Heinrich
Démocratie Participative
17 janvier 2018
Rien que cela suffit à légitimer la mise en oeuvre de la solution finale au problème nègre.
Yannick Luende-Bothelo a été condamné en 2016 à trente ans de prison pour le meurtre de l’adolescente de 14 ans, près de Nantes. Il comparaîtra de nouveau du 12 au 20 avril prochains.
Yannick Luende Bothelo parlera-t-il enfin ? Expliquera-t-il pourquoi il a sauvagement violé, torturé et tué de 69 coups de couteau Marion, une adolescente de 14 ans, en mars 2012, dans les toilettes publiques de Bouguenais, près de Nantes ? Jugé en première instance devant la cour d’assises de Loire-Atlantique en novembre 2016, l’homme, âgé de 28 ans à l’époque, était accusé d’homicide avec préméditation (assassinat) sur mineur de 15 ans, accompagné de viol et d’acte de torture et de barbarie. Durant une longue et interminable semaine pour la famille de la victime, l’accusé était resté muré dans un silence de plomb, ne laissant échapper aucun son de sa bouche. Jusque dans les moments de plus grande tension.
L’homme sera rejugé devant la cour d’assises du Morbihan du 12 au 20 avril prochains. Il devra aussi répondre d’une tentative d’assassinat sur un joggeur, quelques heures après les premiers faits, dans un parc à Vertou. Dans la foulée, il s’en était pris à un octogénaire qu’il espérait séquestrer. À l’époque, Yannick Luende-Bothelo, confus voire délirant, s’expliquait volontiers sur ses crimes.
Ces animaux doivent être stoppés. Définitivement.