump aurait pu mobiliser les fonds de l’armée pour bâtir un véritable mur mais Trump était trop incompétent pour le faire. Comme ses électeurs croyaient qu’il en bâtissait un, ses opposants ont fini par également penser qu’il en bâtissait un. Biden peut maintenant faire semblant d’arrêter la construction d’un truc qui n’a jamais été en construction et récolter sans rien faire un maximum de soutien chez les Aztèques des deux côtés de la frontière.
En termes de lutte contre l’immigration, la première présidence Obama a été infiniment plus efficace que la présidence Trump – et de loin. Même la seconde a été, jusqu’en 2014, plus dure que sous Trump.
Tout ça est terminé.
Il n’y aura plus jamais d’expulsions. Le moindre métèque qui posera le pied aux USA sera régularisé puis naturalisé. Il faudra d’abord qu’il trime clandestinement quelques années pour le compte de giga corporations afin qu’elles génèrent un maximum de profits sur cet afflux constant d’esclaves consentants à 75 points de QI.
Il n’y a donc plus aucune solution électorale. Non seulement parce que les élections seront truquées avec l’aide du gouvernement si nécessaire mais surtout parce que d’ici quelques années, tricher ne sera plus utile pour des raisons démographiques.
C’est aussi simple que ça.
Il suffit qu’un état comme le Texas bascule à gauche et ce sera irréversiblement terminé.
L’unique solution pour les Blancs aux Etats-Unis est de faire sécession dans tous les états qui ont encore une nette majorité blanche. Si j’étais Américain ou si j’étais aux USA, c’est ce que je soutiendrais : la sécession des états blancs pour former une fédération euro nord-américaine.
Quand Biden désigne les « terroristes intérieurs » ou « domestiques » tout en dissertant sur la « suprématie blanche », je pense que c’est à cela qu’il fait référence : la sécession des états blancs qui refusent d’être détruits par le gouvernement central contrôlé par les juifs.
Le Parti Républicain contrôlé par la grande bourgeoisie d’affaires pense pouvoir revenir au statu quo ante, i.e. 2015. Il n’y a aucune chance pour que cela arrive. Le plus probable est qu’un parti populiste émerge à droite et lui prenne au moins la moitié de son électorat pour définitivement briser les Républicains et rendre impossible une [fausse] solution électorale.
C’est sur cette base qu’une sécession implicitement raciale pourra avoir lieu d’ici une dizaine d’années.
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