La rédaction
Démocratie Participative
27 octobre 2022
Voilà une excellente nouvelle.
La LICRA, une organisation terroriste juive fondée par des militants marxistes juifs pour planifier le génocide de la race blanche, a été classée organisation terroriste en Iran.
Le 17 octobre, l’Union européenne a adopté des sanctions contre la police des mœurs et onze dirigeants iraniens dont le ministre des Télécommunications, les accusant d’être impliqués dans la répression.
En riposte, le ministère iranien des Affaires étrangères a annoncé dans un communiqué des sanctions contre huit institutions et douze individus basés en Europe pour avoir « soutenu des groupes terroristes », « incité à la violence » et « provoqué des émeutes, des violences et des actes terroristes » en Iran.
Sur la liste noire iranienne figurent notamment The International Committee in Search of Justice (ISJ), la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA), et les versions en persan de la Deutsche Welle et de Radio France international.
Des parlementaires et politiciens européens et français et deux responsables du journal allemand Bild sont parmi les personnes sanctionnées par le gouvernement iranien.
Les sanctions comprennent une interdiction de visa et la « saisie de leurs biens et avoirs sur le territoire sous la juridiction de l’Iran », selon le ministère.
Meyer Habib fait partie de la fournée.
L’Iran n’invente rien.
La LICRA est une vitrine de l’internationale terroriste juive depuis près d’un siècle.
La fondation de la LICRA (à l’époque LICA) fait suite à la relaxe, en 1925, de Samuel Schwartzbad, un assassin juif mandaté par ses congénères du pouvoir bolchevique moscovite pour perpétrer l’assassinat, à Paris, d’un homme d’état ukrainien, Symon Petlioura. Le futur boss de la LICRA, le bolchevique juif Abraham Lecache, avait déchaîné une violente campagne de presse en sa faveur, grâce au réseau hébraïque contrôlant les journaux français de l’époque.
L’assassin revendiquait son crime, mais le procès, truqué par les juifs, aboutit à sa relaxe.
La LICRA est désormais totalement intégrée dans l’appareil d’état français où elle officie comme politique politique juive sous un nom d’emprunt : la DILCRAH.
C’est youpinland.
.@AnneSoSebban, directrice d’@AJC_Paris en compagnie de @MarioPstasi, président de la @_LICRA_ @SophieElizeon et @EliseFajgeles de la @DILCRAH et @AstridPanosyan en clôture des Universités d’automne de la @_LICRA_ au @LH_LeHavre. pic.twitter.com/lFVzZOKec5
— AJC Paris (@AJC_Paris) October 9, 2022
Flics et magistrats sont aux ordres des juifs de la LICRA, qui n’est elle-même qu’une des tentacules de l’hydre juive en France : le CRIF.
Elle persécute en ce moment même des Blancs qui dénoncent le crime rituel infligé à Lola par les immigrés que le pouvoir juif importe.
Ces nazis sont aussi avides de « justice » que les islamistes défendent les libertés. En dépit de cette tenaille mortifère, les républicains ne doivent pas oublier qu’ils sont majoritaires en France. L’État de droit doit prévaloir. https://t.co/CjmJ0TNQ11
— Licra (@_LICRA_) October 22, 2022
Là aussi, chacun sait à quoi s’en tenir.
Kalifat a depuis été remplacé par un autre rabbin, Arfi.
Ces juifs revendiquent de semer la terreur au niveau planétaire.
Responsabilité des GAFA, antisionisme virulent sur les campus 🇺🇲, concurrence mémorielle…: la lutte contre l’antisémitisme en 🇨🇵 passe aussi par une meilleure coopération avec les États-Unis.
Merci à Denise Bauer @USAmbFrance et Deborah Lipstadt @StateSEAS de cet échange. https://t.co/hcICNJL60G— Yonathan Arfi (@Yonathan_Arfi) October 26, 2022
Mais cette époque touche à sa fin, le monde n’en peut plus de ces juifs.
La seule chose qui retarde leur chute, c’est leur main mise sur Washington.
“Si Israël n’existait pas il faudrait l’inventer”
J. #Biden lors de sa rencontre avec le I. Herzog à la Maison Blanche pic.twitter.com/pIQBj1pJe0
— i24NEWS Français (@i24NEWS_FR) October 27, 2022
D’ici dix ans, quand les démocraties juives se seront effondrées, ce sera une chose du passé.
Les terroristes de la LICRA seront probablement jugés à Téhéran pour leurs crimes, une fois acquise la victoire de l’axe russo-iranien et de leurs alliés.
Pour aller plus loin, lire : La France licratisée (Merci à grenouille).