Capitaine Harlock
Démocratie Participative
05 janvier 2018
Il semble que ces grands amis de l’humanité que sont les communistes aient décidé de faire du zèle.
Le reste du temps occupées par l’organisation de l’invasion de l’Europe par les masses de pouilleux afro-musulmans, ces quelques ruines du stalinisme ont réussi à trouver quelques instants pour exiger la destruction d’une stèle érigée en hommage aux soldats de la 17ème Division Blindée des Waffen SS « Götz von Berlichingen ».
RTL.lu :
D’après Le Républicain Lorrain, une stèle nazie a été érigée sur un terrain privé d’un petit village du Pays de Bitche, en Moselle-Est.
Une enquête pour apologie de crimes contre l’humanité a été ouverte jeudi par le parquet de Sarreguemines après la découverte dans un terrain d’une stèle en l’honneur de soldats nazis à Volmunster (Moselle), a-t-on appris auprès du parquet.
L’objet terrible du crime.
« Crimes contre l’humanité ».
Quel rapport avec cette unité de première ligne blindée ?
Selon le Républicain lorrain, qui révèle l’affaire, la stèle célèbre la 17e SS Panzergrenadier Division, dont une unité est suspectée d’avoir massacré 124 habitants du village de Maillé (Indre-et-Loire) le 25 août 1944.
Ouai, 73 ans après la guerre, « une unité » est « suspectée ».
Bref, ils n’ont rien.
C’est l’Affaire Méric de l’époque.
Dans le même temps, l’US Air Force est elle formellement coupable de la mort de plus de 75,000 civils en France, c’est-à-dire du plus grave crime de guerre recensé sur le territoire français.
Mais de ces 75,000 morts, cette presse communiste n’a cure.
Ils ne permettent pas de criminaliser la résistance européenne.
La plaque « est située dans un champ, propriété privée d’un Allemand qui vit en Allemagne », a indiqué à l’AFP le procureur de Sarreguemines, Jean-Luc Jaeg. Elle est visible des promeneurs, mais à l’écart du village situé dans le pays de Bitche, dans l’est du département, a-t-il précisé.
La stèle, dont on ignore quand elle a été posée, a été saisie jeudi après-midi par les gendarmes pour les besoins de l’enquête. Il s’agit tout bonnement d’une « pièce à conviction » explique encore le journal, citant le procureur.
En somme, la propagande rouge doit s’insinuer partout, y compris sur une propriété privée.
Sur la photo publiée par journal, on peut y voir le message suivant: » zu Ehren der Gefallenen der 17. SS-Panzergrenadier-Division. Drauf, dran und durch » soit « en l’honneur des morts de la 17e division SS Panzegrenadier ».
La découverte d’un tel monument « n’est pas commune, mais il y a déjà eu par le passé des rassemblements de néo-nazis et de sympathisants du IIIe Reich dans le pays de Bitche », selon le procureur.
Dans un communiqué publié sur Faceboook, le secrétaire départemental du Parti communiste de Moselle, Jacques Maréchal, a exprimé sa « profonde colère et (son) indignation ». Il a qualifié les faits d' »insulte à la République, à ses idéaux et à toutes les victimes de la guerre et du nazisme ». Il a annoncé qu’il déposerait « une plainte dans les prochains jours, au nom des communistes de Moselle ».
Ha ! Cette vermine rouge qui semait la mort en France au nom de l’URSS de Staline ! Et cela pour ne rien dire des quelques 100 millions de victimes qu’ils ont exterminé.
La Waffen SS est l’organisation militaire qui a le plus efficacement fait barrage au torrent de la barbarie rouge sur l’Europe. Et cela est indéniable. C’est pour cela qu’elle déchaîne la haine de ces hyènes.
C’est la Waffen SS qui a, au prix de sacrifices inouïs, empêché la bolchevisation intégrale du continent. Bolchevisation qui aurait mené à un carnage fantastique sur ordre de l’égorgeur du Caucase Staline.
Chez nous, les exemples d’exactions par ces bandes terroristes communistes sont légions.
Un seul exemple, récemment rapporté, en Bretagne :
Il s’agit de Marie-Jeanne Le Noac’h (22 ans), de Jeannette Laz (21 ans) et Yvon Toulgoat (26 ans). Un des assassins de ces innocents, agissant sur ordre du PCF, est le meurtrier de l’abbé Yann-Vari Perrot.
Néanmoins, elles furent tondues, goudronnées et promenées dans le bourg sur deux chevaux. Un simulacre de jugement mené par le commandant FFI de la place, un chef FFI fils du médecin local, et trois résistants FTP (le « colonel » responsable du second parachutage de Miné-Kervir, le présumé exécuteur de l’abbé Perrot et le fils d’une commerçante déportée) condamna à mort les deux jeunes filles ainsi qu’Yvon Toulgoat, 26 ans, qui avait la réputation d’être un « délateur ».
Séquestrées dans une étable, les jeunes filles seront battues, violées en collectivité et subiront d’autres mauvais traitements. Au petit matin du jeudi 10 août, le trio de condamnés fut fusillé à Stang-Blanc, où se cachaient les Résistants durant l’Occupation. Un témoin rapporta « qu’une des filles avait été mise encore vivante dans le cercueil : le colonel FTP l’acheva de deux coups de pistolet en pleine tête ». Dans la matinée, le commandant de la place se rendit à la mairie pour faire les déclarations de décès et situa le lieu de décès « au bourg, son domicile ». Le maire de l’époque contresigna cette déclaration, sous la menace semble-t-il.
Et ce n’est là qu’un hors d’oeuvre tant la liste des exactions rouges contre la population civile est longue.
La clique communiste qui a livré l’Europe aux pires crimes que le continent ait jamais connu croit encore pouvoir menacer, malgré l’effondrement total de sa base.
Il est temps de rappeler, qu’à l’instar de l’Ukraine, cette vérole ùarxiste sera extirpée.
Au reste, plutôt que d’écouter cette ignoble presse répandre ses insanités, on lira l’oeuvre incontournable traitant de la Waffen SS : « L’Ordre SS, éthique et idéologie » d’Edwige Thibault préfacé par le Général des Waffen SS Léon Degrelle.
On prendra également d’écouter le témoignage du soldat de la Division SS Charlemagne André Bayle. Tous les bobards sont rigoureusement démontés avec une sincérité indiscutable, André Bayle étant ensuite passé par le paradis rouge soviétique.
En réponse aux provocations des ordures marxistes, la destruction des statues ou plaques commémorant des terroristes rouges paraît être, plus que jamais, à l’ordre du jour.