L’instagrameuse Eva assure que c’était mieux il y a 5 minutes, la droite identitaire totalement d’accord

La rédaction
Démocratie Participative
03 août 2022

 

Nous ne guérirons pas la race blanche agonisante de son mot d’ordre : « le pouvoir aux femmes blanches ! »

C’est ainsi.

Il faudra que les évènements et les forces extérieures broient et écrasent ce qu’il en reste pour que le miséreux sexuel de base s’interroge, le temps d’une trentaine de secondes, sur les causes véritables des violentes douleurs qui le rongent.

En attendant, nous devrons subir les leçons de choses de femmes savantes divinisées de leur vivant parce que des millions d’affamés ont accepté le rationnement sexuel féministe.

Le lead en ce moment est aux mains d’Eva Vlaardingerbroek (pour quelques années, avant d’être putschée par une nana plus jeune de 10 ans).

Elle est toutologue.

Elle peut passer indifféremment d’une jacquerie paysanne à tout ce qu’on voudra d’autre.

Pendant des millénaires, les sages ont dû passer par les épreuves les plus longues et douloureuses pour guider les hommes.

Le Bouddha.

Aristote.

Saint Thomas d’Aquin.

Adolf Hitler.

Et tout ceux qui ont produit une pensée civilisatrice, à un moment ou à un autre.

Aujourd’hui, ces types auraient 400 followers sur Twitter et se feraient traiter d’incels islamistes par les hordes de mâles beta chargés de la protection des femelles alpha de la ruche.

Les réseaux sociaux n’ont pas permis de libérer la parole blanche, c’est très clair avec l’effroyable censure qui y règne contre tout homme blanc qui ose défier l’ordre en place.

En revanche, ils ont massivement boosté les ravages de la vaginocratie.

Une instagrameuse peut deviser sur la marche du monde et tenir en haleine des millions d’hommes vaincus qui boivent ses paroles.

Je pense que la plupart des gens qui voient cela réalisent que même si « tout » n’était pas mieux avant, la plupart des choses, en fait, l’étaient.

Les années 1920, cette période bénie où les femmes mises au pouvoir dans les usines par la boucherie européenne peuvent enfin remuer leur cul comme des négresses américaines avec des coupes de mecs.

C’était tellement mieux à Paris, pour les femmes blanches, 4 ans après Verdun.

C’est totalement pour ses idées géniales qu’une instagrameuse est considérée comme une authentique consultante politique, pas pour son physique du moment.

Avec 20 kilos et 10 ans de plus, elle serait tout aussi écoutée.

Il existe sur le marché une masse de mâles blancs affamés qui a besoin de l’archétype imaginaire de la princesse aryenne à sauver. Si la niche existe, elle sera exploitée.

Mais une femme reste une femme.

Une femme blanche de droite est une vaginocrate d’il y a cinq minutes.

Elle est (un peu) emmerdée par les restrictions vestimentaires de la charia promue par Abdelkader et ses frères qui l’empêche d’exploiter socialement à fond son hypergamie.

C’est la toile de fond du discours anti-islam actuel. Ce qu’il y a de nuisible dans l’islam n’a rien à voir avec les critiques fémo-libérales qui prévalent à droite sur la question. En fait, les rares aspects positifs de l’islam sont les seuls réellement diabolisés par cette droite. Ces aspects sont tous ceux qui visent à renforcer la position de l’homme dans l’ordre social.

En attendant le féminisme poursuit ses ravages et personne ne songe à parler de la seule qui chose importe encore avant la submersion de l’Europe par la démographie extra-européenne : coller les femmes blanches au gynécée.

Mais oui, des bimbos ont des avis féministes sur des trucs.

Pour approfondir le problème :

Commentez l’article sur EELB.su