Capitaine Harlock
Démocratie Participative
13 mai 2017
Qui pourrait sérieusement affirmer que ce cirque démocratique n’est pas un fléau ?
Il se décrit comme le « candidat de la libération nationale », prône la sortie de l’Union européenne, de l’euro et de l’Otan. François Asselineau, promet un programme « fondé sur la création d’emplois, la justice sociale et la justice tout court, la sécurité, le logement, l’honnêteté en politique et la fin de la participation de la France à des guerres néocoloniales ».
La circonscription, qui comprend les villes d’Aulnay-sous-Bois, de Pavillons Sous-Bois et de Bondy sud-est, est aussi celle « où le nombre de voix en faveur du « Frexit » [sortie de la France de l’UE, ndlr] a connu la plus forte progression par rapport aux élections régionales de décembre 2015 », argumente François Asselineau.
Il se dit « particulièrement heureux et fier » de se présenter devant les électeurs de cette circonscription, « dont une forte proportion constituée de Français issus de l’immigration » et ambitionne de « leur redonner foi en la France ».
Je conviens que cette zone de Seine- Saint-Denis est bien un territoire français sorti de l’Europe.
Quant à la « libération nationale » en allant courtiser les crouilles et les nègres, quel programme… Ce tas de graisse infect d’Asselineau osera tout.
Si certains réfléchissent sur la capacité réelle de Marine Le Pen à gagner l’élection présidentielle – et à mon avis, elle ne l’a pas – le cas Asselineau, lui, ne fait pas l’ombre d’un doute.
Donc, à quoi sert cette secte si ce n’est à flatter un immonde ressentiment contre les Européens et les Allemands, en tentant de fomenter une coalition de métèques et d’autochtones désocialisés ? Ressentiment qu’il alimente aussi contre le FN au motif qu’il serait « raciste ».
Comme une vieille putain affaiblie soucieuse de régler ses derniers comptes, ce patriotisme moisi entend séduire quelques arabes pour se venger contre le reste du monde. Bref, la culture de l’échec érigée en politique.
Le gras cul d’Asselineau a vraiment besoin d’être botté.