La rédaction
Démocratie Participative
10 avril 2023
L’Iran montre le chemin de la résistance à la subversion vaginale soutenue par les gangsters de ZOG.
Les traînées qui veulent détruire la société iranienne seront désormais repérées grâce aux nouvelles technologies fournies par la Chine. Les médias juifs occidentaux ont immédiatement déclenché une acerbe campagne de haine contre l’Iran masculiniste.
En Iran, des technologies mises en place pour traquer les femmes non voilées
Le choix de @MarieGentric pic.twitter.com/ecA9YAFmX2
— BFMTV (@BFMTV) April 10, 2023
OH NON, VOUS NE POUVEZ PAS TRAQUER LES GENS, C’EST CONTRE LA DÉMOCRATIE
Coronavirus : à Cannes, des caméras pour vérifier le respect du port du masque sur les marchés et de la distance sociale dans les bus https://t.co/9WLKCH3PQV
— RTL France (@RTLFrance) April 29, 2020
ARRÊTEZ !
Le système est bien évidemment à 100% partisan de la surveillance de masse en temps réel, mais à condition que ce soit pour renforcer le contrôle de la caste globaliste sur les populations.
Non seulement il soutient le principe, mais il le met en place depuis des années.
Le gouvernement iranien a correctement identifié l’ingénierie sociale juive que constitue l’infiltration féministe. Il a légitimement décidé d’écraser l’insurrection vaginale soutenue par la juiverie internationale en utilisant des moyens modernes pour en venir à bout.
Partout où les juifs veulent s’emparer du contrôle d’un pays, ils fomentent une insurrection vaginale grâce à des catins payées à cette fin.
Leurs équipes de psychologues ont mis au point des techniques spéciales pour neutraliser les flics lorsque le coup d’état est déclenché.
Une de ces techniques est d’envoyer des garces en mini jupe avec des fleurs établir un contact physique avec eux.
C’est un message subliminal sexuel qui agit sur le cerveau animal du flic visé.
Pour comprendre comment la fleur est devenue un symbole de la sexualité féminine, il faut revenir sur l’association ancienne du motif littéraire de la femme-fleur. Lorsque Ronsard, au XVIe siècle, compare dans son Ode à Cassandre, la jeune fille à une rose prompte à se faner, il ne fait que reprendre à son compte un topos antique, généralement mobilisé au service d’un carpe diem. Ce parallèle entre le vieillissement et la fleur qui se fane permet un glissement progressif, et la fleur intacte en vient à désigner la femme vierge. Chez Nicolas Venette, auteur d’un Tableau de l’amour conjugal en 1686, la vierge est ainsi décrite comme “une belle fleur conservée chèrement dans un jardin muré de toutes parts”.
Cette association entre innocence, pureté féminines et le motif floral perdure à travers les siècles, même si les fleurs choisies changent. Dans la Vénus endormie de Giorgione (huile sur toile, 1508, Dresde, Gemäldegalerie Alte Meister), quelques petites fleurs jaunes se détachent sur l’herbe au premier plan ; plus de trois siècles plus tard, c’est le lys qui est choisi par Louis Jeanmot dans Virginitas (huile sur toile, 1835-55, Lyon, Musée des Beaux-Arts), ou par Franz von Stuck dans Innocentia (huile sur toile, 1889, Paris, collection N. Manoukian).
Progressivement, la fleur devient donc un symbole de l’état sexuel de la femme : intacte, elle désigne la vierge ; flétrie et fanée, la femme qui a déjà eu des rapports sexuels. Le terme de défloration, qui est utilisé de manière croissante à partir du XVIIIe siècle, renforce lui aussi de ce parallèle. Les peintres, qui doivent se conformer à une certaine bienséance dans leurs œuvres, s’emparent donc volontiers de ce symbole qui leur permet d’évoquer la sexualité sans voir leurs œuvres frappées de la censure.
Cette action permet de faire bugger le disque dur du flic anti-émeute.
Depuis toujours la femme est experte pour semer la confusion dans l’esprit de l’homme.
Et derrière, le serpent juif.
C’est une réalité éternelle.
La révolte des #Iraniennes est magnifique. C’est une leçon de courage admirable donnée à la société iranienne et au reste du monde. #IranProtests2022 #Iran #MahsaAmini #Teheran #IranRevolution #IranProtests pic.twitter.com/ECRLuPT08c
— Bernard-Henri Lévy (@BHL) October 3, 2022
L’Iran démontre que le progrès technologique peut être mis au service d’une politique socialement traditionaliste. Il suffit d’en avoir la volonté. Entre les mains d’un état blanc, elles permettraient de réaliser des choses extraordinairement positives, comme de traquer les peaux sombres ou les bêtes malades anarcho-nihilistes.
Mais aussi de s’assurer que les femmes blanches sont bel et bien à la cuisine.
Imaginez un instant des drones et des robots patrouillant les rues pour repérer les traînées blanches qui couchent avec des Noirs ou des Maghrébins.
Imaginez.
C’est ce qu’il nous faut. Une flotte de robots et de drones pour mettre en place le nouvel empire blanc.