L’islamiste algérien à la tête de la Grande Mosquée de Paris appelle au djihad électoral contre les Français

La Rédaction
Démocratie Participative
12 juin 2024

 

« Notre nation »

Il parle bien de la nation algérienne ?

Rassurez-moi, ce mahométan figure sur la liste noire des expulsions publiée le 8 juillet ?

J’aimerais en savoir plus.

La dénaturalisation existe. Il faut s’en servir.

Que songe à faire le gouvernement RN contre cette cinquième colonne de rats algériens qui jusqu’au bout provoque à outrance l’homme blanc ?

Sans pression, le futur gouvernement RN risque rapidement de s’endormir sur ses lauriers, tout particulièrement sous l’influence de Marine Le Pen qui ne va pas cesser de se mêler du travail des hommes au prétexte qu’elle se présente en 2027 et qu’elle ne veut effrayer personne.

Cette vilaine influence gauchisante va devoir être vivement contenue.

Il faut des avancées tangibles et l’une des meilleures façons de mesurer une avancée est le nombre de maghrébins renvoyés dans leur bled. Ce n’est pas négociable.

Je veux donc savoir combien de ces bicots vont être expulsés durant la première année du gouvernement Bardella.

En étant pragmatique, commençons par les pouilleux en situation irrégulière. Nous avons entre 700,000 et 900,000 migrants clandestins sur le territoire français.

Ici, à Democratie Participative, nous exigeons la création d’une unité de police spéciale dédiée à la traque des migrants clandestins, laquelle s’appuierait sur un vaste réseau d’informateurs sur tout le territoire. Nos lecteurs seraient à n’en pas douter extrêmement enthousiastes à l’idée de contribuer à cette oeuvre d’hygiène raciale.

Nous sommes prêts à contribuer à ce travail par une mobilisation démocratique et participative de bénévoles.

Il est évident que la police actuelle est débordée et que sans cette unité spéciale, qui doit être pourvue de moyens exceptionnels, tant financiers qu’humains et matériels, jamais ces quelques 900,000 sous-hommes ne pourront être attrapés et expulsés.

« Bonjour. Nous souhaitons vérifier votre arbre généalogique. »

J’ajoute que ces déchets biologiques vont inévitablement brûler leurs passeports et prétexter être amnésiques pour qu’on ne puisse pas les dégager dans leurs pays d’origine. Face à cela, il faut construire en Guyane un large réseau de centres de rétention sur le modèle australien.

Tant que ces bandits étrangers refuseraient de révéler d’où ils viennent, ainsi que leur identité, ils devraient être parqués au milieu de la jungle, cernés par la faune la plus hostile d’Amazonie sous la garde de la Légion étrangère.

Sans cela, nous végéterons.

Je ne veux rien savoir des prétextes démocratiques de Marine Le Pen sur ce sujet pour ne rien faire.

Je veux des résultats dans les douze mois. Tout le monde veut des résultats dans les douze mois.

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