« L’islamisme n’a rien à voir avec la religion ! » : Marine Le Pen dénonce l’extrémiste de droite Darmanin lors d’un débat insignifiant

Captain Harlock
Démocratie Participative
12 Février 2021

Je suis en février 2021, près de 4 ans après le débat du second tour de 2017 et le temps est figé. Le pachyderme médiatique Marine Le Pen occupe toujours autant d’espace médiatique en dépit de sa nullité qui s’est pourtant spectaculairement accentuée.

Non-évènement des non-évènements, l’alcoolo-tabagique a donc péniblement décuvé hier pour « débattre » avec le judéo-maure Moussa Darmanin – littéralement décuvé.

Elle est apparue totalement vieillie, usée, fatiguée. Elle peine à enchaîner des arguments simples, pour ne rien dire d’une pensée construite. Elle se traîne péniblement. L’effet de l’alcool et du tabac couplé à un désintérêt manifeste pour tout ce qui l’entoure – sauf ses chats – s’affiche sans retenue.

Marine Le Pen accomplit sa destinée de touriste ultime.

Comme les lecteurs assidus de Démocratie Participative devaient s’y attendre, le résultat a été calamiteux. Au point que Darmanin a pu accuser cette horrible femme d’être « molle ». Je ne peux pas donner tort à Moussa tant Marine Le Pen se situe ostensiblement à gauche, jouant le rôle d’une sorte d’assistante sociale affligée. Mais comme je le disais plus haut, ce n’est plus seulement l’argumentaire, c’est l’attitude. Marine Le Pen est mentalement en pré-retraite. Hormis les chats et Mayotte, rien ne peut faire jaillir une petite étincelle de vie sur son visage labouré par la clope et le vin blanc.

Pour en revenir au « débat », la sortie qui m’a le plus séduit est ce poncif mélenchoniste : « L’islamisme n’a rien à voir avec l’islam ».

Tel quel.

Darmanin : Vous avez dit, « c’est pas une question de religion, c’est une question d’idéologie ». Nous sommes d’accord, c’est une question d’idéologie. Simplement, on peut considérer qu’il y a une part sectaire de l’islam qui devient l’islamisme politique, radical, l’islamisme tout court. Donc moi je ne suis pas comme vous, je dirais qu’il y a quand même une part de l’islam qui dérive…

L’alcoolo-tabagique : Non, je crois que c’est vous qui commettez une erreur en vous attaquant aux religions… c’est une idéologie l’islamisme… et on peut parfaitement la séparer de la religion. 

A partir de 08:00′.

La grosse Le Pen a démarré ce « débat » sur ce sujet brûlant : distinguer l’islamisme de l’islam.

Parce que c’est très important en 2021.

Tout ça après des années de terreur islamique où même des normies gauchistes commencent à nourrir des doutes à l’endroit de la religion de paix et d’amour.

Au moment où un foutu prof de philo de Trappes disserte sur le thème de la guerre civile sur CNews.

Attendez encore un peu et vous verrez après chaque attentat djihadiste la grosse Le Pen se démener pour prendre de vitesse Mélenchon en appelant la première à ne pas « faire d’amalgame » entre les bougnoules et les bougnoules.

Je suis heureux d’avoir passé les 4 dernières années à dénoncer l’escroquerie que représente cette épave.

L’imposture sanitaire l’a rendue encore plus ignoblement putassière.

Nous allons voir nombre de déçus tâtonner dans l’obscurité pour trouver un nouvel escroc, [à peine] plus convaincant. Je passe bien évidemment mon tour, je n’ai personne à proposer – Zemmour moins que les autres.

Les débats ne servent à rien.

Les élections ne servent à rien.

Cette république ne sert à rien.

Toute la société française a depuis longtemps capitulé face à tout. Cette démission générale initiée par les Boomers doit aller à son terme, cataclysmique et stupide. Le spectacle actuel, dans une atmosphère de désintérêt généralisé, n’est que le bouquet final.

Pour comprendre ce qui se passe, il suffit de regarder la 7ème compagnie.

Les gens savent parfaitement ce qui se passe. Cela n’a rien à voir avec un manque d’informations. C’est simplement qu’ils n’en ont strictement rien à branler. De ce point de vue, Marine Le Pen est au diapason.

Mais ce n’est pas parce que tout ça n’est plus qu’une caricature que nous n’avons pas d’avenir, il faut simplement le projeter dans les conditions du 21ème siècle et emprunter des chemins nouveaux avec des conceptions nouvelles.

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