Captain Harlock
Démocratie Participative
20 juin 2018
Apparemment, jouer à la Playstation 4 est une maladie mentale, dans certains cas.
BFMTV :
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) classe désormais l’addiction aux jeux vidéo parmi les pathologies mentales. Elle concernerait 2 à 3% des joueurs. Les professionnels du secteur dénoncent un manque d’éléments probants.
Les protestations des éditeurs de jeux n’auront rien changé. L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a reconnu l’addiction aux jeux vidéo comme une maladie mentale. Les troubles liés au « gaming » ont été ajoutés à la classification internationale des maladies (CIM-11), où sont référencées par code différentes pathologies. Elle pourrait permettre, dans certains pays, la prise en charge des traitements pour lutter contre cette addiction.
« Nous sommes convaincus que nous avons pris la bonne décision », a déclaré Shekhar Saxena, directeur du département de la santé mentale au sein de l’OMS, le 14 juin à Genève. « Nous pensons que l’inclusion de ce trouble dans la CIM-11 (…) permettra aux pays d’être mieux préparés à identifier ce problème et de fournir des méthodes de traitement préventif », a-t-il ajouté.
Par contre, se couper la bite et se teindre les cheveux tout en assurant que l’on est une femme relève, c’est entendu, du comportement le plus normal qui soit.
Têtu :
C’était une mesure attendue, souhaitable et surtout souhaitée. L’OMS vient enfin d’annoncer qu’elle allait sortir l’identité transgenre de sa liste des maladies mentales. À l’occasion d’une nouvelle version de sa Classification Internationale des Maladies (CIM-11), l’institution qui jusqu’alors classait la transidentité parmi les « troubles mentaux et du comportement » s’est enfin décidée à revoir sa copie. Un vraie victoire pour les associations de personnes transgenres.
Dans un communiqué publié sur sur son site, l’OMS explique que » la non-cohérence de genre » (comprendre: l’incohérence entre le sexe assigné à la naissance et le genre ressenti et vécu par la personne) figurera désormais au chapitre consacré à la santé sexuelle. Cette nouvelle classification évitera que les systèmes de santé cessent de prendre en charge les frais liés l’accès aux soins, aux éventuels traitements hormonaux ou à la chirurgie. On ne peut donc pas encore parler d’une totale « dépathologisation » de la transidentité mais c’est un pas dans la bonne direction.
En effet, parler de cas psychiatriques est délirant.
Donc, désormais, quand un de ces cas psychiatriques voudra se faire faire des piqûres hormonales, ce sera aux frais du prolétariat blanc.
Et nous serons priés de les remercier.
Par contre, décompresser sur GTA sera suspecté de pathologie mentale.
Il est grand temps de démanteler l’ONU.
Cette organisation juive empoisonne depuis trop longtemps les peuples.