Captain Harlock
Démocratie Participative
10 août 2019
Ce pays manque de diversité, il va falloir changer ça
La vermine juive a lancé une violente offensive contre la Lituanie, prélude à l’invasion islamo-négroïde du pays.
La communauté juive de Lituanie a rouvert ce jeudi la synagogue de Vilnius après que les responsables politiques de ce pays balte ont assuré de garantir sa sécurité malgré les nombreuses menaces qui ont conduit à sa fermeture mardi. La dirigeante de la communauté juive, Faina Kukliansky, a félicité ce jeudi le président Gitanas Nauseda et le premier ministre Saulius Skvernelis pour leurs garanties de sécurité et leurs messages de soutien. «Nous ne voyons pas la menace pour le moment et nous faisons confiance au dirigeants de l’Etat qui ont offert des garanties de sécurité», a-t-elle déclaré à l’AFP, confirmant que la synagogue et le siège de la communauté avaient été rouverts.
Deux jours plus tôt, elle avait annoncé leur fermeture après avoir reçu «des appels téléphoniques et des lettres de menaces».
C’était un calcul des juifs pour soumettre publiquement le gouvernement lituanien.
Ces vipères hurlent au génocide sur la seule base d’allégations sorties dont ne sait où avant d’exiger dans la foulée une soumission totale de l’État. Cette soumission se traduit par une série de privilèges exorbitants accordés à chaque youtre.
Dans ce climat de terreur, chaque nouvelle demande est associée à une liste d’accusations plus outrancières les unes que les autres mais chaque demande est violemment défendue par l’hydre médiatique hébraïque internationale.
A la minute où vous cédez un pouce de terrain devant ces sales youpins, vous avez perdu votre pays.
Les tensions sont liées à une controverse sur le rôle joué pendant la guerre par deux officiers lituaniens, Jonas Noreika et Kazys Skirpa, qui selon la Communauté juive lituanienne (CJL) ont été impliqués dans l’Holocauste. Le 27 juillet, à l’initiative du maire de Vilnius, Remigijus Simasius, une plaque commémorant Jonas Noreika a été retirée d’une bibliothèque du centre-ville.
Selon le maire, cette mesure a été prise compte tenu du fait que Jonas Noreika avait approuvé la décision de l’administration nazie de créer un ghetto juif et de saisir les biens juifs. Le 24 juillet, le conseil municipal de Vilnius a décidé de débaptiser une rue du centre portant le nom de Kazys Skirpa, diplomate et officier lituanien du XXe siècle, en raison de ses opinions ouvertement antisémites. Les critiques assurent que ni Noreika ni Skirpa n’ont collaboré avec le régime nazi et qu’ils étaient des combattants pour l’indépendance lituanienne.
Vous voyez ?
Vous devez renier vos héros nationaux pour faire plaisir à Schlomo et sa bande de rabbins puants. Ce que s’empressent toujours de faire des politicards démocrates qui doivent leur carrière à la bienveillance de la banque juive, de la presse juive.
La Lituanie étant devenue une simple province de l’UE, donc du yiddishland, le train de demandes ne va plus cesser d’enfler.
Les deux mesures, saluées par la communauté juive, ont provoqué un très vif débat qui, selon la LJC, a été alimenté par des hommes politiques. La fermeture de la synagogue et du siège de la communauté a provoqué la colère d’autres organisations juives en Lituanie, qui ont affirmé qu’elles se sentaient en sécurité et n’avaient pas été consultées à ce sujet. Le président Nauseda a promis mercredi la tolérance pour tous les citoyens lituaniens, sans distinction d’appartenance ethnique, tandis que le Premier ministre Skvernelis s’est engagé à lutter contre la haine.
Avant la Seconde Guerre mondiale, la communauté juive de Lituanie, comptait 60.000 membres. La plupart d’entre eux périrent sous l’occupation de l’Allemagne nazie entre 1941 et 1944. Aujourd’hui, elle compte environ 3000 personnes dans un pays de 2,8 millions d’habitants. Les attaques antisémites sont très rares.
Oui, vous lisez bien : 3,000 youpins arrogants tiennent entre leurs mains un état de près de 3 millions de personnes entre leurs mains.
Avez les juifs, c’est pourtant simple : il suffit de dire non.
Mais aucun dirigeant ne dit non aux juifs au prétexte qu’ils hurlent et menacent. C’est toujours le peuple qui finit par s’enflammer face à l’arrogance de cette race diabolique, poussant le pouvoir à choisir entre les escrocs de Palestine et le lynchage par la population.
C’est d’ailleurs ce qui distingue une révolution d’une contre-révolution. Une révolution est antisémite.
A un moment, le peuple comprend que la seule façon d’en finir est d’attraper le juif par le col, directement.
Si les nationalistes lituaniens ne clarifient pas les choses rapidement, la Lituanie sera dévorée par ces piranhas et les charters de créatures négroïdes sous contrôle juif inonderont la capitale.