La rédaction
Démocratie Participative
03 janvier 2023
Avec l’aide des boomers communistes, le pakpak Qamar a mis au pas la préfecture du Morbihan
Sophie Paitier est une femme blanche qui est journaliste pour Le Télégramme, à Lorient.
Elle a une « belle histoire » à offrir aux lecteurs pour commencer 2023.
À Lorient, c’est la très belle histoire de ce début d’année. Qamar Zaman, Pakistanais, sourd-muet, menacé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF), a enfin obtenu le statut de réfugié.
« C’est une belle victoire. On est content pour lui et on est content de nous ». François Nicolle, bénévole à la Cimade, l’association qui apporte un soutien politique aux réfugiés politiques, est intarissable sur le parcours extraordinaire de Qamar Zaman, Pakistanais, sourd et muet, discriminé pour son handicap dans son pays, qui a échappé de peu à deux obligations de quitter le territoire français (OQTF). Il vient d’obtenir le statut de réfugié politique, accordé par l’Ofpra (Office français de protection des réfugiés et apatrides), grâce à l’action des bénévoles de la Cimade. Il ne sera pas renvoyé par un vol sans retour vers le Pakistan, où l’attendaient les pires brimades que lui vaut, dans son pays, le fait d’être né sourd et muet. Il va pouvoir reprendre son travail à la ferme de la Croizetière, à Riantec, qui l’attend avec impatience.
Le boomer communiste François Nicolle dans ses oeuvres
« Il préfère mourir que de retourner au pays, confiait au Télégramme en juin 2021 François Nicolle. Il a peur des représailles de son État. Il a fui son pays en 2017 à pied et en camion stop pour trouver une meilleure situation à Lorient, où un ami d’enfance franco pakistanais vivait. Au Pakistan, Qamar a été exploité dès son plus jeune âge, ne pouvant pas aller à l’école et travaillant comme soudeur pour un salaire dérisoire, à cause de son handicap. Marié et père de trois enfants, Qamar vendait des légumes de son jardin pour survivre ».
Arrivé à Lorient, après un périple d’un an et de grandes souffrances, l’association Optim’ism l’avait pris sous son aile. Ses qualités de maraîcher et de soudeur étaient appréciées à la ferme de la Croizetière.
Cette ferme écolo-communiste est en réalité une vitrine de passeurs.
Moyennant des emplois fictifs temporaires, les larbins du monde entier qui transitent par cette ferme reçoivent la paperasse nécessaire grâce à ses appuis préfectoraux.
Nello Hardy (Optim’Ism), devant les serres, à la Croizetière, avec deux maraîchères, Ying et Angela, qui préparent des semis de choux de Bruxelles. À droite, un panier de légumes de saison, dit « solidaire ». |
Un petit bonheur, menacé par le rejet de renouvellement de son titre de séjour. La préfecture du Morbihan voulait l’expulser. Une demande d’asile politique auprès de l’Ofpra avait été déposée en juin 2021. Pour la préfecture du Morbihan, une manœuvre dilatoire. Par deux fois, il avait été convoqué au commissariat de Lorient, où la date d’un vol retour par le Pakistan lui avait été communiquée.
Manifestation de soutien devant la sous-préfecture de Lorient à Qamar, maraîcher pakistanais, sourd et muet, menacé d’expulsion. (Le Télégramme/Anne-Cécile Juillet)
C’était sans compter avec la covid, qui a contraint la compagnie aérienne pakistanaise à annuler les vols, avec la mobilisation et la ténacité des défenseurs des Droits de l’Homme de la Cimade, la pétition qui a recueilli 35 000 signatures, avec aussi la procédure menée par deux policiers « qui ont fait consciencieusement leur travail », tient à souligner François Nicolle. Ils ont pris le temps d’écouter et de désigner un intermédiateur qui a pu traduire et aider Qamar Zaman à expliquer sa situation. Car comment expliquer son parcours de persécuté, quand on est sourd, muet et analphabète ? « Qamar a été reçu par l’Ofpra en septembre 2022, qui a reconnu sa grande vulnérabilité et lui a accordé le statut de réfugié fin décembre, contre l’avis du tribunal administratif, du conseil d’État et de la préfecture. Il a été entendu. La Cimade a été entendue », se réjouit François Nicolle.
Après cette première bataille gagnée, la Cimade va en mener une seconde. Celle du rapprochement de la famille de Qamar, que lui permet désormais son statut de réfugié. Qamar a une épouse et trois enfants qui sont encore au Pakistan. La Cimade va entamer la procédure pour les faire venir en France. « On espère faire une belle fête dans un an, quand ils seront là », conclut François Nicolle.
Bingo, la smala pakistanaise de Qamar arrive !
Personne n’aurait pu anticiper une telle chose.
Une femme et trois enfants qui auront tôt fait de maîtriser le fonctionnement élémentaire de la CAF et de toute la pléthore d’aides mises à disposition des métèques par le régime républicain. Ces « trois enfants », au vu de l’âge de Qamar, en ont déjà eux-mêmes en beau nombre dans leur Pakistan natal, au moins un ou deux par tête, ce que l’on ne communiquera qu’ultérieurement aux autorités françaises, une fois sécurisés les titres de séjour.
Au total, ce n’est rien de moins qu’une douzaine de vibrants colons pakistanais qui viendront remplacer les descendants de chouans du pays de Lorient grâce à l’aide du communard François Nicolle, de ses amies retraitées de l’Éducation Nationale et, bien entendu, de la presse rouge financée par l’État que les services préfectoraux ont à coeur d’apaiser.
Le turbo dysgénisme en action !
Les enfants pakistanais de Qamar vont très bien s’assimiler avec les Maghrébins et les Turcs de Lorient !
Au total, pour un seul déchet biologique du Pakistan, nous récolterons en réalité une douzaine de pouilleux mahométans qui se reproduiront à toute allure pour rejoindre le front islamique en Bretagne.
Préfecture maçonnique, patronat crapuleux, marxistes fanatisés, boomers prêts à tout pour détruire l’univers, femmes blanches passionnées par les bites marron : rien ne manque au tableau de la Cinquième république finissante.
Et tout cela, avec les dettes de l’État français que les travailleurs blancs devront rembourser à leurs créanciers juifs.
Pour 2023, souhaitons à Sophie Paitier de se faire violer collectivement par un gang de bistres pour les services rendues aux envahisseurs.