L’OLRA, organisation juive qui capitalisait sur le racisme antiblanc, décide de passer en mode full LICRA sur ordre du QG israélien

Captain Harlock
Démocratie Participative
21 novembre 2019

 

Ha !

C’est allé vite

Je n’apprendrais rien à personne en rappelant ici que les juifs sont toujours du côté de tous les belligérants, assurance-vie indispensable pour le Kahal en cas de revirement inattendu.

Nous le savons depuis le 8ème siècle, époque à laquelle les juifs ouvrirent les portes des villes espagnoles aux musulmans, allant jusqu’à les garder pour permettre aux troupes mahométanes de continuer leur progression vers le nord. Le but racial des juifs était d’abattre les princes wisigoths, c’est-à-dire le pouvoir germanique dans la péninsule pour le compte de l’invasion sémite.

Peu de temps après, les mêmes juifs s’empressèrent de courtiser les Chrétiens subjugués afin de contre-balancer le pouvoir des nouveaux maîtres musulmans du pays.

Ce jeu perfide dura 7 siècles, 7 siècles durant lesquels un nombre incalculable d’Espagnols furent tués, convertis, réduits en esclavage, humiliés, torturés.

Pour la sécurité du peuple élu.

En France, à 12 siècles de distance, le juif a agi d’une manière identique.

Le juif ne change pas : il est le même partout et à toutes les époques, aussi bien du temps où le Romain Cicéron les dénonçait violemment qu’à l’époque où les hébreux exterminaient les patriotes perses par l’entremise de la putain juive Esther qui tenait le monarque de Perse entre ses cuisses.

Génocide que la juiverie célèbre encore lors de la fête de Pourim, pour ceux qui douteraient du fanatisme, de la perfidie et de la haine qui animent cette race maudite.

Les juifs, sauvés in extremis par la France en Algérie, entreprirent dès leur arrivée en métropole d’enseigner la haine des Français aux maghrébins qui ne tardèrent pas à les suivre, dès la fin des années 60.

Tout spécialement les juifs du Parti Communiste mais aussi ceux d’organisations comme la LICRA.

La juiverie algérienne, qui devait tout à la France depuis le 19ème siècle – à commencer par avoir la vie sauve – n’eut qu’une obsession : faire tuer, voler et violer des Français par des algériens et des nègres, organiser politiquement l’agitation raciale en France en faisant des afro-maghrébins leurs auxiliaires dociles.

En parallèle, pour paralyser la population blanche, la machine de guerre psychologique juive qu’est l’idole de l’holocauste fût proclamée religion officielle de l’État Français par la juiverie.

Cela fût obtenu par les procès Papon, Bousquet et Barbie où les Klarsfeld, agents d’Israël, se déchaînèrent.

Nous y sommes encore aujourd’hui.

L’institutionnalisation de la haine antiblanche devait être assurée par le dyptique sémitique holocauste/antiracisme, offrant à juiverie le contrôle définitif des masses autochtones prostrées.

Toute une batterie de lois terroristes d’inspiration hébraïque furent adoptées, à commencer par la loi Fabius-Gayssot.

Les maghrébins et les nègres eurent donc le droit à leur étoile jaune : la main jaune.

Le juif Julien Dray et le trotskiste Jean-Luc Mélenchon dans leurs œuvres

C’est l’origine de SOS Racisme monté de toutes pièces par les yids d’Algérie Jacques Attali, Georges-Marc Benhamou, Bernard-Henri Lévy.

Un témoin intérieur, mi-juif mi-maghrébin, en a témoigné chez Ardisson.

Regardez ce témoignage, vous comprendrez jusqu’où sont prêts à aller les juifs pour anéantir un pays.

On pouvait voir de gros juifs d’Alger comme le communiste Roger Lévy dit « Hanin » s’exhiber dans des films antiracistes et pro-arabes du style « Train d’enfer ».

Entre deux attaques féroces contre Jean-Marie Le Pen.

Ou le militant ultra-sioniste Patrick Benguigui dit « Bruel », né Tlemcen, faisant également dans l’anti-Lepénisme chez la youpine Schwartz dit « Sinclair », épouse du non moins juif socialiste Dominique Strauss-Kahn.

Une hostilité au nationalisme et une arabophilie toutes relatives.

Aussi dénué de scrupules que soit le juif, il reste profondément stupide.

Le stratagème qu’il avait patiemment mis au point pour détruire la race blanche en France se retourna contre lui à l’occasion d’un événement bien précis : la deuxième intifada en Palestine, en 2000.

Chauffés à blanc, les maghrébins se mirent à cibler des juifs sur le territoire français.

Depuis, les choses n’ont pas varié entre les arabes et les juifs à propos de la colonie juive de Palestine.

Suite aux réactions ultra-violentes des arabes après la visite de Sharon sur le Mont du Temple, les juifs comprirent que quelque chose avait radicalement changé et que leurs petits protégés pouvaient se retourner, de temps à autre, contre leurs parrains.

Les juifs adoptèrent progressivement des contre-mesures en militarisant la laïcité pour tenir en respect les musulmans sans enfreindre le dogme antiraciste à proprement parler.

Il s’agissait pour Moshé de faire (((l’éducation républicaine))) de Kader et Karim pour rétablir l’ordre et reprendre la marche contre les Blancs.

Ce fût le rôle dévolu aux laïcards enjuivés de Charlie Hebdo. La publication en 2006 des caricatures de Mahomet par ce journal fut une opération juive pour dresser l’opinion contre les mahométans tout en tenant à distance l’extrême-droite blanche, tout autant haïe des juifs.

L’avocat de Charlie Hebdo n’était autre que le juif Richard Malka, de la bande à Bernard-Henri Lévy. On le voit à 0:23′ après Philippe Val.

Et bien sûr le youtre Kiejman.

Quelques temps après, en 2006, le juif Sarközy décida d’utiliser politiquement pour la première fois le thème du « racisme antiblanc ».

Lors des manifestations du CPE où Sarközy donna l’ordre aux flics de permettre aux racailles maghrébines d’exploser des boloss en plein Paris pour dresser la bourgeoisie blanche contre Villepin, premier ministre de Chirac, qu’il voulait flinguer dans l’opinion et qui avait le mauvais goût d’avoir résisté aux juifs néo-conservateurs lors de la Guerre d’Irak en 2003.

Le terrain avait été préparé l’année précédente, en 2005, par une organisation sioniste – au sens littéral -, l’Hachomer Hatzaïr.

Une pétition fût lancée avec des signataires que nos lecteurs connaissent très bien.

L’Obs :

Dans un texte controversé publié sur internet vendredi 25 mars à l’initiative du mouvement sioniste Hachomer Hatzaïr et Radio Shalom, des personnalités dont Alain Finkielkraut, Jacques Julliard et Bernard Kouchner, ont dénoncé des « ratonnades anti-blancs » lors des manifestations lycéennes des 15 février et 8 mars à Paris. Celles-ci ont été troublées par plusieurs agressions, souvent à coups de pied et de poing, par de jeunes garçons d’origine africaine contre des lycéens blancs.

Bernard Kouchner est soucieux du sort des Blancs.

Opération juive de contre-insurrection antiblanche

Les juifs montent une opération systématique de contre-insurrection de type militaire sur deux fronts : contre les musulmans et contre les Blancs.

Il s’agit de conserver le contrôle de la narration dans les deux camps en cooptant ceux qui ont le droit de passer dans les médias juifs pour servir de ventriloques aux hébreux.

Pour les maghrébins, vous avez les Zohra Bitan – maqué à un juif – ou les Zineb Rhazoui de la #TeamBHLCharlieHebdo.

Cette beurette a table ouverte chez les juifs et elle le sait parfaitement.

Les juifs choisissent intentionnellement des femmes car ils savent que l’on subvertit un peuple en corrompant ses femmes.

La véritable force de l’islam réside dans son patriarcat. Les experts israéliens ont identifié les musulmanes comme la cible à atteindre pour abattre l’islam.

Chez nous, c’est la même chose. Cela fait cinquante ans que les juifs ont embrigadé les Blanches dans leur guerre d’extermination contre l’homme blanc.

A droite, cette opération de contre-insurrection débouche sur des Marion Maréchal, fille d’un agent d’Israël reconnu : Roger Auque.

L’OLRA : le racisme antiblanc instrumentalisé par les juifs

Dans cette guerre de contre-insurrection, les juifs se répartissent les tâches afin de trianguler à leur profit les tensions entre les différents groupes raciaux.

En ce qui concerne les Blancs, les juifs doivent empêcher à tout prix l’émergence d’une conscience raciale blanche. L’objectif de l’appareil politique juif est d’empêcher que les Blancs n’agissent en fonction de leurs propres intérêts tribaux et ne se retranchent du système contrôlé par les juifs qu’est la démocratie cosmopolite.

En les maintenant dans le bain de l’anomie démocratique, les Blancs pédalent pour faire tourner une machine au cœur de laquelle se trouvent cachés les intérêts sémitiques, camouflés sous des abstractions dont on sature les cervelles grâce aux médias juifs.

Quand un Blanc paie ses impôts en servant la « république », il ne sert que les juifs qui la contrôle.

« La démocratie », « la république », « les droits de l’homme », « la tolérance », « l’égalité » et autres stupidités issues de la Torah ne sont que des écrans de fumée pour désorienter le Blanc.

Les yeux rivés sur des mots, il ne voit pas qu’il sue très concrètement sang et eau pour la juiverie.

C’est ce que fait la (((France Libre))) avec ses nègres et ses maghrébins pédés : convaincre les Blancs de ne pas basculer dans le racisme, de ne pas sortir de la matrice démocratique juive, de ces abstractions hébraïques qui sont autant de mirages de prestidigitateurs juifs.

Le juif sait que le racisme blanc est une menace mortelle pour lui car il annonce inévitablement la fin de son propre parasitisme racial.

La pilule rouge.

C’est là que l’on voit le culot de cette race : brûlant d’un patriotisme racial de tous les instants, elle interdit strictement aux Blancs de défendre leur propre peuple sur leurs terres ancestrales.

Ce qui vaut d’ailleurs pour les Blancs comme pour les arabes de Palestine.

Avec les juifs, les Blancs sont des arabes comme les autres

J’en viens donc à cette fameuse association de « lutte contre le racisme antiblanc » qui, depuis l’origine, est un instrument entre les mains des juifs : l’OLRA.

Son intitulé est mensonger.

Comme toujours dès lors que les juifs ouvrent la bouche, ils cherchent à dissimuler leurs véritables intentions.

Il n’a jamais été question de lutter contre le « racisme antiblanc » ou les ennemis des Blancs – au premier rang desquels figurent les juifs – mais de maintenir les Blancs en état de faiblesse chronique face à leurs ennemis raciaux en leur interdisant le réflexe du racisme salvateur.

Il s’agit, en substance, de faire des Blancs « des arabes comme les autres » en France.

Sous la féroce tutelle juive, bien entendu.

Moshé soutient donc Jean-Marc contre Karim qui l’a traité de « sale céfran » tandis que Schlomo soutient Mohammed contre Aurélien qui l’a traité de « sale bougnoule ».

Fais-moi confiance, Pierre, je lutte contre le racisme antiblanc

Les juifs canalisent de cette façon l’instinct de survie des Blancs, le retourne contre eux en confortant le dispositif défensif juif qu’est le système antiraciste, renforçant ainsi la sécurité du parasite hébraïque.

Ainsi donc, vous vous retrouvez dans une situation où plus vous luttez contre le racisme antiblanc, plus vous renforcez le pouvoir juif qui préside au système antiblanc.

C’est la caractéristique du vampire : il se nourrit de la dévitalisation de sa victime jusqu’à ce que mort s’en suive. Ensuite, il se met en quête d’un nouvel hôte.

Mais cette thématique semble avoir été jugée contre-productive par les juifs.

Ils sont arrivés à un stade où mentionner le racisme antiblanc pour le contrôler contribue encore à éveiller l’instinct racial blanc.

Il est donc temps de changer de fusil d’épaule et de créer une énième LICRA.

Si vous voulez ne jamais vous tromper sur cette terre, en ce pays et à cette époque : haïssez le juif avec fanatisme.

La haine du juif est la boussole qui permet de ne jamais s’égarer.