Lola veut plus de femmes sur scène dans les concerts de Metal, de gré ou de force

La rédaction
Démocratie Participative
12 août 2022

 

Désolé, mais il n’y aura pas de safe space pour les hommes blancs qui veulent faire de trucs de mecs avec d’autres mecs.

Vous serez conquis jusque dans votre dernier mètre carré.

Leurs alliés beta les y aideront.

Lola, comme toutes les femmes, fonctionne biologiquement sur le principe de l’hégémonie vaginocratique totale, condition au règne de l’hypermanie sans entrave.

Il y a systématiquement une contradiction qui revient dans ce discours sur la mise au pouvoir des femmes partout : elles sont censément « égales » aux hommes en tout, mais doivent supplier les hommes de leur céder la place pour prouver qu’elles leur sont égales en tout.

Pour que la discussion n’en vienne à la question du potentiel et du talent que les femmes perdraient systématiquement puisqu’elles sont inférieures aux hommes dans les arts et ce de manière écrasante, les femmes tentent de culpabiliser en boucle les hommes, tantôt par la séduction apitoyée (faisant miroiter un accès au sexe facilité, ce que les beta achètent tout le temps), tantôt par les menaces hystériques.

Derrière le mythe de l’égalité, Lola – et ses doubles féminins – veut envahir la scène pour accéder à cette attention exclusivement masculine dont elle a besoin pour fixer les nouvelles règles du jeu vaginocratique dans cette niche socio-culturelle, comme elles les ont créées partout ailleurs avec l’aide des mâles beta.

Et quand ce qu’il reste de cette scène blanche, déjà marginalisée par la submersion du rap ultra viriliste, sera finalement féminisée grâce à l’intervention de BIG MOTHER, i.e. le ministère de l’Acculture, elle n’intéressera plus le public masculin blanc qui composait 95% de sa fanbase, parce qu’elle tournera exclusivement autour de l’hypergamie féminine et du clitoris.

Tout comme les noirs n’ont de rapport au monde qu’à travers leur peau noire, les femmes n’ont de rapport au monde qu’à travers leur clitoris. Il n’y a rien d’autre, c’est du littéralisme biologique.

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