Captain Harlock
Démocratie Participative
06 mai 2018
Après avoir exposé les ravages de la démocratie libérale juive au plan social, notamment la destruction des rapports traditionnels entre les hommes et les femmes, je vais parler d’un autre aspect des conséquences du féminisme : l’effondrement de la natalité et la révolution sociale et sexuelle qui va le contenir.
Les peuples blanc auront disparu dans trois générations
Il est entendu que tous les pays connaissent une transition démographique à mesure que l’alphabétisation, le développement économique et l’urbanisation progressent. Sauf, faut-il le souligner, chez les nègres dont le nombre progresse exponentiellement sans aucune limite à l’horizon.
Typiquement, avec l’externalisation des solidarités naturelles après la 2ème Guerre Mondiale, notamment intergénérationnelles via l’étatisation ou la mutualisation des retraites, les couples ont commencé à voir les enfants comme une charge qui devait être numériquement limité afin de garantir un accroissement du niveau de vie individuel.
Une des conséquences est l’aggravation culturelle puis sociale et politique de l’individualisme, de l’appétence pour le confort matériel et une rupture au sein de la communauté populaire entre les générations.
Dans le système démocratique libéral, aucune correction sérieuse n’est entreprise puisque les élites au pouvoir ainsi que la société façonnée sous l’ère du Baby-Boom estiment que cette réalité offre plus d’avantages que d’inconvénients et qu’en aucun cas une limitation des choix de l’individu par le groupe ne saurait avoir lieu.
Progressivement cependant, le système qui avait permis à nos grand-parents et parents d’atteindre la prospérité – l’expansion du système d’assistanat social financé par la dette publique – entre en crise, faute de nouveaux entrants dans ce même système. Une crise de la démographie qui engendre une crise sociale et économique.
Pour souligner la gravité mortelle de la crise, il faut rappeler ce chiffre : le monde blanc perd un tiers de sa population par génération au rythme actuel. L’Italie ou l’Allemagne, par exemple, ne font que 1,3 enfant par femme.
En d’autres termes, en trois générations au rythme présent, le monde blanc aura disparu.
Parallèlement, l’immigration-invasion n’a de cesse de s’intensifier sur nos terres.
Une simple courbe de la démographie africaine permet de mesurer le futur déferlement de nègres qui va s’abattre sur l’Europe, pour ne pas parler des musulmans arabes.
L’argument perpétuellement brandit par les bénéficiaires du système social-libéral actuel est simple : « qui va payer nos retraites ? ».
Pour la première fois dans l’histoire, les Baby-Boomers ont instauré, au nom de leur égoïsme générationnel, le principe de la priorité pour les anciennes générations et non les nouvelles.
L’enjeu est donc le suivant : soit les générations individualistes actuelles, pour maintenir leur confort matériel et leur hédonisme individuel, maintiennent ce système dénataliste et l’Europe est condamnée durant ce siècle. Soit une révolution sociale impose à nouveau l’intérêt du groupe sur les tendances individualistes petites-bourgeoises et une vaste politique nataliste est mise en place.
En d’autres termes, entre la baise récréative sans lendemain et la survie biologique, un choix radical va devoir être fait. Tous ceux qui se plaignent de l’immigration islamique mais adhèrent au présent système sont soit des imbéciles soit des escrocs avec un agenda occulte.
La démocratie libérale juive et l’individualisme mortifère
Actuellement, les pays sociaux-libéraux de l’Europe de l’Ouest poursuivent dans la voie individualiste, donc court-termiste.
Cela se mesure par le vote récent, en Irlande, où un début de libéralisation de l’avortement a été voté par référendum.
Le Monde :
Quatre jours après un référendum historique pour une légalisation de l’avortement, le gouvernement irlandais a annoncé mardi 29 mai son intention de présenter le projet de loi ouvrant le droit à l’avortement avant la trève parlementaire estivale.
« J’espère que nous pourrons publier un texte et entamer le débat dans les semaines à venir », a fait savoir le ministre de la santé, Simon Harris, à la télévision publique RTE avant d’entrer en conseil des ministres pour officiellement demander l’autorisation de rédiger le projet de loi en totalité.
Dublin avait annoncé, en cas de vote en faveur de la libéralisation de l’avortement lors du référendum organisé vendredi, son intention d’autoriser l’interruption volontaire de grossesse (IVG) sans conditions jusqu’à 12 semaines, puis jusqu’à 24 semaines dans des cas exceptionnels où la vie de la mère serait menacée.
Cela traduit parfaitement la profonde pénétration de l’utilitarisme, du cynisme et de l’hédonisme au sein des masses rééduquées par la démocratie libérale juive.
Dans le même temps, ce même système, avec son système de retraite devant garantir un certain niveau de vie aux plus anciens entrants, i.e. les Boomers, est confronté à un besoin toujours plus accru de croissance de la consommation pour financer la pyramide de Ponzi qu’est l’externalisation des solidarités. C’est-à-dire l’état-providence.
C’est le double effet dont j’ai parlé dans mon article précédent : ultra-socialisation via l’étatisation d’une part qui amène d’autre part une déresponsabilisation de masse se traduisant par un individualisme forcené.
L’Irlande, au moment où elle organise sa propre dénatalité, veut paradoxalement intensifier l’immigration de peuplement allogène.
Le métis homosexuel actuellement premier ministre veut importer 1 million de migrants d’ici 2040 sur l’île et ainsi doubler la population de toutes les villes irlandaises.
Le système démocratique libéral juif, basé sur le court-termisme et l’individualisme, convainc des peuples entiers de détruire l’avenir des futurs générations pour le maintien de leur confort et de leur goût pour l’anarchie sexuelle.
Le féminisme produit le nihilisme biologique
Il faut être clair : d’ici quelques décennies les pays qui auront maintenu ce cap auront été détruits, purement et simplement. Les minorités blanches qui y survivront seront laissées avec des montagnes de dettes qui auront généré, sur l’initiative de leurs aïeux du 20ème siècle, des quantités énormes d’envahisseurs musulmans, nègres. L’hypothèse d’une conquête progressive de la Chine des ruines de l’Europe, au moins au plan économique, devient même concevable.
Dans ces conditions, toute résistance indigène suppose une réaction autoritaire qui collectivise la question démographique et cesse de la laisser entre les mains du bon vouloir des individus. Vous pourrez constater que, bien plus encore que l’immigration, la seule idée de priver de leurs divers jouets les Occidentaux les met dans un état de colère caractéristique.
Cette réaction est celle de l’enfant gâté auquel on dit que « non, il ne peut pas tout faire ».
Vous constaterez aussi que le féminisme détourne la femme de sa fonction reproductive afin de les rendre disponibles pour la machine économique, notamment de consommation. Une femme est, par excellence, une consommatrice qui, comme l’enfant, cherche à fuir l’autorité de l’homme pour pouvoir s’amuser.
Dans le même temps, la sexualité étant devenue récréative, nombre de femmes s’en servent comme d’un moyen de pression et de pouvoir sur les mâles blancs.
Ce n’est pas par accident que la démocratie libérale juive est particulièrement plébiscité par les femmes dans la mesure où c’est ce système qui lui permet de satisfaire tous les caprices qui sont les siens.
Les enfants du peuple appartiennent au peuple
Cependant, la seule interdiction légale de l’avortement ne suffit pas, comme le montre le cas polonais. D’abord parce que pour fonctionner, cette interdiction ne doit pas être passive mais active. Faute de quoi, ces avortements ont lieu illégalement ou à l’étranger.
Une véritable politique de lutte contre l’avortement visant à garantir la naissance de centaines de milliers d’enfants dans des pays de 40 ou 50 millions d’habitants suppose la destruction sociale de tous les contrevenants et l’exécution physique systématique des avorteurs, avec des conséquences hautement destructrices pour leurs proches.
Concrètement, cela veut dire pour une femme et un homme qui organiseraient l’avortement de leur enfant des conséquences civiques, sociales et économiques si drastiques de la part de l’état que s’y risquer signifierait une mort sociale définitive. Cela passerait par exemple par la perte de tous les droits politiques, une taxation massive de tous les gains possibles, un service obligatoire au profit des familles saines qui garantissent la pérennité du peuple, etc.
En outre, un strict suivi médical avec les technologies les plus avancées doit repérer en permanence les grossesses en cours.
Fini donc l’anarchisme ambiant.
Dans le même temps, des avantages fiscaux considérables doivent être donnés à ceux qui se situent au dessus du simple taux de reproduction intergénérationnel. Comme par exemple une maison offerte pour tout couple qui a trois ou quatre enfants et l’exemption de taxes sur une série de biens de consommation.
Au surplus, la contraception doit être purement et simplement éliminée pour abolir la sexualité exclusivement récréative.
Le message globalement délivré aux personnes par l’état et la société doit être la promotion d’une sexualité positive et productive et non pas la diabolisation de la sexualité comme c’est trop souvent le cas, par réaction.
La restauration du patriarcat blanc intégral : charia blanche
L’idée reçue généralement admise est que le type de sociétés qui fonctionne sur cette base est sexuellement inactive. Or, le seul nombre d’enfants générés démontre l’inverse.
Vous n’avez pas dix enfants quand vous ne baisez pas.
Quoique l’on pense du catholicisme, le fait est qu’aujourd’hui, les familles blanches les plus dynamiques en France sont souvent catholiques traditionnalistes. Là encore, cela veut dire que communier à la messe n’empêche pas de baiser.
Le cas des Amish démontre que les peuples blancs peuvent retrouver, en quelques générations, un taux de natalité extrêmement dynamique si un ordre social autoritaire et contraignant impose aux individus une norme comportementale. Les Amish se reproduisent exponentiellement, exactement comme les juifs orthodoxes en Israël.
Faute de ce type de canalisation de la sexualité, vous disparaissez purement et simplement avec pour seule compensation un narcissisme morbide.
Les hommes et les femmes blancs doivent de nouveau faire face à leurs responsabilités pour des raisons de survie. Il faut donc détruire, en totalité, le cadre culturel et moral juif existant au profit d’un nouveau.
Cela signifie que la femme doit redevenir la propriété de l’homme, son bien mobilier, dans une société totalement restructurée. Ce droit de propriété signifie, dans le même temps, que l’homme ne peut à aucun moment fuir ses responsabilités vis-à-vis d’elle.
Si l’état doit agir au plan légal, il ne s’agit pas d’étatiser les rapports hommes-femmes : nous sommes dans un système qui les a étatisé. Il s’agit, a contrario, d’assurer la reconstruction des solidarités naturelles entre les hommes et les femmes et donc, par voie de conséquence, entre générations.
Cela veut dire qu’en plus de l’abolition de la contraception et de l’avortement et de la restauration légale du patriarcat, le divorce doit être interdit. Dans un tel cadre, une femme recherchera, par nécessité, le meilleur parti possible pour les enfants qui naîtront de son union avec un homme. Le rééquilibrage se fera sur la base du pragmatisme social et économique.
Ces unions, basées comme jadis sur un intérêt mutuel bien compris entre les deux sexes, sera le plus puissant moteur de ce système.
Une fois l’état-providence occidental effondré sous le poids de ses dettes, un homme devra à nouveau offrir une dot à la belle famille – acheter son bien mobilier – s’il veut avoir accès à une femme. Plus elle sera sexuallement attirante, plus elle sera chère. Il devra donc avoir fait ses preuves socialement pour l’obtenir, ce qui lui prend nécessairement plusieurs années. Typiquement, un homme sera plus âgé que sa femme.
Enfin, les enfants redeviendront ce qu’ils étaient jadis : le plan retraite. Plus un couple aura investi dans ses enfants, plus le retour sur investissement sera important.
Le moment le plus critique pour les femmes sera la période de réajustement qui suivra la chute de l’état-providence. Un homme efficace économiquement peut se marier avec une femme de 20 ans sa cadette. L’inverse n’est pas vrai. Ce sont donc les femmes actuellement âgées de 10 à 30 ans qui vont payer le prix fort en s’illusionnant sur le maintien du système démocratique libéral juif.
A titre d’anecdote : que croyez-vous qu’il se passerait si les migrants actuels étaient tous des femmes de 20 ans en provenance de Russie, d’Ukraine ou de Pologne ? Le surplus de femmes disponibles sur le marché sexuel ferait chuter la valeur relative d’une femme autochtone « féministe ». Le type de discours qui s’en suivraient chez les féministes serait assez drôle à observer.
Notez bien ici qu’il ne s’agit pas de convaincre les gens de l’urgence de restaurer le patriarcat blanc traditionnel, i.e. la Charia Blanche : c’est la nécessité induite par les graves bouleversements sociaux et économiques à venir qui va entraîner cette reconfiguration globale, dans la douleur.
C’est pourquoi je dis toujours à un jeune de 15 à 20 ans qu’il doit se focaliser sur ses études et les réussir absolument. Il baisera dans sa trentaine quand il sera devenu un élément socialement dominant. Il n’aura plus que l’embarras du choix.
Quand ce repositionnement aura eu lieu, des choses comme la virginité – comme une voiture de première main – retrouveront toute leur puissance de suggestion pour les hommes comme pour les femmes. La seule idée qu’une femme se soit faite sauter par un nègre ou un pue-la-pisse fera tomber sa valeur à l’argus à près de zéro.
Hommes blancs, préparez-vous.