La rédaction
Démocratie Participative
03 décembre 2022
La hiérarchie démocratique : le prêtre juif et le bouclier humain aryen
La presse américaine affirme que l’Iran aurait souhaité faire assassiner le belliciste juif Bernard-Henri Lévy.
Le quotidien américain a enquêté sur des tentatives d’assassinat depuis Téhéran, notamment contre BHL, citant «des documents gouvernementaux» et des confidences de «responsables américains, européens et du Moyen-Orient».
Lors de l’une de ses dernières interviews, le célèbre philosophe français avait confié au Figaro : «seule la mort m’arrêtera». L’a-t-il frôlée sans le savoir ? Selon le Washington Post , qui publie ce jeudi une longue enquête sur les exactions iraniennes au cœur du monde occidental, Bernard-Henri Lévy aurait été la cible d’une tentative d’assassinat orchestrée par la force Al-Qods, l’unité d’élite des Gardiens de la révolution islamique en Iran – les services clandestins de l’armée idéologique du régime de Téhéran.
À en croire les informations du Washington Post, qui dit avoir consulté des «documents gouvernementaux» et interviewé «une quinzaine de responsables des services de renseignement américains, européens et au Moyen-Orient», le gouvernement iranien aurait intensifié dans des proportions inquiétantes ses projets d’assassinat ou de kidnapping dirigés contre des personnalités occidentales hostiles à ses intérêts, en particulier des activistes ou des journalistes. Téhéran aurait aussi récemment ciblé d’anciens hauts dirigeants des États-Unis, ainsi que des dissidents ayant fui le pays. Chaque fois selon un procédé qui se répète : des agents iraniens approchent des dealers et leur proposent une somme d’argent importante en échange de l’exécution du crime.
Parmi les cibles, donc, de ces tentatives infructueuses, figureraient l’ancien conseiller de la Maison-Blanche John Bolton, des hommes d’affaires israéliens ayant séjourné à Chypre, et donc également BHL. Les forces spéciales iraniennes auraient approché un dealer iranien à Paris pour le charger de la besogne, en échange de 150.000 dollars pour lui et ses complices. L’intellectuel et journaliste n’a jamais caché son aversion pour le gouvernement des mollahs en Iran, et appelait encore en octobre dernier, dans les colonnes du Point, à un «soulèvement émancipateur» dans les rues du pays, secouées par un mouvement de contestation sans précédent à la suite de la mort d’une jeune femme arrêtée par la police du régime.
Ce n’est pas la première fois que ce projet d’assassinat est évoqué, mais il l’avait chaque fois été à mots couverts : ainsi en avril dernier, les médias israéliens avaient mentionné l’existence d’un complot iranien visant à éliminer, entre autres cibles, «un journaliste français juif». L’on retrouvait déjà citée la somme de 150.000 euros. Citant le réputé analyste israélien Yossi Melman, Le Figaro avait alors rapporté que le meurtre par Israël d’un officier iranien en mai était lié à ce projet d’assassinat, éventé par un tueur à gages travaillant pour le colonel Khodayari, qui conduisait des opérations extérieures pour le compte de Téhéran.
Le Washington Post rapporte en outre qu’une tentative d’enlèvement aurait été déjouée à l’encontre de Masih Alinejad, une journaliste américaine d’origine iranienne, connue également pour son engagement en faveur des droits de l’homme en Iran.
En effet, Israël a assassiné cet officier iranien, apparemment pour se venger du projet visant le juif Lévy.
Le colonel iranien Hassan Sayad Khodayari, 50 ans, a été tué dimanche devant son domicile, dans une rue d’un quartier résidentiel de Téhéran. Il circulait en voiture lorsque deux hommes armés à moto se sont approchés de son véhicule et ont ouvert le feu. Les médias d’État ont publié des photos de la scène de crime, montrant un homme effondré sur le volant d’une Kia. Un assassinat ciblé imputé par l’Iran à Israël.
Mardi, les funérailles du haut gradé du corps des gardiens de la révolution ont pris un relief particulier en raison de la présence des commandants de cette organisation et de la Force al-Qods, les services spéciaux de Téhéran responsables des opérations secrètes hors du territoire iranien. Des milliers de personnes ont envahi les rues autour du cimetière en scandant « mort à Israël ! » et en appelant à la vengeance. « Nous ferons en sorte que l’ennemi le regrette et aucune de ses actions maléfiques ne restera sans réponse », a déclaré le général Hossein Salami, le chef des gardiens de la révolution. Israël n’a pas officiellement réagi, mais ce jeudi le New York Times a révélé que les autorités israéliennes ont informé les responsables américains qu’elles étaient bien à l’origine du meurtre.
Les Israéliens auraient indiqué à leur allié que l’opération était un avertissement pour que Téhéran mette fin aux actions d’un groupe au sein de la Force al-Qods baptisé « Unité 840 ». Il serait chargé d’attaques terroristes et de rapts de personnalités civiles ou militaires israéliennes. Le colonel Khodayari aurait été impliqué au cours des deux dernières années dans des tentatives d’attentats au Moyen-Orient ainsi qu’en Colombie, au Kenya, en Éthiopie, aux Émirats arabes unis et à Chypre. L’enquête du New York Times précise, selon des sources anonymes iraniennes, que cet ancien conseiller du général Qassem Soleimani, le patron des opérations militaires extérieures tué par une frappe américaine à Bagdad en janvier 2020, était un expert en logistique et jouait un rôle crucial dans le transport de technologie pour drones et missiles vers les combattants iraniens en Syrie et vers la milice du Hezbollah au Liban.
Ce nouvel épisode de la guerre de l’ombre que se livrent les deux pays depuis des années sur terre, mais aussi en mer, dans les airs ou dans le cyberespace, intervient alors que les négociations pour relancer l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien piétinent. L’un des points de divergence porte sur la désignation des gardiens de la révolution comme un groupe terroriste par les États-Unis. L’Iran exige la suppression de ce classement mais Joe Biden s’y refuse.
Cette fois, le meurtre semble lié à d’autres considérations. Rocambolesque à en croire les médias israéliens, le plan ciblant le colonel Khodayari remonterait à juillet 2021. C’est à cette époque que des agents du Mossad auraient enlevé puis relâché un tueur à gage iranien travaillant pour lui. Selon le réputé analyste israélien Yossi Melman, il aurait avoué un complot visant à éliminer un diplomate israélien, un journaliste français et un général américain.
Une affaire rendue publique début mai par la chaîne d’information persane Iran International, basée à Londres et parrainée par l’Arabie saoudite. La fuite était destinée à faire comprendre à l’Iran qu’Israël a la capacité de pénétrer en profondeur dans les cercles de sécurité iraniens.
Le plus drôle, c’est que les juifs pensent apparemment que Bernard-Henri Lévy puisse être un atout pour eux.
De tous les juifs existants, Lévy est indubitablement celui qui a le plus fait pour vivifier l’antisémitisme. Il n’existe pas de caricature plus juive d’un juif que ce juif. Confus, fanatique, exhibitionniste, paranoïaque, grotesque, égocentrique, gaffeur, cuistre, outrancier, rien ne manque au tableau de Botul.
Monter des opérations d’assassinat ciblé en Iran pour protéger un tel boulet, c’est stupéfiant.
Les juifs ont perdu leur coup d’oeil.
À présent, Lévy a de toute façon une plus sérieuse menace que l’Iran à affronter, c’est la Russie. Les Russes n’ont pas encore décidé d’être méchants, mais ça ne durera pas et quand ils monteront des opérations en profondeur en Europe, le premier sur la liste, en France, sera ce vieux croquemort juif qui écume les champs de bataille en quête d’une carcasse à lécher.
Lévy n’a rien à envier à ces chefs djihadistes qui appellent à embraser l’univers au nom de leur abrahisme armé.
Lévy. Figure d’épouvante, fuyante, filandreuse et voûtée, tout en costume, accrochée à un personnage difforme de mauvaise nouvelle, déambulant maladroitement, comme au hasard, l’air perdu, mais l’oeil fixé sur un horizon invisible sorti d’un antique rêve de charnier dont seule la cervelle hébraïque millénaire, échauffée par le crépitement des incendies et des meurtres, peut avoir la clef ; la cervelle hébraïque immuable qui passe de siècle en siècle comme un singe passe de branche en branche, amplement, mais toujours au risque du déséquilibre, celle qui gribouilla il y a 25 siècles, calfeutrée dans la boîte crânienne d’un rabbin rognant ses pelures de pieds à l’ombre d’un vieil olivier, un de ces carnages dantesque de la torah, l’ancien testament des Chrétiens. La cervelle des juifs ne peut être comparée qu’à la syphilis, chtouille millénaire des nations, se refilant de désastres en guerres, de pillages en catastrophes. Cervelle juive et promiscuité.
Lévy, incendiaire de la caste des Lévites, serviteurs du temple dont Zelensky lèche la pierre poussiéreuse.
À vision, vision et demi.
La nôtre, celle du nord fondamental, de l’aryanisme, est encore engourdie par le fatras pourrissant du vénérable christianisme moribond, trop sénile pour être de conséquence, mais trop lourd sur nos épaules pour ne pas nous encombrer et nous retenir.
En finir avec le règne youtre, absolument.
Flinguer Lévy ? Les Russes doivent y penser. Les Iraniens aussi.
Il y a toutefois plus important que Lévy, c’est la balafre purulente du stigmate sémitique qui traverse l’Europe, la France terriblement enjuivée tout particulièrement. C’est cela qu’il faut résorber.
Deux millénaires de jérémiades, de genou plié, trois siècles de démocratisme, un siècle de féminisme, voilà le terreau où putréfie à plaisir le sémitisme imprécateur.
Le blase du youtre du moment qui luit dans le jus n’a que peu d’importance. Lévy n’est qu’un symptôme d’une maladie raciale, l’épilepsie hébraïque.
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