Capitaine Harlock
Démocratie Participative
08 mars 2018
D’entre tous les fumiers qui ont participé à la progression fulgurante de la corruption et du pourrissement des esprits en France, Tapie occupe une place de choix.
Cet immonde rat, avec l’aide du youpin de Salonique Sarkozy, avait tenté de truander près d’un demi-milliards d’euros au prolétariat français.
Pas un Français n’a pas dû passer à la caisse pour le Crédit Lyonnais.
Mais Tapie s’approche rapidement de la tombe.
Depuis, il voit la vie différemment. «Quand tu as la santé et qu’autour de toi ils l’ont aussi, putain, chaque jour qui se lève c’est une fête!», lance le septuagénaire. «N’attends pas d’avoir perdu la santé pour te rendre compte que la vie est essentielle», explique celui qui s’imagine volontiers en porte-parole «de ceux qui souffrent du cancer» mais aussi de ceux qui «craignent d’avoir cette maladie». Bien sûr, il pense à la mort. «J’y pense puisqu’elle est probable», admet-il. Et d’ajouter: «Mais j’ai une relation assez simple avec tout cela. D’abord parce que je suis croyant. Ma relation à la mort est lucide et décomplexée, sans crainte et sans peur».
Il revient ensuite sur «un autre cancer», celui qui date de 1995: l’affaire du Crédit Lyonnais. Il confie son envie d’en finir avec cette histoire qui pourrit la vie à ceux qu’il aime. L’occasion de revenir brièvement sur les affaires. La prison? Ce n’est pas son pire souvenir. C’est les procès qui ont été «la pire chose». «Quand je suis arrivé à la Santé, j’ai été accueilli par un concert de casseroles. Aujourd’hui encore, personne ne me considère comme un taulard!», affirme Bernard Tapie. «Ce qui m’a le plus atteint, c’est le procès dans l’affaire VA-OM», continue ce dernier.
Dans ce long entretien, l’ancien ministre revient également sur son parcours politique. Sa première rencontre avec François Mitterrand, les européennes de 1994, Michel Rocard… et Jean-Marie Le Pen. «Plus aucun homme ne voulait débattre avec lui (dans les années 1990, ndlr), il était capable de tous les excès», se rappelle Bernard Tapie. Sur Emmanuel Macron, il a le sentiment d’avoir «affaire à un homme sensible et intelligent», sur le plan humain. En ce qui concerne la politique, il prévient: «Attendons de voir la manière dont il passera les chicanes qu’il a lui-même tracées». Il revient ensuite sur son autre passion, le sport, avant de confier que le match de sa vie c’est «le cancer». Et de conclure: «Mais je ne suis pas sûr de le gagner».
Je vous dis que ce type doit sérieusement commencer à cogiter.
Pour résumer la vie de ce pourri de première catégorie, il suffit de visionner ce documentaire. Il résume tout : l’antifascisme de cirque au service du fric et du socialisme juif.
Ce cafard n’a pas fait plus d’un an de taule. Ce qui résume tout.