L’inéluctable défaite des juifs en France et en Europe n’est plus qu’une question de temps

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
11 mars 2018

Que cela nous plaise ou non, nous sommes dans une lutte existentielle et nul d’entre nous ne doit croire, et je pense que personne dans nos rangs ne le croient, que cette lutte sera une promenade de santé.

Non seulement nous, mais toute l’Europe reçoit les pires coups au moment où j’écris. Nos filles meurent, comme à Macerata, tandis que le juif spécule sur notre destruction en organisant l’invasion du continent, à l’image de Soros et de ses innombrables congénères qui terrorisent les masses grâce aux médias qu’ils contrôlent.

Cette France en ruines que nous voyons, le paysage de cette négation de la France que sont les villes et villages français repeuplés de nègres et de millions de musulmans, ces mosquées qui se multiplient, l’effondrement de la morale publique,  la persécution contre les vrais Français, tout cela ne serait pas possible sans le rôle destructeur du juif qui trône désormais en France.

Dès l’origine, ce sont les juifs qui nous ont déclaré la guerre.

Toute résistance patriotique suppose, tôt ou tard, de se confronter à eux parce qu’ils ont décidé de nous éradiquer. De leur résister, suppose d’être persécuté.

Du moins, jusqu’à ce que la fortune commence à changer de camp.

Et voici la grande nouvelle : notre victoire se rapproche à grands pas.

Et voici l’autre grande nouvelle : la chute du juif aussi.

Plus ces juifs se déchaînent contre nous, plus nous les nommons en retour, plus nous forçons le juif à baisser le masque devant le peuple en son entier.

L’arrogance du juif est toujours strictement proportionnelle au degré de tyrannie qu’il a imposé au sein d’une nation.

Toujours et partout, une fois l’état conquis par les juifs, nous le retrouvons triomphant, laissant libre cours à sa haine inextinguible pour les masses qui sont sous leur empire. Et s’il exhibe sa force il ne tolère pas qu’on le nomme.

Et c’est précisément à ce moment précis, au moment où le juif se croit devenu invincible, qu’il s’effondre.

Plus les juifs nous frappent, nous dénoncent, nous désignent à la vindicte populaire, et plus le peuple voit qui détient le véritable pouvoir, qui est derrière sa misère, qui travaillait dans l’ombre jusqu’à finalement sortir de l’ombre.

Et ensuite, la libération.

Encore et toujours, l’inéluctable libération.

Bien sûr les juifs se débattent, protestent, redoublent dans la terreur, ne faisant qu’aggraver  davantage leur situation de plus en plus précaire.

 

Ils peuvent abattre un patriote, qu’ils appellent « antisémite », dix autres prennent le relais.

C’est toute l’histoire de leur répression ces 10 dernières années : elle a formidablement fait progresser la prise de conscience populaire sur le rôle de la juiverie organisée dans la promotion de l’invasion de l’Europe, la destruction de l’ordre social. D’un inconnu comme Alain Soral, les juifs ont fait une figure publique grâce à ces procès à grand spectacle, tout comme Dieudonné.

C’est plus fort qu’eux, ils ressentent un besoin frénétique de persécuter ceux qui leur résistent.

Mais cela ne fait que précipiter encore davantage l’éveil des masses.

La spirale de la chute.